« Sebastián Piñera » : différence entre les versions

À partir de mi-octobre 2019, il est confronté à des manifestations, les plus importantes depuis le retour de la démocratie en 1990. Piñera décrète l'état d'urgence et un couvre-feu, alors que les émeutes font 7 morts dont deux dans l'incendie d'un supermarché en train d'être pillé<ref>{{Lien web|auteur=|titre=Chili : deux morts dans les émeutes à Santiago|jour=|mois=|année=|url=https://www.lepoint.fr/monde/chili-3-morts-dans-les-emeutes-a-santiago-20-10-2019-2342300_24.php|site=Le Point|consulté le=20 octobre 2019}}.</ref>^,<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=BFMTV|titre=Chili: 7 morts dans les émeutes, le président déclare le pays « en guerre »|url=https://www.bfmtv.com/international/chili-7-morts-dans-les-emeutes-le-president-declare-le-pays-en-guerre-1790995.html|site=BFMTV|consulté le=2019-10-21}}</ref>. L'augmentation du prix des tickets de métro est l’élément déclencheur des manifestations, dont les causes reposent sur la contestation d'un modèle économique très inégalitaire, notamment dans la distribution des salaires ou dans l'accès à l'éducation et à la santé. Des forces militaires sont déployées dans les principales villes du pays<ref>{{Article |langue= |auteur1= |titre=Émeutes au Chili : les raisons de la colère |périodique=L'Express |date=20/10/2019 |issn= |lire en ligne=https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-sud/emeutes-au-chili-les-raisons-de-la-colere_2104390.html |pages= }}</ref>. Le dimanche 20 octobre il déclare que le pays est {{Citation|en guerre contre un ennemi puissant, implacable, qui ne respecte rien ni personne et qui est prêt à faire usage de la violence et de la délinquance sans aucune limite}}<ref>{{Lien web|langue=fr|nom1=magazine|prénom1=Le Point|titre=Émeutes au Chili : 7 morts, le pays déclaré « en guerre »|url=https://www.lepoint.fr/monde/emeutes-au-chili-7-morts-le-pays-declare-en-guerre-21-10-2019-2342374_24.php|site=Le Point|date=2019-10-21|consulté le=2019-10-21}}</ref>.