« Hocine Aït Ahmed » : différence entre les versions

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Il obtient sa licence en droit à [[Lausanne]] en Suisse. Puis, il soutient une thèse de doctorat, à [[Nancy]], en 1975, sur ''Les Droits de l’homme dans la Charte et la pratique de l’[[Organisation de l'unité africaine|OUA]]''.
 
À l’occasion du « [[printemps berbère]] » (1980), il joue avec le [[Front des forces socialistes|FFS]] un rôle modérateur d'encadrement politique des militants afin d’empêcher l’irruption de la violence et d'inscrire la revendication linguistique et culturelle dans l’exigence du pluralisme politique, à l'intérieur de la nation algérienne.
 
Assassinat à Paris le 7 avril 1987, d'[[Ali Mécili]], avocat au [[barreau de Paris]], figure marquante de l'opposition démocratique au régime d'Alger, bras droit de Hocine Aït Ahmed. Deux mois plus tard, la police française arrête le tueur présumé, un petit truand algérien aux ordres de la Sécurité militaire, les services secrets de l'armée algérienne. Mais au lieu d'être remis à la justice, il est réexpédié à Alger.
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