Burt occupe de 1913 à 1933 un poste à temps partiel au ''London County Council'', où il a la responsabilité de repérer parmi les élèves les "faibles d'esprit" afin qu'ils soient retirés du système scolaire et placés dans des institutions.
Burt rejoint le ''University College'' de Londres en 1931, comme titulaire de la chaire de psychologie. Il est l'auteur en 1955 de la première étude de jumeaux visant à estimer l'héritabilité du QI. Il en publiera deux autres, en 1958<ref>{{Article |langue=en |auteur1= |prénom1=Cyril |nom1=Burt |titre=The inheritance of mental ability. |périodique=American Psychologist |volume=13 |numéro=1 |date=1958 |issn=0003-066X |doi=10.1037/h0049002 |lire en ligne=http://content.apa.org/journals/amp/13/1/1 |pages=1–15 }}</ref> et 1966<ref>{{Article |langue=en |auteur1= |prénom1=Cyril |nom1=Burt |titre=The Genetic Determination of Differences in Intelligence: A Study of Monozygotic Twins Reared Together and Apart |périodique=British Journal of Psychology |volume=57 |numéro=1-2 |date=1966 |doi=10.1111/j.2044-8295.1966.tb01014.x |lire en ligne=https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.2044-8295.1966.tb01014.x |pages=137–153 }}</ref>. Faisant le bilan de ces études ayant comparé des jumeaux monozygotes et dizygotes adoptés et non adoptés, Burt estimera que l'héritabilité du QI est de 75 % à 80%.