Une « [[Mandat d'arrêt international|notice rouge]] » est émise par [[Interpol]] à la demande du [[Kazakhstan]], de l'[[Ukraine]] et de la [[Russie]] <ref name="Lefigaro.fr 2013-10-03"/>{{,}}<ref>[http://francekoul.com/articles/moukhtar-ablyazov-les-juges-et-la-politique Moukhtar Ablyazov, les juges et la politique]</ref>{{,}}<ref>[http://monde-news.qlh.fr/tag/abliazov/ La France va extrader l'opposant Abliazov vers la Russie ou l'Ukraine].</ref>. Il faut noter qu'un risque d'instrumentalisation politique de ces avis de recherche internationaux<ref>{{Lien web|langue = |titre = Les «notices rouges» d'Interpol dans le viseur d'ONG|url = http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/01/09/01016-20140109ARTFIG00583-les-notices-rouges-d-interpol-dans-le-viseur-d-ong.php|site = le Figaro|date = |consulté le = 12/01/2015}}</ref> a été dénoncée en 2008 par l'Agence des Nations Unis pour les réfugiés<ref>{{Lien web|langue = |titre = rapport UNHCR|url = http://www.refworld.org/pdfid/4794c7ff2.pdf|site = |date = |consulté le = }}</ref>. Une ONG anglaise Fair Trials International va plus loin en dénonçant l'utilisation abusive des notice rouges à des fins politiques dans son rapport en Novembre 2013<ref>{{Lien web|langue = |titre = Strengthening
respect for human rights,
strengthening INTERPOL|url = http://www.fairtrials.org/wp-content/uploads/Strengthening-respect-for-human-rights-strengthening-INTERPOL4.pdf|site = |date = |consulté le = }}</ref>. Open Dialog Foundation, une autre ONG basée à Varsovie, dresse un constat similaire dans son rapport sorti en Septembre 2014. Les régimes autoritaires recourentsont soupçonnés par ces ONG de recourir aux avis de recherches internationaux beaucoup plus souvent que les démocraties (à l'exception des EU): 160 notices pour la Russie, l’Azerbaïdjan et le Vietnam, 148 pour le Tadjikistan contre 11 pour la France et 5 pour l'Allemagne<ref>{{Lien web|langue = |titre = Les notices rouges d'Interpol, arme de Vladimir Poutine contre ses opposants politiques|url = http://www.slate.fr/story/93787/interpol-poutine-opposants-politiques|site = |date = |consulté le = }}</ref>. Le financement de ces ONG est toutefois sujet à caution ainsi que les intérêts cachés pour lesquelles elles interviennent. L'Open Dialog Foundation, dont la militante Lyudmyla Kozlovska s'est vue expulser de Pologne et interdire l'accès à l'[[espace Schengen]]<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|nom1=Zbytniewska|prénom1=Karolina|titre=Varsovie fait expulser une militante des droits de l’Homme|url=https://www.euractiv.fr/section/politique/news/polands-deportation-of-human-rights-activist-the-back-story/|site=euractiv.com|date=2018-08-23|consulté le=2019-05-23}}</ref> du fait de ses activités, est notamment dans le viseur des autorités pour blanchiment de fonds. Ces faits ont été révélés par le [[Sunday Times]] en avril 2018<ref>{{Article|langue=en|prénom1=Carlos Alba and Jordan|nom1=Ryan|titre=Scots firms ‘in £26m laundering link to Putin’|périodique=The Sunday Times|date=2019-04-21|issn=0956-1382|lire en ligne=https://www.thetimes.co.uk/article/scots-firms-in-26m-laundering-link-to-putin-p9zsjghsn|consulté le=2019-05-23}}</ref>. L'ONG est par ailleurs soupçonnée de coopération avec les services secrets russes<ref>{{Lien web|langue=en-US|nom1=Redefyne|titre=Human Rights NGO Open Dialogue Foundation "suspected of cooperating with Russian intelligence" - EU Today|url=https://eutoday.net/news/human-rights/2019/human-rights-ngo-open-dialogue-foundation-suspected-of-cooperating-with-russian-intelligence|site=eutoday.net|consulté le=2019-05-23}}</ref>.
