« Henri II de Montmorency » : différence entre les versions

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En 1609, il épouse [[Jeanne de Scépeaux]] mais le mariage est annulé, faute de consommation. Après avoir failli épouser [[Catherine-Henriette de Bourbon|Mademoiselle de Vendôme]], fille naturelle d'Henri IV, il se marie en 1612 avec [[Marie-Félicie des Ursins]] dont il n'eut pas d'enfants<ref name="DictBluche">[[François Bluche]], « Montmorency », ''Dictionnaire du Grand Siècle'', sous la direction de François Bluche, Fayard, 1990, {{p.|1060}}</ref>.
 
Le [[père Anselme]] le décrit comme « vaillant, généreux, affable, libéral et magnifique, chéri et respecté des gens de guerre »<ref name="DictBluche"/>. Le 31 décembre 1619, il est nommé [[chevalier du Saint-Esprit]]. Il fut le protecteur de [[Théophile de Viau]], ce qui le rattache au grand mouvement philosophique libertinet sexuel des libertins comme [[Michel de Montaigne]], [[Hector Savinien Cyrano de Bergerac]], [[Jean de La Fontaine]], [[Molière]] et [[Bernard Gassendi]].
 
== L'amiral ==