« Salon du livre de Beyrouth » : différence entre les versions
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En 2008, l’organisation du Salon revient au Syndicat des importateurs de livres. Le Bureau du livre de l’Ambassade de France peut centrer son intervention sur la programmation culturelle : cette édition est l’occasion de recevoir une centaine d’écrivains dont une quarantaine venus de l’étranger, et de découvrir de très nombreux auteurs francophones libanais ainsi qu’un large programme de conférences et de rencontres.
À partir d’avril 2009 et durant un an, Beyrouth est « [[Capitale mondiale du livre]] » de
En 2010 et 2011, le Salon, qui confirme sa position phare dans la vie culturelle libanaise, s’organise autour de grands thèmes : « Les mots de la [[Méditerranée]] » (en 2010) et « Les mots de la liberté » (en 2011)<ref name="clesmoyeno">Chloé Domat, [https://www.lesclesdumoyenorient.com/Entretien-avec-Martine-Gillet-sur.html Entretien avec Martine Gillet sur le salon du livre francophone de Beyrouth], ''lesclesdumoyenorient.com'', 26 octobre 2011</ref>.
En 2011, la [[Belgique]] est l’invitée d’honneur. Quelque 150 auteurs, dont 52 étrangers, et notamment les frères [[Famille Schuiten|Schuiten]] qui créent « en live » et en musique le dernier épisode d’une série BD<ref name="clesmoyeno"/>, dédicacent leurs ouvrages à ce salon.
En 2012, le Salon fête ses {{nombre|20|ans}} avec l'[[Académie Goncourt]] comme invitée d'honneur. Plus de 150 auteurs sont présents pour dédicacer leurs ouvrages, dont 57 étrangers. Cette édition est également marquée par le lancement du Prix ''Le Choix de l'Orient'', sur le modèle du prix ''[[Liste Goncourt : le choix polonais]]'', remporté par [[Mathias Énard]] pour son livre ''[[Rue des voleurs]]'' ([[Actes Sud]]).
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