« Cédric O » : différence entre les versions

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| université = [[Lycée du Parc]]<br />[[École des hautes études commerciales de Paris|HEC]]
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'''Cédric O''', né le {{date de naissance|18 décembre 1982}} à [[L'Arbresle]] ([[Rhône (département)|Rhône]]), est un [[Personnalité politique|homme politique]] [[France|français]].
 
IlDirecteur estadjoint l’unde desla fondateurs[[élection duprésidentielle mouvementfrançaise politiquede 2012|campagne présidentielle]] de [https://[François Hollande]] en 2012, il est membre du cabinet d'[[Emmanuel Macron]] au sein du [[Gouvernement Jean-marcheMarc Ayrault (2)|gouvernement Ayrault]].fr/ Il figure parmi les cofondateurs d'[[La République en marche|En Marchemarche]], devenu La République en marche, dont il est membrele dupremier bureautrésorier exécutifet, depuis sa2017, création.membre Endu maibureau exécutif. De 2017 à 2019, il est nommé conseiller conjoint audu [[EmmanuelPrésident Macronde la République française|président de la République]] Emmanuel Macron et audu [[ÉdouardPremier Philippeministre français|Premier ministre]], chargé[[Édouard des participations publiques et de l'économie numériquePhilippe]].
 
Depuis le {{date-|31 mars 2019}}, il est [https://www.gouvernement.fr/ministre/cedric-o[Liste des ministres français du Numérique|secrétaire d'État chargé du Numérique]].
 
== Famille ==
Cédric O naît le {{date-|18 décembre 1982}} à [[L'Arbresle]]<ref name=":1">{{Lien web|langue=fr|titre=Cédric O|url=https://www.gouvernement.fr/ministre/cedric-o|site=Gouvernement.fr|consulté le=2019-04-03}}</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=fr-FR|titre=Les marcheurs d'Emmanuel Macron|périodique=France Culture|date=2017-05-07|lire en ligne=https://www.franceculture.fr/politique/les-marcheurs-demmanuel-macron|consulté le=2017-12-21}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|titre= Cédric O, le "geek" de Macron, nommé secrétaire d'Etat au Numérique|url=https://www.bfmtv.com/politique/cedric-o-le-geek-de-macron-nomme-secretaire-d-etat-au-numerique-1663875.html#xtor=AL-68|consulté le=2019-04-01}}</ref>. Il est le fils d'une enseignante Françaisefrançaise originaire de [[Lyon]] et d'un cadre Coréencoréen reparti vivre à [[Séoul]]<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=Déserts|prénom1=Sophie des|nom2=France|prénom2=Condé Nast Digital|titre=La bande de copains qui a porté Macron à l'Élysée|url=https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/article-mag-la-bande-de-copains-qui-a-porte-macron-a-lelysee/58171|site=Vanity Fair|date=2017-11-27|consulté le=2019-06-27}}</ref>. Il étudie au [[lycée du Parc]], à Lyon<ref name="VF">Sophie des Déserts, « Le casse du siècle », ''[[Vanity Fair (magazine)|Vanity Fair]]'' n°53, décembre 2017, pages 108-115 et 154-155.</ref>. Il est le frère de [[Delphine O|Delphine]]<ref O.name="VF"/> (née en 1985) qui, suppléante de [[Mounir Mahjoubi]], lui a succédé comme députée de la seizième circonscription de Paris lorsque celui-ci est entré au gouvernement comme secrétaire d'État au Numérique.
 
== Parcours professionnel ==
Il est diplômé de [[École des hautes études commerciales de Paris|HEC Paris]] en 2006<ref name=":1" />, où il se lie d'amitié avec [[Stanislas Guerini]]<ref name="Apprentis">{{Ouvrage |auteur1=Jérémy Marot |auteur2=Pauline Théveniaud |titre=Les Apprentis de l'Élysée |sous-titre= |éditeur=Plon |collection= |lieu= |année=2019 |volume= |tome= |pages totales=280 |passage=316 |isbn= |lire en ligne= }}.</ref>. Il cumule des fonctions de conseiller politique avec une activité dans le privé. En 2007, il est communicant pour la société Opérationnelle<ref name="VF"/>. Il travaille chez Safran entre 2014 et 2017, comme chargé de mission auprès du directeur industriel groupe puis comme responsable de production chez [[Safran Aircraft Engines]]<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=|prénom1=|nom1=|titre=Cédric O, un ancien de Safran au secrétariat d’État au Numérique - Dirigeants|périodique=L'Usine Nouvelle|date=2019-04-01|issn=|lire en ligne=https://www.usinenouvelle.com/article/cedric-o-un-ancien-de-safran-au-secretariat-d-etat-au-numerique.N824760|consulté le=2019-06-27|pages=}}</ref>. Il rejoint les [[Cabinet du président de la République française|équipes]] du [[présidence d'Emmanuel Macron|palais de l'Élysée]] après la victoire d'Emmanuel Macron à l'[[élection présidentielle française de 2017|élection présidentielle de mai 2017]].
Diplômé d’[https://www.hec.edu/fr HEC] en 2006, il travaille pour une PME spécialisée dans le conseil et la communication publique de 2007 à 2010. Il travaille pour le groupe Safran entre 2014 et 2017, comme responsable de l’usine du futur (2014 - 2015) puis devient agent de maîtrise (2016 - 2017) au sein de l’usine de Gennevilliers pour [https://www.safran-group.com/fr/groupe?gclid=CjwKCAjwkqPrBRA3EiwAKdtwk3B3x_cj_oDNb86WsDIZl0A1jqwfJ2RK1pBRV7K4pK-tYk_yBTTXOxoCwAMQAvD_BwE Safran Aircraft Engine].
 
== Activités politiques ==
=== SesAuprès débutsde enDominique politiqueStrauss-Kahn ===
Avec [[Ismaël Emelien]], [[Benjamin Griveaux]] ou encore [[Stanislas Guerini]], il fait partie de l'équipe de campagne de [[Dominique Strauss-Kahn]] pour la [[Primaire présidentielle socialiste française de 2006|primaire PS de 2006]], et participe à la création du [[think tank]] [[Terra Nova (think tank)|Terra Nova]]. Après la campagne de 2007, il cherche à s'implanter à la section locale du PS des [[Pavillons-sous-Bois]] puis aide [[Benjamin Griveaux]] pour sa campagne cantonale en [[2008]] à [[Chalon-sur-Saône]]<ref name="VF"/>.
En 2006, il rejoint la campagne de [[Dominique Strauss-Kahn]] pour la primaire du [[Parti socialiste (France)|Parti socialiste]]. En juillet 2010, il devient collaborateur de [[Pierre Moscovici]] auprès duquel il participera, en 2012, à la campagne pour l’élection présidentielle de François Hollande. De 2012 à 2014, il est conseiller du [https://www.economie.gouv.fr/ ministre de l’Économie et des Finances].
 
=== Sous la présidence de François Hollande ===
=== L'aventure [[En marche !|En Marche !]]===
En juillet 2010, il est conseiller parlementaire du député [[Pierre Moscovici]]<ref name="VF"/>. Il est directeur adjoint de l'équipe de campagne de François Hollande en 2012<ref>{{Article|langue=fr|prénom1=David Revault|nom1=d'Allonnes|titre=L'équipe de François Hollande dévoilée|périodique=Le Monde.fr|date=2011-11-16|issn=1950-6244|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/16/l-equipe-de-francois-hollande-devoilee_1604247_823448.html|consulté le=2017-07-14}}</ref>{{,}}<ref name="Figaro0419"/>, chargé des réponses aux interviews<ref>{{Lien web|auteur=Laure Bretton |titre=L’heure des cadors juniors |url=http://www.liberation.fr/france/2012/05/11/l-heure-des-cadors-juniors_818216 |date=11 mai 2012 |site=liberation.fr |consulté le=23 juillet 2018}}.</ref>. ''Le Figaro'' indique qu'après l'[[affaire Dominique Strauss-Kahn]], {{cita|il se résout à faire la campagne [de François Hollande] sans grande conviction}}<ref name="Figaro0419"/>.
Il est l’un des fondateurs d'[https://en-marche.fr/ En Marche], dont il est membre du bureau exécutif. En mai 2017, il est nommé conseiller conjoint au [[Emmanuel Macron|président de la République]] et au [[Premier ministre français|Premier ministre]], chargé des participations publiques et de l'économie numérique. Il est à l'origine du sommet Tech for Good, qui a permit de rassembler à l’Élysée les patrons des plus grandes entreprises du numérique au monde ([[IBM]], [[Facebook (entreprise)|Facebook]], [[Microsoft]], [[Uber (entreprise)|Uber]]) pour [https://www.lejdd.fr/International/quand-leconomie-digitale-se-transforme-au-sommet-a-paris-3898036 les encourager à progresser dans le domaine des droits sociaux, de l'écologie, de la parité et de la diversité.] Il est également à l'initiative de l'évènement [https://www.gouvernement.fr/choose-france-un-sommet-pour-faire-rayonner-l-attractivite-economique-de-la-france Choose France], pour inciter les multinationales à investir en [[France]] et créer des emplois.
 
Après la victoire de François Hollande, alors que son nom est évoqué pour prendre la tête d'un ministère, il préfère rejoindre le groupe d’aéronautique [[Safran (entreprise)|Safran]], sur les recommandations de Pierre Moscovici, ce qu'il explique par sa volonté de se mettre en retrait du monde politique<ref name="Figaro0419"/>. Il intègre le cabinet d'[[Emmanuel Macron]] lorsque celui-ci est nommé ministre de l'Économie<ref name="Figaro0419"/>. Il compte parmi les organisateurs de la soirée French Tech à Las Vegas en 2016, qui sert de point de départ à la campagne présidentielle d’Emmanuel Macron<ref name="Figaro0419"/>.
 
=== Cadre d'En marche puis de La République en marche ===
Il est le premier trésorier d'[[La République en marche|En marche]] {{incise|devenu ensuite La République en marche}} jusqu'à son remplacement en {{date-|novembre 2017}} par Grégoire Potton<ref>https://www.streetpress.com/sujet/1525102896-gregoire-potton-ex-lieutenant-macron-dirige-red-star.</ref>{{,}}<ref name="VF"/>. Il dépose notamment les statuts du nouveau parti et organise sa levée de fonds pour la campagne présidentielle<ref name="Figaro0419"/>. Il est une cible privilégiée des hackers qui produisent les [[MacronLeaks]] : selon ''Le Figaro'', {{cita|il en ressort le portrait d’un pragmatique prudent sur la dépense, notamment à l’embauche de chauffeurs}}<ref name="Figaro0419"/>.
 
Il est membre de la commission d'investiture de LREM pour les [[élections législatives françaises de 2017|élections législatives de 2017]]<ref>{{Article|langue=fr-FR|titre=Qui sont les trente proches d’Emmanuel Macron qui comptent au sein d’En marche ! ?|périodique=Le Monde.fr|lire en ligne=http://abonnes.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/05/02/qui-sont-les-trente-proches-d-emmanuel-macron-qui-comptent-au-sein-d-en-marche_5121041_4355770.html#cedric_o|date=2017/05/02|consulté le=2017-12-21}}</ref>{{,}}<ref name=":0">{{Lien web|titre=Entourages : Qui est Cédric O ? |url=https://www.lalettrea.fr/entourages/politique_ils-font-la-campagne/2011/12/19/qui-est-cedric-o,95449548-BRL|site=www.lalettrea.fr|consulté le=2017-12-21 |date= 19 décembre 2011}}</ref>. En novembre 2017, à l'occasion du conseil national de La République en marche, il intègre le bureau exécutif du parti<ref>{{Lien web |auteur=[[Laurent de Boissieu]] |titre=En Marche (EM) |url=http://www.france-politique.fr/wiki/En_Marche_(EM) |date= |site=france-politique.fr |consulté le=27 août 2018}}.</ref>.
 
=== Conseiller du président de la République et du Premier ministre ===
De 2017 à 2019, il est conseiller conjoint du président de la République [[Emmanuel Macron]] et du Premier ministre [[Édouard Philippe]], chargé des participations publiques et de l’économie numérique<ref>https://www.europe1.fr/politique/cedric-o-nomme-secretaire-detat-en-charge-du-numerique-3883940</ref>{{,}}<ref name="PetitesConcessions">{{Article |auteur1=Marc Endeweld |titre=Aéroports de Paris, petites concessions entre amis |périodique=[[Le Monde diplomatique]] |volume= |numéro= |date=juin 2019 |pages=1, 14, 15 |lire en ligne=https://www.monde-diplomatique.fr/2019/06/ENDEWELD/59940 |consulté le=17 juin 2019 |id= }}.</ref>. Selon ''[[Contexte (média)|Contexte]]'', il est alors {{citation|le principal artisan de la politique numérique du gouvernement, plus influent, mais moins médiatique}} que [[Mounir Mahjoubi]], et défend les intérêts des {{citation|lobbys du numérique}}<ref>{{Lien web |auteur1=Diane de Fortanier |auteur2=Tiphaine Saliou |auteur3=Guénaël Pépin |titre=Cédric O secrétaire d’État, les lobbys du numérique veulent croire en leur nouveau champion |url=https://www.contexte.com/article/numerique/cedric-o-secretaire-detat-les-lobbys-du-numerique-veulent-croire-en-leur-nouveau-champion_99223.html |date={{1er}} avril 2019 |site=contexte.com |consulté le=8 avril 2019}}.</ref>. À cette fonction, il est l'instigateur d'événements invitant les acteurs du secteur numérique à investir en France, tels que Tech For Good ou Choose France<ref name="Figaro0419">{{Lien web |auteur=Elisa Braun |titre=Qui est Cédric O, le nouveau secrétaire d’État au numérique? |url=http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/qui-est-cedric-o-le-nouveau-secretaire-d-etat-au-numerique-20190401 |date=2 avril 2019 |site=lefigaro.fr |consulté le=29 juin 2019}}.</ref>. Il supervise par ailleurs le [[Groupe ADP#Privatisation annoncée|projet de privatisation]] du [[groupe ADP]]<ref name="PetitesConcessions"/>.
 
=== Secrétaire d'État chargé du Numérique ===
Le 31 mars 2019, il est nommé [[Liste des ministres français du Numérique|secrétaire d'État chargé du Numérique]], auprès du ministre de l'Économie et des Finances. Il remplace [[Mounir Mahjoubi]], qui a démissionné pour préparer sa candidature en vue des [[Élections municipales de 2020 à Paris|élections municipales à Paris]]<ref>{{Lien web|auteur=Pierre Lepelletier|titre=Remaniement : Ndiaye, Montchalin et Cédric O nommés au gouvernement|jour=31|mois=mars|année=2019|url=http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2019/03/31/25001-20190331ARTFIG00113-remaniement-ndiaye-montchalin-et-cedric-o-nommes-au-gouvernement.php|site=[[Le Figaro]]|consulté le=31 mars 2019}}.</ref>.
Le 31 mars 2019, il est nommé [https://www.gouvernement.fr/ministre/cedric-o secrétaire d'État chargé du Numérique], auprès du ministre de l'Économie et des Finances, [[Bruno Le Maire]], et du ministre de l’Action et des Comptes publics, [[Gérald Darmanin]]. Dès son arrivée, il s'engage à "donner les moyens aux Français d'être acteurs et de ne pas subir" la transformation numérique. Il souhaite mettre tout en œuvre pour que les tous les Français soit à bord de la révolution numérique. Il a défini trois grandes priorités : [https://www.lesechos.fr/amp/1014504 "faire émerger des champions du numérique, favoriser l'accès aux services publics en ligne et mettre en place une véritable régulation des plateformes".] Il s'est également engagé pour qu'il y ait davantage de femmes qui s'investissent dans le secteur du numérique en France.
 
En {{date-|juin 2019}}, il défend la création par l'État d’un {{cita|Conseil de l’ordre des journalistes}}, si ceux-ci ne l’organisent pas d’eux-mêmes, afin de combattre la circulation de [[Fausse information|fausses informations]], et envisage des sanctions contre la diffusion de fausses nouvelles, émises par une autorité indépendante nommée par l’État<ref name="MesureFasciste">{{Lien web |auteur=Geoffroy Clavel |titre=Cédric O défend une mesure que Macron jugeait fasciste en 2017 |url=https://www.huffingtonpost.fr/entry/cedric-o-defend-une-mesure-que-macron-jugeait-fasciste-en-2017_fr_5d131b9ce4b0a394186adf42?ncid=other_trending_qeesnbnu0l8 |date=26 juin 2019 |site=huffingtonpost.fr |consulté le=26 juin 2019}}.</ref>. Alors que sa proposition déclenche une vague d'indignation au sein de la presse, Cédric O revient sur ses propos, indiquant qu'ils {{cita|ne sont en aucun cas la position du gouvernement}}, mais appelle les journalistes à s'organiser face aux ingérences étrangères, faisant référence notamment à [[RT (chaîne de télévision)|RT]] et [[Sputnik (agence de presse)|Sputnik]]<ref>{{Lien web |auteur=Maxime Tellier |titre=Un conseil de l'ordre pour les journalistes ? Le secrétaire d'État Cédric O fait machine arrière |url=https://www.franceculture.fr/medias/un-conseil-de-lordre-pour-les-journalistes-le-secretaire-detat-cedric-o-fait-machine-arriere |date=27 juin 2019 |site=franceculture.fr |consulté le=3 juillet 2019}}.</ref>.
Face au déferlement de [https://www.francetvinfo.fr/internet/securite-sur-internet/contenus-sur-internet-il-faut-faire-drastiquement-baisser-le-niveau-de-haine-en-ligne-demande-le-secretaire-detat-charge-du-numerique-cedric-o_3518911.html haine sur les réseaux sociaux], [https://www.rtl.fr/actu/politique/haine-sur-internet-ce-n-est-pas-aux-reseaux-sociaux-de-decider-ce-qui-est-legal-declare-cedric-o-7797916701 il s’exprime en juillet 2019 devant l'Assemblée nationale] pour soutenir la proposition de loi visant à lutter contre les contenus haineux sur Internet. [https://www.20minutes.fr/societe/2560439-20190709-haine-ligne-assemblee-vote-proposition-loi-avia-premiere-lecture La loi est adoptée à une large majorité par les députés le 9 juillet 2019.]
 
== Notes et références ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Cédric_O ».