« Yves Bouvier » : différence entre les versions
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Le 30 mars 2012, la filiale Integrated Fine Arts Solutions (IFAS) de Bouvier à Pékin a été accusée de contrebande d'œuvres d'art et de réclamer des prix beaucoup plus bas à la douane pour les œuvres d'art lors de leur importation dans le pays. Un citoyen allemand, Nils Jennrich, employé du bureau de l'IFAS à Pékin, a passé 127 jours en prison en Chine sans être officiellement inculpé<ref>{{Lien web|langue=en-GB|nom1=Welle (www.dw.com)|prénom1=Deutsche|titre=German citizen at the mercy of Chinese justice {{!}} DW {{!}} 11.07.2012|url=https://www.dw.com/en/german-citizen-at-the-mercy-of-chinese-justice/a-16088273|site=DW.COM|consulté le=2020-01-21}}</ref>. Afin d'éviter d'être impliqué dans ce contentieux, Yves Bouvier, par l'entremise de son avocat, a contesté l'affiliation avec l'entreprise<ref>{{Article |langue=en-US |prénom1=Andrew |nom1=Jacobs |prénom2=Clare |nom2=Pennington |titre=Two Arrests in China Unnerve Art World |périodique=The New York Times |date=2012-07-16 |issn=0362-4331 |lire en ligne=https://www.nytimes.com/2012/07/17/arts/design/art-world-unnerved-by-chinas-detention-of-two.html |consulté le=2020-01-21 }}</ref>. Nils Jennrich a été libéré et renvoyé en Allemagne en 2013, l'affaire a été classée et les accusations ont été abandonnées<ref>{{Lien web|langue=de|titre=Justizdrama in China: „Wann hört der Wahnsinn auf?“|url=https://www.handelsblatt.com/politik/international/justizdrama-in-china-wann-hoert-der-wahnsinn-auf/7790370.html|site=www.handelsblatt.com|consulté le=2020-01-21}}</ref>.
En 2018, l'homme d'affaires russe Vladimir Scherbakov a intenté une action en justice contre l'associé d'Yves Bouvier<ref>{{Lien web|langue=en-US|titre=Another Russian Billionaire Is Suing His Swiss Art Dealer for Allegedly Inflating Prices and Pocketing the Extra|url=https://news.artnet.com/art-world/geneva-russian-billionaire-legal-art-advisor-1314749|site=artnet News|date=2018-07-09|consulté le=2020-01-22}}</ref>, Thierry Hobaica, qui, selon la presse, avait engagé Bouvier pour traiter avec Scherbakov. Ce dernier l'a accusé de l'avoir surfacturé lors de l'achat de 40 œuvres d'art<ref>{{Lien web|langue=en-US|nom1=admin|titre=Russian car czar Vladimir Scherbakov is the collector who has accused a Swiss dealer of overcharging him, sources say|url=https://californiatoday.net/2018/07/11/russian-car-czar-vladimir-scherbakov-is-the-collector-who-has-accused-a-swiss-dealer-of-overcharging-him-sources-say/|site=californiatoday|date=2018-07-11|consulté le=2020-01-22}}</ref>, qui ont été acquises par des sociétés offshore appartenant à Bouvier<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Escroqueries à l’oeuvre d’art : l’affaire Bouvier rebondit|url=https://www.lesechos.fr/2017/04/escroqueries-a-loeuvre-dart-laffaire-bouvier-rebondit-165450|site=Les Echos|date=2017-04-22|consulté le=2020-01-22}}</ref>.
==== Suspicion d’évasion fiscale ====
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