« Valérie Debord » : différence entre les versions

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Elle est ensuite présidente des Jeunes UDF de Meurthe-et-Moselle de 1998 à 2001. Élue adjointe au [[Maire (France)|maire]] de [[Nancy]], [[André Rossinot]], en 2001, elle rejoint l'[[Union pour un mouvement populaire|UMP]] en 2002 lors de sa création et est investie candidate pour les législatives de 2007 par ce parti, pour la [[Troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle|{{3e|circonscription}} de Meurthe-et-Moselle]], prenant la succession de [[Claude Gaillard]]. Elle est élue députée au deuxième tour contre Pascal Jacquemin ([[Parti socialiste (France)|PS]]) faisant ainsi son entrée à l'Assemblée nationale. Membre de la [[Commission des Affaires sociales (Assemblée nationale)|Commission des Affaires sociales]], elle a présidé la mission d'information parlementaire sur la prise en charge des personnes âgées dépendantes.
OPPORTUNISTE SURTOUT !!!
 
D'abord étiquetée comme proche du Premier ministre [[François Fillon]], elle est par la suite approchée par le président du groupe UMP, [[Jean-François Copé]], lequel œuvre pour lui confier plusieurs missions parlementaires. Elle est par exemple rapporteur de la réforme des universités. Alors que ce dernier est devenu secrétaire général de l'UMP, elle est chargée, le {{date-|5 avril 2011}}, d'animer le débat sur la laïcité qu'engage le parti. Elle profite désormais d'une certaine visibilité médiatique, devenant l'une des valeurs montantes de l'UMP tout en étant classée comme proche de Jean-François Copé<ref>Neila Latrous et Jean-Baptiste Marteau, « La revanche du collaborateur », in ''UMP - un univers impitoyable'', pages 105-106, 2011.</ref>.
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