« Michel Sardou » : différence entre les versions
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→Sardou interprète, auteur et compositeur : etc. n'est pas un terme à utiliser dans un style encyclopédique. Une encyclopédie est supposée être un ouvrage de référence dans lequel les gens y trouvent les réponses à leurs questions. |
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Depuis [[2000 en musique|2000]], Sardou ne collabore plus avec ces auteurs-là (sauf Barbelivien), mais a fait le choix du renouvellement de son équipe, en se tournant vers des personnalités plus jeunes, comme [[Jacques Veneruso]], [[Robert Goldman]] (ce dernier écrivant pour lui sous le pseudonyme de J. Kapler) ou [[Daran]], auteur de huit des vingt-trois chansons de l'album ''[[Hors format]]''.
Mais ces collaborations ne doivent pas occulter son actif d'[[parolier|auteur]] et de [[compositeur]], voire d'[[auteur-compositeur]]. On le retrouve régulièrement parolier, puis compositeur occasionnel. Il est auteur et compositeur unique sur dix de ses titres : ''J'y crois'' ([[1978 en musique|1978]]), ''L'Anatole'', ''Méfions-nous des fourmis'', ''Verdun'' ([[1979 en musique|1979]]), ''Les Noces de mon père'' ([[1981 en musique|1981]]), ''Mélodie pour Élodie'' ([[1985 en musique|1985]]), ''55 jours, 55 nuits'', ''La Chanson d'Eddy'' ([[1992 en musique|1992]]), ''Tout le monde est star'' ([[1994 en musique|1994]]), ''La Vie, la Mort,
On remarque donc que Michel Sardou n'est pas seulement l'interprète d'un répertoire taillé sur mesure par des collaborateurs, mais bien un auteur à part entière, et un compositeur occasionnel, bien qu'il ne soit pas un [[auteur-compositeur-interprète]] au sens strict, c'est-à-dire l'unique artisan de la quasi-totalité de son répertoire.
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