« François Coty » : différence entre les versions

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François Coty s'éteint à Louveciennes, des suites d'une double congestion pulmonaire<ref name="Retronews" /> et cérébrale<ref>{{harvsp|Sicard-Picchiottino|2006|p=288}}.</ref>, le 25 juillet 1934, âgé de soixante ans<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5507234v/f2.item.r=%22François%20Coty%22.zoom Nécrologie, Ric et Rac : grand hebdomadaire pour tous, juillet 34] via Gallica.</ref>. Il est inhumé dans le cimetière de Montbazon, puis transféré à Ajaccio vers la fin des années 1960. Il repose dans l'ancien cimetière marin ''U Campu Santu di u Canicciu''.
 
[[Fichier:Maison France 1936.jpg|vignette|redresse|Affiche antisémite et antiparlementaire (1936).]]
{{citation|Coty mort, le cotysme s'écroule comme un château de cartes}}, écrit [[Fred Kupferman]]<ref>{{harvsp|Kupferman|1990|p=86}}.</ref>. Selon l'historien américain {{lien|lang=de|Dietrich Orlow}}, l'entreprise politique de François Coty et son empire de presse ne survivent pas à sa mort, ses héritiers ne souhaitant pas en continuer le financement<ref>{{ouvrage|langue=en|titre=The Lure of Fascism in Western Europe: German Nazis, Dutch and French Fascists, 1933-1939|auteur=Dietrich Orlow|éditeur=Springer|année=2016|passage=28|url=https://books.google.fr/books?id=SNH7CwAAQBAJ&pg=PA28}} {{commentaire biblio SRL|Bien qu'il traite explicitement du parfumeur, Orlow l'appelle René}}.</ref>. Sa campagne antijuive lancée en 1932 joue en revanche un rôle précurseur, affirme [[Laurent Joly]] : {{citation|Dans la mesure où pour la première fois [dans l'entre-deux-guerres] des thèmes et des personnalités pour le moins obscures bénéficient d’une médiatisation exceptionnelle, cette campagne annonce surtout la période de l'[[Occupation de la France par l'Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale|Occupation]] et de l'« antisémitisme de plume » parisien}} où s'illustrent encore les deux ex-rédacteurs de ''L'Ami du peuple'', Jacques Ditte et [[Urbain Gohier]]<ref>{{harvsp|Joly|2006|p=104-105}}.</ref>.
 
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