« Féminisme matérialiste » : différence entre les versions

Bien qu'étant né en France, le féminisme matérialiste n'est pas un courant spécifiquement français ni francophone. En effets, parmi les théoriciennes historiques on retrouve Paola Tabet qui est italienne. En Angleterre l'approche matérialiste a été reprise et défendue par les sociologues Lisa Adkins, Diana Leonard<ref>{{Ouvrage |langue= |auteur1=Diana Leonard |titre=Sex in Question:French materialist feminism|sous-titre= |éditeur= Taylor & Francis|collection= |lieu=Londre |année= 1996|volume= |tome=|titre tome= |pages totales= |titre chapitre= |page=|lire en ligne=https://caringlabor.files.wordpress.com/2012/09/sex-in-question_-french-materialist-femi-diana-leonard.pdf}}</ref> et Stevi Jackson<ref>{{Article|langue=|auteur1=Stevi Jackson|titre=Pourquoi un féminisme matérialiste est (encore) possible – et nécessaire|périodique=Nouvelles Questions Féministes|numéro=28|date=2009|issn=|lire en ligne=https://www.cairn.info/revue-nouvelles-questions-feministes-2009-3-page-16.htm|pages=16-33}}</ref>. Au Québec les chercheuses [[Danielle Juteau]] et [[Nicole Laurin]] ont beaucoup contribué à son introduction dans le milieu féministe canadien et à son développement<ref>{{Article|langue=|auteur1=Line Chamberland|titre=In memoriam : Nicole Laurin (1943-2017), intellectuelle libre et engagée|périodique=Travail, temps, pouvoirs et résistances|numéro=30|date=2017|issn=|lire en ligne=https://www.erudit.org/fr/revues/rf/2017-v30-n2-rf03510/1043918ar.pdf|pages=}}</ref>. Le féminisme matérialisme a aussi fortement influencé la chercheuse en psychologie [[Dénominationaméricaine des États-Unis et de leurs habitants|états-unienne]] [[Gail Pheterson]]<ref>{{Article|langue=|auteur1=Gail Pheterson|titre=Identité de groupe et rapports sociaux aux Etats-Unis, aux Pays-Bas et en France|périodique=Mots|numéro=49|date=1996|issn=|lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/mots_0243-6450_1996_num_49_1_2118|pages=6-17}}</ref>.