« Spirou » : différence entre les versions

 

Le journal s'ouvre un peu plus aux histoires purement humoristiques grâce notamment au scénariste Raoul Cauvin avec des séries comme ''[[L'Agent 212]]'' dessiné par [[Daniel Kox]], ''[[Les Femmes en blanc]]'' de [[Philippe Bercovici]], ''[[Pierre Tombal]]'' de [[Marc Hardy]], ''[[Cédric (bande dessinée)|Cédric]]'' de [[Laudec]] ou encore ''[[Les Psy]]'' de [[Bédu]]. Toujours dans le genre de l'humour, le journal publie également des séries comme ''[[Le Petit Spirou]]'' de [[Philippe Tome|Tome]] et [[Janry]], ''[[Kid Paddle]]'' de [[Midam]], ''[[Les Nombrils]]'' de [[Maryse Dubuc|Dubuc]] et [[Delaf]]. Dans un registre moins humoristique on peut lire notamment ''[[Jérôme K. Jérôme Bloche]]'' d'[[Alain Dodier]], ''[[Jojo (bande dessinée)|Jojo]]'' d'[[André Geerts]] ou ''[[Seuls (bande dessinée)|Seuls]]'' de [[Fabien Vehlmann]] et [[Bruno Gazzotti]]. Dans les années 1990, le rédacteur en chef [[Thierry Tinlot]] fait de ''Spirou'' un journal {{Citation|sans maquette}} où comptent les grands délires complices avec le lecteur comme {{Citation|[[L'Affaire Cauvin|l'affaire Cauvin]]}} ou {{Citation|[[la Malédiction de la page 13]]}}. Dans les années 2000, le journal change plusieurs fois de formule, avant de retrouver une certaine stabilité avec l'arrivée à sa tête de [[Frédéric Niffle]] en [[2008 en bande dessinée|2008]]. ''Spirou'' possède sa propre identité, d'abord en inventant un style graphique, l'[[école de Marcinelle]], puis en privilégiant toujours l'humour. Enfin, le journal a toujours fait partager ses coulisses à travers des séries, rédactionnels ou animations dont les personnages les plus marquants sont [[Gaston Lagaffe]], dont les gags se déroulent dans une rédaction fictive de ''Spirou'', et ''[[Le Boss (bande dessinée)|Le Boss]]'' dans les années 1990-2000.

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