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Tout au long de sa détention, Aït Ahmed communique avec les dirigeants du FLN-[[Armée de libération nationale (Algérie)|ALN]]<ref>''La Guerre et l’Après-guerre'', éditions de Minuit, 1963, Paris.</ref>. Dans la plus importante de ces communications, Aït Ahmed en appelle avec urgence à la création d’un gouvernement provisoire en exil. Il considère que cette initiative peut contribuer à résorber la crise interne suscitée par des responsables qui s’opposent au [[congrès de la Soummam]] (tenu en août [[1956]]), et préparent un congrès antagoniste.
 
=== L’indépendance, lutte pour un État démocratique ===
{{Article détaillé|Crise de l’été 1962}}
Membre du [[Conseil national de la Révolution algérienne]] (CNRA) et du [[gouvernement provisoire de la République algérienne]] (GPRA), Hocine Aït Ahmed, dès sa libération, en 1962, prend une position ferme contre la violence de l’état-major des frontières. Il met en garde les notables politiques contre un processus de crise qui risque de dégénérer en [[guerre civile]].
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