« Laurent Ballesta » : différence entre les versions

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'''Laurent Ballesta''', né le {{date|15 mai 1974}} à [[Montpellier]], est un photographe naturaliste français. Il a notamment été l'un des premiers plongeurs autonomes à voir les [[cœlacanthe]]s vivant dans leur milieu naturel, dans le [[canal du Mozambique]] sur la côte-est de l'Afrique du Sud.
 
== Biographie ==
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[http://next.liberation.fr/images/2017/05/10/laurent-ballesta-la-mer-a-voir_1568645 «  Laurent Ballesta, la mer à voir »] sur ''[[Libération (journal)|Libération]]'', 10 mai 2017</ref>.
 
Il côtoie la vie sous-marine dès le plus jeune âge dans sa région natale du côté de [[Montpellier]], passe son baptême de plongée à 13 ans et devient [[moniteur de plongée]] à sa majorité<ref name="Laurent Ballesta, la mer à voir"/>. Naturellement, sesSes études universitaires concernerontle portent sur l’[[écologie benthique]] (la faune et la flore qui vivent sur le fond des mers). Titulaire d’une Maîtrise de Biologie de l’[[Université de Montpellier]], il poursuit son cursus universitaire avec un Master d’Ecologied’Écologie Méditerranéenne durant lequel il réalise la première cartographie bionomique des fonds marins de la [[Réserve Naturelle Marine de Cerbère-Banyuls]]. Ses études l'entraîneront également en [[Grèce]], en [[Corse]], et en [[Polynésie française]]. À 25 ans, il achève ses études en découvrant une nouvelle espèce de poissons pour la [[Méditerranée occidentale]], le [[gobie]] d’Andromède.
 
[[Photographie sous-marine|Photographe sous-marin]], il est le plus jeune photographe à avoir reçu la palme d’or au Festival Mondial de l’Image Sous-Marine, distinction qu'il est le seul également à avoir obtenu à trois reprises. Il a publiépublie des portfolios dans les plus grandsdes magazines de la presse française et étrangère ([[Paris Match]]<ref>En aout 2009, il a fêté sa {{100e|page}} dans Paris Match.</ref>, [[Figaro Magazine]], [[Ça m’intéresse]], [[VSD (magazine)|VSD]], [[National Geographic]], [[Daily Mail]], [[Stern (presse)|Stern]], View, Corriere Magazine, Terres Sauvages, Sciences & Vie, etc.).
 
Plongeur professionnel, il acosigne étéavec précurseurles enplongeurs utilisanttechniciens dèsEric 1999Bahuet et Jean-Marc Belin, un toutouvrage nouvelconsacré équipementaux méthodes de plongée sous-marine,permises par lel [[recycleur|scaphandre recycleur]] circuit fermé à gestion électronique de mélange, qui offre des perspectives révolutionnaires d’exploration sous-marine pour plonger plus profond et plus longtemps. Il a d’ailleurs cosigné avec les plongeurs techniciens Eric Bahuet et Jean-Marc Belin, le premier ouvrage entièrement consacré à ces nouvelles méthodes de plongée<ref>''Plongées Sans Bulles'', Ed. SVI Publicep, janv 2007, [http://www.plongees-sans-bulles.com voir en ligne]</ref>.
 
En parallèle, il apparaît à la télévision française depuis 1999, comme conseiller scientifique en environnement marin pour l'émission de télévision [[Ushuaia Nature]] sur [[TF1]] où on le voit régulièrement au côté de [[Nicolas Hulot]]<ref name="Laurent Ballesta, la mer à voir"/>. Il a ainsi participé à une trentaine d’expéditions à travers le monde.
 
En 2005, Laurentil cosigne avec Pierre Descamp le livre ''Planète Mers''<ref>''Planète Mers'', éditions Michel Lafon. Le livre a été vendu à plus de 40 000 exemplaires en France et traduit dans 5 langues par le prestigieux National Geographic.</ref>, fruit de 11 ans de prises de vue récoltées aux quatre coins des cinq océans de la planète, qui montre, raconte et explique la vie dans les océans. Ce travail a été récompensé par une palme d’Or en 2005 lors du Festival Mondial de l’Image Sous-Marine.
En 2000, il fonde avec [[Pierre Descamp]], son ami des bancs de l’Université l’association ''L’Œil d’Andromède'' ayant pour but de continuer à vivre leur passion pour les océans par l’étude et la valorisation du milieu marin qui aboutira en 2008 à la création d’une société, ''Andromède Océanologie'', dont les capacités d’expertise vont de la cartographie bionomique des fonds marins aux études d’impact des aménagements côtiers et à la gestion des écosystèmes littoraux.
 
De 2007 à 2009, entre des missions à l’étranger, il réalise plusieurs campagnes de plongée profonde en Méditerranée française jusqu'à -201 m.
En 2001, il réalise un programme de valorisation du patrimoine sous-marin de la [[Polynésie française]] et réalise à ce titre une série de documents pédagogiques et une série de posters de valorisation du patrimoine marin des différents archipels. L'année suivante, il est responsable d’un programme d’éco-valorisation du patrimoine sous-marin du Parc National d'[[Aqaba]] en [[Jordanie]], programme financé par la [[Banque mondiale]]. En 2003, il signe un premier ouvrage consacré à la faune et la flore subaquatique de sa région natale en France, le [[Languedoc-Roussillon]]<ref>''De la source à la mer'', éditions SVI publicep., 2003</ref>
 
En janvier 2010, avec son équipe, il ramène de sa plongée autonome dans le [[canal du Mozambique]] sur la côte-est de l'[[Afrique du Sud]] des photographies du [[cœlacanthe]], le fameux poisson « fossile ». Cette découverte fait l’objet d’une émission spéciale [[Ushuaia Nature]] fin 2010 et ces photos inédites ont été publiées par des magazines de la presse internationale<ref>dont National Geographic USA mars 2011.</ref>.
En 2004, ils organisent une mission scientifique ayant pour but de comprendre la reproduction des [[requin]]s en Polynésie qui n’a jamais été observé jusque-là. Cela entraînera la réalisation d’un documentaire, ''Le {{7e|ciel}} des requins gris''<ref>Documentaire réalisé par Cyril Tricot pour Canal plus et France 3 et écrit par Pierre Descamp et Laurent Ballesta.</ref>.
 
En 2005, Laurent cosigne avec Pierre Descamp le livre ''Planète Mers''<ref>''Planète Mers'', éditions Michel Lafon. Le livre a été vendu à plus de 40 000 exemplaires en France et traduit dans 5 langues par le prestigieux National Geographic.</ref>, fruit de 11 ans de prises de vue récoltées aux quatre coins des cinq océans de la planète, qui montre, raconte et explique la vie dans les océans. Ce travail a été récompensé par une palme d’Or en 2005 lors du Festival Mondial de l’Image Sous-Marine.
 
Au printemps 2006, Le [[Sénat (France)|Sénat de la République Française]] a rendu hommage à son travail par une exposition photographique publique intitulée ''Planète Mers4'. Il est aussi le plus jeune photographe à avoir été exposé sur les célèbres grilles du [[Jardin du Luxembourg]] à Paris et les expositions publiques vont alors se suivre à [[Hambourg]], [[Bonn]], [[Vannes]], [[Toulouse]], [[Saint-Raphaël (Var)|Saint Raphaël]], [[Nice]], [[Varsovie]], [[Łódź]], [[Monaco]], [[Bangkok]]…
 
En 2007, il monte une expédition pour réaliser les premières observations naturalistes dans les grandes profondeurs des canaux de la [[Terre de Feu]] en [[Patagonie]] et illustrer des animaux jamais illustrés jusque-là. En 2008, il part en [[Nouvelle-Calédonie]], pour explorer la zone crépusculaire au-delà de {{unité|100|m}} des [[îles Loyauté]] dont il en ramènera des espèces jamais photographiées jusque-là et un film, ''Au royaume du nautile'', produit pour l’aquarium [[Océanopolis]] de [[Brest]].
 
De 2007 à 2009, entre des missions à l’étranger, il réalisera plusieurs campagnes de plongée profonde en Méditerranée française jusqu'à -201 m. Il parviendra ainsi à produire un nouvel ouvrage, ''Dans les profondeurs de la baie des Anges'', et présenter une exposition publique à Nice sur la célèbre [[Promenade des Anglais]], où apparaissent pour la première fois la faune des grandes profondeurs de la Méditerranée. En 2010, une réédition augmentée vient compléter ce travail qui s’enrichit un peu plus chaque année, ''Secrets de Méditerranée''. À cette occasion, il signe la photographie la plus profonde du monde réalisée en plongée autonome à -190 m de fond.
 
Fort de ce savoir-faire en plongée profonde, il réalise en mai 2009, une expédition confidentielle en [[Afrique du Sud]] pour vérifier un vieux rêve… En janvier 2010, il y retourne avec son équipe et parviendra, toujours en plongée autonome, à ramener les toutes premières photographies du [[cœlacanthe]], le fameux poisson « fossile », la plus grande découverte zoologique du {{s-|XX|e}} que l’on croyait disparu depuis 65 millions d’années et que seuls les robots ou les sous-marins avaient réussi à filmer jusque-là. Cette première mondiale a fait l’objet d’une émission spéciale [[Ushuaia Nature]] fin 2010 et ces photos inédites ont été publiées par les grands magazines de la presse internationale<ref>dont National Geographic USA mars 2011.</ref>.
 
Début 2011, la jeune société Andromède emménage dans de nouveaux locaux en bord de mer, pour héberger leur bureau d’étude, crée la première galerie d’art et d’éducation entièrement consacrée aux océans, et ouvre un centre de plongée, de découverte de la biodiversité et d’initiation à la prise de vue sous-marine. Leurs locaux reflètent ainsi l’esprit d’Andromède : à la croisée entre science et image, faire le lien entre la sensibilisation vers le grand public et l’expertise environnementale la plus rigoureuse.
 
En janvier 2013, il reçoit le prix international Hans Hass Award qui récompense les hommes et les femmes qui ont accompli des projets d’exploration sous-marine inédits, scientifiques et artistiques, et dont le parcours est susceptible de créer des vocations chez les plus jeunes.  
En 2012, Il publie un livre commandé par l'[[Agence de l'eau]], ''Odyssée dans les eaux d’ici'', un hommage à la [[Biodiversité marine|biodiversité aquatique]] de sa région natale à l’occasion de ses 20 ans de photographies subaquatiques. En parallèle, il participe à un documentaire réalisé par Luc Marescot pour France 2 qui va amener Laurent et son équipe à plonger dans les eaux dorées du [[delta de l'Okavango]] pour un face-à-face inoubliable avec le [[crocodile du Nil]].
 
Début 2013, Il publie un livre sur la vie marine des zones portuaires à la demande du [[Grand port maritime de Marseille]], ''Fos''. Suivant la mode de « l’Urban Wild Life », mais appliquée au monde sous-marin, il va immortaliser au fil des 4 saisons, cette vie insolite, précaire, mais bien présente qui s’épanouit sous les grues et les tankers. Son message est clair : un port ne favorisera jamais la biodiversité marine, mais cette dernière, par contre, valorise le port qui l’héberge ; aux gestionnaires de faire en sorte que cet écosystème particulier perdure.
 
En janvier 2013, il reçoit le prix international Hans Hass Award qui récompense les hommes et les femmes qui ont accompli des projets d’exploration sous-marine inédits, scientifiques et artistiques, et dont le parcours est susceptible de créer des vocations chez les plus jeunes. 
 
En avril et mai 2013, grâce au soutien financier de la manufacture de haute horlogerie [[Blancpain]], Laurent et son équipe retournent plonger avec le cœlacanthe pour une mission scientifique élaborée avec le [[Muséum national d'histoire naturelle|Museum national d’Histoire Naturelle de Paris]]. Jamais auparavant des protocoles scientifiques n’avaient été mis en place par des plongeurs à de telles profondeurs, entre 120 et {{unité|145|m}}. Cette aventure fera l’objet d’un film de 90 min en prime-time pour la chaine de télévision Arte et France 2 (récompensé déjà par 3 grand prix dans des festivals internationaux) 
 
En janvier 2014, Laurent publie son dernier livre ''Gombessa, rencontre avec le cœlacanthe'', le seul recueil photographique à l’heure actuelle sur ce sujet. Il y présente ses meilleures images, celles du poisson mythique et de son environnement ; et retrace l’histoire et les rebondissements d’une aventure qui aura duré 5 années. 
 
En juin 2014, Blancpain renouvelle sa confiance permettant à Laurent de réaliser l’expédition Gombessa 2 « le mystère mérou de Fakarava ». Comme avec le cœlacanthe, le challenge est triple, mystère scientifique autour du rassemblement des mérous, scoop images en utilisant uniquement les techniques du ralenti pour figer les comportements de reproduction et de prédation trop rapides pour l’œil humain, et défi de plongée avec une immersion record de 24 heures à plus de {{unité|20|m}}. Cette aventure a fait l’objet d’un film de 90 minutes pour [[Arte]] diffusé le 11 juillet 2015 en prime-time. 
 
D’octobre à fin décembre 2015, Laurent est parti avec son équipe en [[Antarctique]] toujours avec le soutien de Blancpain, en compagnie d’un autre photographe, Vincent Munier, dans le cadre d’un projet initié par le réalisateur Luc Jacquet (La marche de l’empereur) pour des explorations profondes inédites sous la banquise ... Au programme, un nouveau film de 90 min pour ARTE, un livre et une exposition « en temps réel » puisque les photographies étaient envoyées en France depuis la [[Base antarctique Dumont-d'Urville|base Antarctique Française Dumont d’Urville]] au fur et à mesure que se déroulait l’expédition et exposées jour après jour à Paris pendant la [[COP21]]. 
 
En juin 2016, il retourne pour la {{3e|année}} consécutive sur l'[[Fakarava (Polynésie française)|atoll de Fakarava]] pour photographier, filmer et étudier la chasse nocturne des [[requin gris|requins gris]] de la passe sud. Au total plus de 200 heures de plongée de nuit cumulées pendant 45 jours d'expédition.
 
En juin et juillet 2017, grâce au soutien de Blancpain et fort des trois dernières expéditions à Fakarava, Laurent Ballesta et son équipe retournent dans les Tuamotu pour une ultime expédition, GOMBESSA IV, afin d'étudier la chasse nocturne des requins dans la passe sud de Fakarava, et de mener une campagne de plongées profondes sur la pente externe des passes de d'autres atolls comme Toau, Apataki ou encore Tahanea. L'expedition a regroupé plus de 30 personnes sur le terrain : cameraman terrestres et sous marins, plongeurs, scientifique, équipe de tournage et logisticiens, afin de percer le secret des chasses en meute des requins qui semble anarchique. Pour ce faire, l'équipe a balisé la passe et marqué 40 requins d'émetteurs acoustiques, les plongeurs se sont immergés chaque nuit pendant plus de 50 jours équipés de caméras haute vitesse, de caméras 360º, et d'une rampe dédiée à la technique du bullet time shot afin de ramener des images de comportement inédites de ces chasses nocturnes et d'en étudier le fonctionnement.
 
== Publications ==
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== Distinctions cinématographiques ==
{{pertinence section|date=février 2019|texte=où sont les [[WP:SPS|sources secondaires]] justifiant les distinctions les plus notables ?}}
* Le septième Ciel des requins gris [[2004]]
** Grand Prix du documentaire animalier au Golden Dolphin [[2006]] (Festival International de [[Moscou]])
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** Prix Alain Estève du festival international du film d'aventures de Val-d'Isère
** Best ecosystem film au Jackson Hole Wildlife film festival
 
== Émissions télévisées ==
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les seigneurs des océans'' ([[Nouvelle-Zélande]], 2000)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les évadés du temps'' ([[Nouvelle-Guinée occidentale]], 2000)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''La forêt des mutants'' ([[Bornéo]], 2001)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''La constellation des îles'' ([[Hawaii]], [[Polynésie française]], 2002)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les sortilèges de l'Île Rouge'' ([[Madagascar]], 2002)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''La vie à l'extrême'' ([[Sibérie]], 2002)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Au pays des pharaons noirs'' ([[Soudan]], 2003)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Le désert des Léviathans'' ([[Péninsule de Basse-Californie|Basse-Californie]], 2004)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''L'esprit Nomade'' ([[Mongolie]], 2004)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''La vie pas à pas'' ([[Équateur (pays)|Équateur]], [[Îles Galápagos]], 2004)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Le repaire de la licorne'' ([[Arctique]], 2005)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Le temps du rêve et de la création'' ([[Australie]], 2005)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''L'île de Robinson'' ([[Chili]], 2006)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Tension en eaux troubles'' ([[Botswana]], [[Afrique du Sud]], 2007)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''D’un océan à l’autre'' ([[Costa Rica]], [[Belize]], 2007)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les codes secrets de la nature'' ([[Indonésie]], [[Philippines]], 2008)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les derniers hommes libres'' ([[Amazonie]], 2008)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Un jour la terre s'est noyée'' ([[Espace Caraïbe|Caraïbes]], 2008)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Voyage extraordinaire en Afrique Australe'' ([[Zambie]], [[Namibie]], 2009)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''On a marché sur l'Islande'' ([[Islande]], 2010)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Aventures sur le canal du Mozambique'' ([[Mozambique]], à la rencontre du [[cœlacanthe]] 2010)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Tchad - Espoir de vie'' ([[Tchad]], 2011)
* [[Ushuaïa Nature]] : ''Les Géants du Far East'' ([[Russie]] - [[Kamtchatka]], 2011)
 
== Récompenses ==
{{pertinence section|date=février 2019|texte=où sont les [[WP:SPS|sources secondaires]] justifiant les récompenses les plus notables ?}}
* Festival Mondial de l’Image Sous-Marine d’[[Antibes]] [[2000]]
** Plongeur d'Or [[2000]]
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