« Legé » : différence entre les versions

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En 1789, ce sont deux legéens, [[Jacques-Alexis Francheteau de La Glaustière]] et [[Charles-Joseph Auvynet]], qui sont élus pour représenter le [[Tiers état|Tiers-État]] des [[Marches Bretagne-Poitou|Marches communes au Poitou et à la Bretagne]] aux [[États généraux de 1789|États-Généraux]].
 
Lors de la [[guerre de Vendée]], le [[François-Athanase de Charette de La Contrie|Général Charette]] séjourne dans la ville d'avril à {{date-|septembre 1793}}. Il y établit son quartier général. La commune fut le théâtre d'une [[Bataille de Legé (30 avril 1793)|bataille]] entre Républicains et Royalistes le {{date-|30 avril 1793}}. L'armée de Charette mit en déroute les {{nombre|600|hommes}} de l'adjudant-général Boisguyon. Les exactions des [[colonnes infernales]] (tel que le [[massacre de Legé]]), les morts parmi les soldats républicains (tués au combat ou exécutés)<ref>{{ouvrageOuvrage|auteur1=[[Prosper Levot]]|titre=Biographie Bretonne|éditeur=Cauleran|année=1852|passage=291|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=QZLK9RmhBvEC|passage=291|titre chapitre=Charette de la Contrie (François-Athanase)|auteur=[[Prosper Levot]]|éditeur=Cauleran|année=1852}}</ref> et les exécutions sommaires de civils républicains accomplies par les Vendéens<ref>{{ouvrage|titre=Révolution et Contre-Révolution en France de 1789 à 1989|sous-titre=Les rouages de l'histoire|auteur=[[Jean-Clément Martin]]|éditeur=Presses universitaires de Rennes|jour=9|mois=juillet|année=2015|pages totales=237|isbn=9782753524507}}</ref> rendent le bourg impossible à tenir par l'un ou l'autre camp<ref>{{ouvrage|titre=Le massacre des Lucs|sous-titre=Vendée 1794|auteur1=Jean-Clément Martin|auteur2=Xavier Lardière|éditeur=Geste éditions|année=1992|pages totales=158|lire en ligne=https://books.google.fr/books?hl=fr&id=ovkhAQAAIAAJ|citation=L'odeur des cadavres les chassent du lieu, après qu'ils aient exécuté une centaine de Républicains prisonniers.}}</ref>{{,}}<ref>{{ouvrage|titre=Turreau et les colonnes infernales|sous-titre=L'échec de la violence|auteur=Élie Fournier|éditeur=Albin Michel|année=1985|pages totales=265|citation=Il est impossible, écrit [Duquesnoy], « de tenir le poste de Légé, car trois ou quatre cent cadavres, dans le village et les environs, empoisonnent l'air. »|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=KdJnAAAAMAAJ|isbn=9782226025241}}</ref>. Le {{nobr|10 février}} de la même année, verra la victoire des armées républicaines du général [[Florent Joseph Duquesnoy]] contre Charette (Duquesnoy y sera d'ailleurs blessé).
 
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