« Tripoli (Liban) » : différence entre les versions
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Du temps des Mamelouks, Tripoli garde encore un cachet tout spécial constitué par les nombreux monuments religieux reconnus par les couleurs blanches et noires de leurs façades. La vieille ville renferme des églises et quelques mosquées hors du commun.
On retrouve, dans le cœur de Tripoli, les [[Souk|souks]] El Bazerkane et Al-Attarine, Bab el Ramal, de vieilles maisons ou d'anciens palais marqués par le temps et les décennies de négligence, témoins du faste de la ville, ainsi que des maisons méconnues car cachées. Tripoli possédait plusieurs portes qui ont disparu mais qui ont donné leurs noms à des quartiers résidentiels de la ville. Ce sont Bab El Tabaneh (porte de la paille), Bab El Hadid (porte de fer, hadid) et Bab El Ramal (Porte du sable, raml). D'autres quartiers forment la ville de Tripoli, dont Al-Qobeh et Abou Samra situés sur les deux collines de la ville, Zahrieh, Tal, Azmi, Tariq el Mina, aussi bien qu'Aswaq, Swaiqa, Hadadine, etc.
Le {{date-|22 juin 1893}}, le {{HMS|Victoria|1887}} entre en collision avec le {{Lien|langue=en|trad=HMS Camperdown (1885)|texte=HMS ''Camperdown''}} au cours de manœuvres près du port de Tripoli. Le premier coule rapidement, emportant avec lui 358 membres d’équipage, y compris le commandant de la flotte britannique de Méditerranée.
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