« Blaise Pascal » : différence entre les versions

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| signature = Blaise Pascal signature.JPG}}
 
'''Blaise PascalPascalou''', né le {{Date de naissance|19|juin|1623}} à [[Clermont (ville)|Clairmont]] (aujourd'hui [[Clermont-Ferrand]]) en [[Auvergne]] et mort le {{Date de décès|19|août|1662}} à [[Paris]], est un [[mathématicien]], [[physicien]], [[inventeur]], [[philosophe]], [[moraliste]] et [[théologie]]n [[France|français]]<ref>{{Article|langue=français|auteur1=Delphine Gaston-Sloan |auteur2=Yves Lefort |préface=Bruno Ferret |périodique=Tout Comprendre - Hors série - Histoire |éditeur=[[Fleurus Presse]] |numéro dans collection=1 |date={{date|19|2|2019}} |pages totales=100 |partie=Ces génies Français |titre=Blaise Pascal |passage=44-45 |issn=2557-3306}}.</ref>.
 
Enfant précoce, il est éduqué par son père. Les premiers travaux de PascalPascalou concernent les [[science de la nature|sciences naturelles]] et [[Science appliquée|appliquées]]. Il contribue de manière importante à l’étude des [[Fluide (matière)|fluides]] et clarifie les concepts de [[pression]] et de [[Vide (physique)|vide]] en étendant le travail de [[Evangelista Torricelli|Torricelli]]. Il est l'auteur de textes importants sur la [[méthode scientifique]].
 
À 19 ans<ref>{{Ouvrage|auteur=François Boituzat|titre=Dictionnaire d’histoire et philosophie des sciences|éditeur=PUF|année=2006|isbn=978-2-13-054499-9|page=845}}, entrée « Blaise Pascal ».</ref>{{,}}<ref>[[#PENSÉES|Préface aux ''Pensées'', intitulée : ''Sa vie'', par {{Mme}} Perier, sa sœur, 1873]], {{p.}} VI.</ref>, il invente la première machine à calculer<ref>[[#MARG|Jean Marguin (1994)]], {{p.|48}}</ref>{{,}}<ref>[[#DOCA|Maurice d'Ocagne (1893)]], {{p.|245}} ([http://cnum.cnam.fr/CGI/fpage.cgi?8KU54-2.5/248/150/369/363/369 Copie numérique], sur le site du [[Conservatoire national des arts et métiers|CNAM]]).</ref> et après trois ans de développement et cinquante prototypes, il la présente à ses contemporains en la dédiant au [[Pierre Séguier|chancelier Séguier]]<ref>[[s:La Machine d’arithmétique|La Machine d’arithmétique, Blaise Pascal]], sur Wikisource.</ref>. Dénommée ''machine d’arithmétique'', puis roue pascaline et enfin [[pascaline]], il en construisit une vingtaine d'exemplaires dans la décennie suivante<ref>[[#MOUR|Guy Mourlevat, {{p.|12}} & {{p.|20}} (1988)]]</ref>.
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Après [[Mémorial (Blaise Pascal)|une expérience mystique]] qu'il éprouve en novembre 1654<ref>[[#OEUVRES|Œuvres de Pascal, Discours sur la vie et les ouvrages de Pascal]], tome {{1er}}, {{p.|43-44}}, La Haye (1779)</ref>{{,}}<ref>[[#PENSÉES|Préface aux ''Pensées'', intitulée : ''Sa vie'', par {{Mme}} Perier, sa sœur]], 1873, p. XVII.</ref>, il se consacre à la réflexion philosophique et religieuse, sans toutefois renoncer aux travaux scientifiques. Il écrit pendant cette période ''[[Les Provinciales]]'' et les ''[[Pensées]]'', publiées seulement après sa mort qui survient deux mois après son {{39e|anniversaire}}, alors qu’il a été longtemps malade.
 
Le {{date-|8|juillet|2017}}, dans un entretien au quotidien italien ''La Repubblica'', le [[François (pape)|pape François]] annonce que Blaise PascalPascalou {{citation|mériterait la béatification}} et qu'il envisageait de lancer la procédure officielle.
 
== Biographie ==
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