« Robert Benayoun » : différence entre les versions

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== Biographie ==
 
Il rejoint le [[surréalisme]] en [[1948]] et fonda avec [[Ado Kyrou]] la revue ''[[L'Âge du cinéma (revue)|L'Âge du cinéma]]'' en [[1951]] dont il sera le rédacteur en chef. Il collabore régulièrement aux revues surréalistes à partir de ''[[Médium (spiritualité)|Médium]]'', notamment ''[[Le Surréalisme même]]'' et ''[[La Brêche (revue)|La Brêche]]''. En 1960, il s'est rendu avec le Groupe surréaliste au [[Désert de Retz]] et apparaît à cette occasion dans le reportage photographique de [[Denise Bellon]] aux côtés d'[[André Breton]]. Ll signe le ''[[Manifeste des 121]]'', déclaration sur le « droit à l'insoumission » dans le contexte de la [[guerre d'Algérie]].
 
Il publie l'une des premières études sur la biographie de [[Sigmund Freud|Freud]] due à [[Ernest Jones]]. Pamphlétaire de talent, il « démolit » l'ouvrage de [[Louis Pauwels]] et [[Jacques Bergier]], ''[[Le Matin des magiciens]]'', notamment dans la préface de sa traduction du ''Livre des damnés'' de [[Charles Hoy Fort]], laquelle déclenche une vive polémique entre surréalistes et les membres de la revue ''[[Planète (revue)|Planète]]''. Il a traduit également les poèmes d'[[Edward Lear]] et ''[[L'île fantôme]]'' de [[Washington Irving]]. Il a aussi révélé une importante œuvre de collagiste<ref>[[Gérard Legrand]], ''[[Dictonnaire général du surréalisme et de ses environs]]'', 1982</ref>.
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Il a été membre du jury du [[Festival de Cannes]] en [[1980]].
 
En 1960, il signe le ''[[Manifeste des 121]]'', déclaration sur le « droit à l'insoumission » dans le contexte de la [[guerre d'Algérie]].
 
== Référence ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Benayoun ».