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Gnassingbé Eyadéma décède le {{date|5 février 2005}}, mettant fin à {{nobr|38 ans}} de présidence consécutifs. La situation de vide constitutionnel créée par l'absence du président du Parlement du territoire national conduit l'armée à confier la responsabilité du pouvoir à [[Faure Gnassingbé]] (les opposants à l'armée parlent de prise de pouvoir, la constitution disposant qui devait, qu'importe le lieu où il se trouve, présider l'intérim). Dans la foulée, le Parlement procède aux modifications constitutionnelles permettant d'entériner que l'intérim soit assuré par Faure Gnassingbé. Le 25 février, Faure Gnassingbé décide de démissionner. L'ordre constitutionnel est maintenu avec l'arrivée à la magistrature suprême du président de l'Assemblée nationale qui assurera l'intérim.
 
Le 24 [[Avril 2005 en Afrique|avril 2005]], une élection présidentielle est organisée. Elle se déroule dans des conditions très controversées, l’opposition, dénonçant des fraudes. [[Emmanuel Bob Akitani]], chef de l’opposition, se déclare vainqueur avec 70 % des voix alors que le gouvernement déclare [[Faure Gnassingbé]] élu. Dès l’annonce des résultats, des manifestations émaillées de violences éclatent dans les principales villes. Elles seront violemment réprimées par les forces de l'ordre. Le gouvernement décide de mettre en place une commission nationale d'enquête qui estime le nombre de morts à des centaines, plus de 800 selon la Ligue togolaise des droits de l'homme (LTDH)<ref>Philippe{{Article Bernard, «|langue=fr |titre=La répression au Togo aurait fait plus de {{nombre|800| morts}} »,|date=2005-05-14 ''[[Le|lire Monde]]'',en {{dateligne=https://www.lemonde.fr/afrique/article/2005/05/14/la-repression-au-togo-aurait-fait-plus-de-800-morts_649832_3212.html |15consulté maile=2020-01-14 2005}}.</ref>. De nombreux Togolais, environ {{formatnum:40000}}, se réfugient dans les pays voisins, le [[Bénin]] et le [[Ghana]]<ref>« Togo : premier scrutin pacifique depuis le processus démocratique », ''[[Agence France-Presse|AFP]]'', {{date-|15 octobre 2007}}.</ref>. Le {{date|3 mai 2005}}, Faure Gnassingbé prête serment et déclare qu’il se concentrera sur « la promotion du développement, le bien commun, la paix et l’unité nationale ».
 
Depuis, le jeune président est parvenu à rétablir la confiance avec l'Union européenne (UE) après treize années d'embargo. Il a en outre donné son accord à la formation d'un gouvernement d'unité nationale. Le Premier ministre est un opposant de longue date, M{{e}} Yawovi Agboyibo, président du CAR.
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