« Histoire de la primatologie » : différence entre les versions

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Ypirétis (discuter | contributions)
m Désolé, mais "dépendance" ne convient pas ; on arrêterai d'observer les primates que la socio ou la psycho ne cesseraient pas d'avancer pour autant. Vous allez au-delà de vos sources
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m →‎Développement d'une discipline internationale (depuis 1980) : y'a d'autres trucs à sourcer par ailleurs
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== Développement d'une discipline internationale (depuis 1980) ==
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L'un des paradoxes de l'histoire de la [[primatologie]] moderne est que la science est née et a connu ses premières avancées majeures dans des régions du monde éloignées de l'habitat principal de son objet d'étude. En effet, à l'exception du [[Japon]], où l'étude de l'unique espèce présente sur l'archipel a été l'élément clé de ce développement, tous les foyers initiaux de la primatologie sont situés dans des pays qui ne comptent aucun primate. Mais à partir des [[années 1980]], la discipline s'internationalise, marquée symboliquement par la tenue du {{VII|e}} congrès de la [[Société internationale de primatologie]] pour la première fois dans un [[pays du Sud]] ([[Bangalore]], 1979), et par le lancement l'année suivante d'une revue à portée internationale, l'''[[International Journal of Primatology]]''. On assiste depuis au développement progressif de la primatologie dans ce qu'on appelle les « pays-hôtes », là où la diversité des espèces de primates est la plus grande.