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Sylvain cadieu (discuter | contributions)
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La police perquisitionne la bergerie de Bézaudun-les-Alpes où il vit avec sa femme, et y trouve grâce à un détecteur de métaux, sous un tas de fumier dans le poulailler, plusieurs armes de guerre (quatre pistolets automatiques, un fusil mitrailleur, des chargeurs et des munitions, des grenades, des détonateurs, onze pains d'explosifs...) et six millions de lires. Spaggiari nie les faits dans un premier temps, avant de les reconnaître enfin et après avoir insisté pour les avouer uniquement en présence d'un représentant officiel, en l'occurrence un des plus importants policiers de France, Honoré Gévaudan, directeur-adjoint de la police judiciaire<ref>Claude Cotar, {{opcit}}, {{p.|28}} et 29</ref>.
 
Celui-ci obtient notamment des aveux en faisant un marché avec Spaggiari : s'il avoue les faits, sa femme ne sera pas inquiétée pour la complicité de recel d'armes à la bergerie. MégalomaneToujours en manque de reconnaissance, Spaggiari est soulagé de pouvoir livrer, avec force détails, la préparation et le déroulement du casse. Albert Spaggiari choisit pour sa défense maître [[Jacques Peyrat]], membre du [[Front national (parti français)|Front national]] et plus tard maire de [[Nice]]. Selon ses dires de l'époque, le casse aurait été destiné à financer une organisation politique secrète d'extrême droite italienne qu'il voulait créer, la ''Catena'' (« Chaîne » en [[italien]]), et dont le but était de contrer les attaques de l'extrême gauche italienne de l'époque<ref name="B5TRGP">Claude Cotar, {{opcit}}, {{p.|29}}</ref>.
 
== L’évasion ==
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