« Florence Hainaut » : différence entre les versions

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'''Florence Hainaut''', née le {{date de naissance|2|août|1981}}, est une [[journaliste]] [[Belgique|belge]].
 
Après avoir travaillé jusqu'en 2016 pour la [[RTBF]] où elle a bâti sa notoriété, en particulier dans les émissions les ''Niouzzs'', les journaux matinaux de [[Pure FM]], ''[[On est pas des pigeons !]]'', ''Revu et corrigé'', les ''Décodeurs'' et ''un samedi d'Enfer'', elle est maintenant journaliste « [[Travaille yur indépendant|freelance]] ».personnage violent
 
== Biographie ==
 
=== Formation ===
 
{|class="toccolours" style="float: right; margin-left: 1em; margin-right: 2em; font-size: 85%; background:#BBDDFF; color:black; width:20em; max-width: 50%;" cellspacing="5"
|style="text-align: left;"|- '''Guido''' : ''Quel message donnerais-tu aux étudiants en journalisme qui vont te lire ?''<br/>
- '''Florence Hainaut''' : ''Il ne faut jamais penser qu’on est soi-même important quand on traite un sujet important. Penser qu’on est ce qu’on relate est très mauvais. Nous ne sommes pas le sujet, nous avons un Dieu qui se nomme Belga (rires). Le journaliste doit rester au service des gens.''
|-
|style="text-align: left;"|Interview de Florence Hainaut par Guido, le 18 mai 2015.<ref name = "Guido"/>.
|}
 
Florence Hainaut naît dans une famille où « on lit [[Hara-Kiri]] ou [[Gotlib]] »<ref name = "Guido"/>. Elle explique que sa famille l'a fortement influencée et que déjà à l'école primaire elle écrivait des « [[humour|choses mordantes]] »<ref name = "Guido"/>.
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Florence Hainaut débute sa carrière à la [[RTBF]] dans des émissions destinées à la jeunesse.
 
En 2002, elle est [[Chroniqueur (média)|chroniqueuse]] dans l'émission ''Tu passes quand tu veux'', puis en 2004 dans l'émission ''Europe 10 points''<ref>''[https://www.lalibre.be/culture/medias-tele/europe-10-points-ou-la-vie-de-20-jeunes-europeens-51b882ede4b0de6db9a9fffe "Europe 10 points" ou la vie de 20 jeunes Européens]'', La Libre Belgique, 15 mars 2004. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>. Elle participe également à plusieurs émissions de l'''Odyssée du volontariat''<ref name = "LkdIn">''[https://be.linkedin.com/in/florencehainaut Profil LinkedIn de Florence Hainaut]''</ref>.
 
De novembre 2006 à juin 2008, elle est [[journaliste]] dans les ''Niouzz'', une émission phare de la [[RTBF]] destinée à présenter l'actualité aux enfants et qui a vu le passage de nombreux animateurs célèbres de la chaîne<ref>Julien Vandevenne, ''[https://www.telepro.be/tv/les-niouzz-ouftivi-la-trois-un-tremplin-pour-la-rtbf-depuis-15-ans.html «Les Niouzz» (Ouftivi - La Trois) : un tremplin pour la RTBF depuis 15 ans !]'', Télépro, 13 mars 2015.</ref>. En parallèle, elle fait des apparitions dans ''Prenons le temps'' (une émission météo) et ''Une brique dans le ventre'' (une émission de travaux-décoration)<ref name = "LkdIn"/>. Dans un interview, elle déclare que c'est en rédigeant des « Niouzz » pour enfants qu'elle a véritablement appris son métier<ref name = "Guido"/>.
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En juillet 2008, elle rejoint l'équipe de ''Snooze'' sur [[Pure FM]]<ref name = "LkdIn"/>. L'émission reçoit le ''Moustique d’Or du meilleur divertissement radio (2009)''. Quand ils apprennent que son contrat ne sera pas reconduit à la rentrée 2010, les auditeurs se mobilisent sur [[Facebook]] pour la soutenir<ref name = "L'Avenir-1">Julien Rensonnet, ''[https://www.lavenir.net/cnt/382359 Les auditeurs de Pure FM se mobilisent sur Facebook pour la journaliste de Snooze Florence Hainaut]'', L'Avenir, 4 décembre 2009.</ref>. Son contrat est finalement reconduit, tout comme ceux des deux autres journalistes qui auraient dû quitter l’entreprise en même temps qu’elle<ref name = "L'Avenir-1"/>.
 
De janvier 2011 à octobre 2013, elle présente et édite les journaux régionaux sur VivaBruxelles, {{Pasune clair|leémission décrochagede bruxellois|date=aoûtradio 2020}} desur [[VivaCité]]<ref name = "LkdIn"/>.
 
=== La notoriété ===
 
{|class="toccolours" style="float: right; margin-left: 1em; margin-right: 2em; font-size: 85%; background:#BBDDFF; color:black; width:20em; max-width: 50%;" cellspacing="5"
|style="text-align: left;"|''On n’est pas des pigeons, c’est ma maison. 7 à la Une, c’est mon jardin. Je n’ai pas envie d’arrêter l’une de ces émissions. On verra.'' »
|-
|style="text-align: left;"|- Florence Hainaut, janvier 2015<ref name = "DH-FH"/>.
|}
 
Elle intègre en octobre 2013 l'équipe d' ''[[On n'est pas des pigeons !]]'', une émission quotidienne (du lundi au vendredi) qui offre, autour d'une équipe de chroniqueurs, de [[décrypter]] les codes [[marketing]] pour que le [[consommateur]] puisse faire son choix sans se faire avoir.
 
L'émission fera connaître la journaliste auprès du grand public : ''Quand on fait partie des Pigeons, on nous reconnaît très vite et c’est toujours très gentil''<ref name = "DH-FH">Ch.V., ''[https://www.dhnet.be/medias/television/florence-hainaut-la-fille-qui-monte-a-la-rtbf-54c144ae35701f35434d3e27 Florence Hainaut, la fille qui monte à la RTBF]'', La DH, 22 janvier 2015.</ref>{{,}}<ref name = "LaLibre-1">J.Lgg., ''[https://www.lalibre.be/culture/medias-tele/florence-hainaut-qui-avait-perdu-le-feu-sacre-du-journalisme-retourne-a-la-rtbf-57bad2d035709a310564ca5d Florence Hainaut, qui avait "perdu le feu sacré" du journalisme, retourne à la RTBF]'', La Libre, 22 août 2016.</ref>. Elle rejoint également l'émission ''7 à la Une'' qu'elle devra cependant abandonner faute de temps<ref name = "Guido"/>{{,}}<ref>''[https://www.telepro.be/tv/florence-hainaut-quitte-7-la-une-rtbf.html Florence Hainaut quitte «7 à la Une» (RTBF)]'', Télépro, janvier 2015.</ref>.
 
Entre janvier et juin 2014, elle co-présente l'émission ''Revu et corrigé !'' en duo avec [[Alain Gerlache]]<ref name = "rtbf-1">''[https://www.rtbf.be/entreprise/article_un-nouveau-duo-pour-revu-et-corrige-mise-au-point?id=8826266 Un nouveau duo pour "Revu et corrigé" (Mise au Point)]'', RTBF, non daté. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>. La formule de l'émission est que les deux journalistes, « qui connaissent le monde des médias comme leur poche » et qui « manient la langue française comme un fleuret avec l’humour et la dérision en plus », décryptent l'actualité telle que traitée par les médias et les réseaux sociaux<ref name = "rtbf-1"/>. {{Citation|''Je suis très contente et honorée que les patrons de la RTBF aient pensé à moi. Mais j’ai peur, j’essaie de me calmer. [Je veux] éviter de jouer les pom-pom girls à côté d’Alain. Je vais amener ma touche personnelle, et Alain devrait déterminer les grands thèmes. Mais on ne doit pas être les caricatures du vieux sage et de la jeune décalée. On ne va pas non plus tout chambouler. Et on ne va pas tenter de faire du Charline et Alex, on serait pathétiques  !}}''<ref name = "DH-FH"/>.
 
=== Départ partiel de la RTBF ===
 
En juin 2015, la RTBF lui confie les commandes de l'émission ''Les décodeurs'', un rendez-vous politique dominical. Malgré des débuts encourageants, l'émission n'atteint pas l'[[audience]] attendue et les [[critiques]] envers l'émission auraient atteint la journaliste qui décide de quitter la RTBF en juin 2016 : ''Ça me laisse le temps de trouver ma voie. J’aurai pas toujours été l’employée du mois mais je me serai toujours beaucoup remise en question. Je n’aurai pas toujours été brillante, mais j’aurai toujours été honnête''<ref>Ch.V., ''[https://www.dhnet.be/medias/television/florence-hainaut-quitte-la-rtbf-car-elle-ne-veut-plus-faire-semblant-5759908d35708dcfedab0031 Florence Hainaut quitte la RTBF car elle ne veut "plus faire semblant"]'', La Dernière Heure, 9 juin 2016. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>.
 
On la retrouve à la rentrée sur [[La Première (radio belge)|La Première]] dans ''Un samedi d'enfer'' avecoù elle remplace [[PierreMyriam KrollLeroy]], une « émission insolente et irrévérencieuse, une tranche d’humour au ton culotté » où chaque
samedi, un invité est interviewé par « trois fines plumes trempées dans l’humour acide », Florence Hainaut, [[BrunoPierre CoppensKroll]] où elle remplaceet [[MyriamBruno LeroyCoppens]].<ref>''[https://www.static.rtbf.be/radio/radio/docs/dico-radio-2016.pdf Un samedi d'enfer 09.12 - 10.00]'', rtbf, 2016. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>. Elle commente sur Twitter : « (...) ''J'ai trouvé un hobby entre deux recherches d'emploi'' et précise qu'elle « n'interviendra pas dans sa qualité de journaliste dans ce nouveau rendez-vous mais uniquement comme chroniqueuse »<ref>Belga, ''[https://www.rtbf.be/info/medias/detail_florence-hainaut-de-retour-a-la-rtbf-comme-chroniqueuse-sur-la-prem1ere?id=9385647 Florence Hainaut de retour à la RTBF comme chroniqueuse sur La Prem1ère]'', RTBF, 22 août 2016. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>.
 
Elle se présente sur son profil [[LinkedIn]] en tant que « journaliste freelance » depuis juin 2016<ref name = "LkdIn"/>.
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==== Enquête Médor ====
 
Le magazine ''[[Médor (magazine)|Médor]]'' révèle dans son édition de septembre 2019 que cinq femmes : [[Myriam Leroy]], Florence Hainaut, [[Florence Mendez]], Élisabeth Debourse et Madame X affirment avoir été victimes d'attaques sexistes de la part de Serge Coosemans particulièrement sur les réseaux sociaux. Elles indiquent avoir encaissé à répétition des jugements lapidaires sur leur travail, et l’insulte en guise d’arguments « critiques ». Celui-ci parle de « running gag ». Pour sa part, il dénonce l’agressivité de ces « Castafiore  [[Castafiore]] », qu’il a appelées « tache », « blondasse  [[blonde|blondasse]] », « pétasse  [[pétasse]] »<ref name = "Médor"> Olivier Bailly & Chloé Andries & Céline Gautier, ''[https://medor.coop/magazines/medor-16-autumn-2019/comment-nos-medias-font-fuir-les-femmes/?full=1 Comment nos médias font fuir les femmes]'', Médor, 12 septembre 2019. Article sous CC BY-NC-ND. (Consulté le 9 août 2020.)</ref>. Serge Coosemans évoque la concernant : {{Citation|le souvenir de ces "clashs" comme un ressort comique d’humour répétitif, et cela fait d’ailleurs un bout de temps que je n’y ai pas eu recours vu que cela ne m’amuse plus.}}
 
Pour Serge Coosemans, parler de harcèlement moral tient de la [[diffamation]]. {{Citation|''Ces femmes sont des personnalités publiques. Ce sont donc des sujets de conversation. Je pense qu’elles doivent fondamentalement pouvoir accepter ça, y compris quand les propos tenus ne vont pas dans leur sens}}''<ref name = "Médor"/>. « Des cinq récits entrecroisés, plusieurs éléments se répètent : le journaliste n’a jamais ou très peu rencontré les femmes journalistes dénigrées, l’essentiel se déroule sur les réseaux sociaux. À des degrés divers, les cinq femmes craignent d’éventuels retours de manivelle (...). Elles décrivent quelque chose de "moralement éprouvant", se disant "épuisées", et ont toutes demandé avec insistance à leur rédaction d’intervenir, sans obtenir de réponse adéquate<ref name = "Médor"/>.
 »
 
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=== Sur le port du voile et le féminisme ===
 
Le 18 juillet 2020, Florence Hainaut publie une carte blanche dans le quotidien belge [[Le Soir|Le Soir]]<ref name = "CB1">«Cacher ce foulard...», Le Soir, 2020 [https://plus.lesoir.be/314021/article/2020-07-18/cachez-ce-foulard Lire en ligne]</ref> en réponse à l'arrêt de la [[Cour constitutionnelle (Belgique)|Cour constitutionnelle]] concernant l'interdiction du port du foulard par les élèves dans l’enseignement supérieur.
 
Elle s'interroge sur la légitime de « réclamer la neutralité apparente des personnes qui bénéficient d’un service public » en soulignant qu'il ne s'agit pas de professeurs qui pourraient eux faire pression sur leurs élèves. Elle note également la contradiction induite qui démontre qu'on passe de la sphère de la [[liberté d'expression]] vers celle de la [[discrimination]] : y aurait-il des signes plus acceptables que d'autres (un tee-shirt de Bouddha, une perruque ou une croix pendentif) ? Pour souligner la discrimination mise en place dans le débat sur le port du foulard, elle donne l'exemple de « la STIB qui refuse catégoriquement d’engager des femmes musulmanes portant le foulard, même pour des postes où elles ne seraient pas en contact avec le public. Mais engage des hommes portant pantacourt et barbe fournie, signe d’un niveau assez élevé de religiosité chez les musulmans. »<ref name = "CB1"/> Florence Hainaut souligne la problématique intersectionnelle qui s'institutionnalise en Belgique et en France car seules les femmes musulmanes se voient interdire le port de vêtements religieux<ref name = "CB1"/>.
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La carte blanche initialement publiée dans le journal Le Soir par [[Florence Bergeaud-Blackler]] est retirée par la rédaction des pages web du journal avant d'y être rétablie après que l'auteure ait été contrainte d'en retirer certains passages<ref name="sel"/>. Le journal explique que « cette deuxième carte blanche a été publiée puis retirée quelques heures, en concertation avec l’autrice pour qu’elle enlève des éléments d’attaque personnelle qui n’apportaient rien au débat de fond et étaient contraire à la charte du Soir en terme de contribution. Une fois ces attaques retirées par l’autrice, le texte a été republié , avec tous ses arguments de fond, et est toujours disponible sur notre site<ref name = "LeSoir27"/>. »
 
Parmi les réactions contre la journaliste, Laplume Kalam, page collective Facebook d’une organisation qui se présente comme « L’Observatoire des Fondamentalismes à Bruxelles », poste des messages accusant la journaliste « d’avoir des accointances avec l’islam politique ou des mouvements fondamentalistes anti-démocratiques » et d’être tombée « dans les bras des Frères Musulmans ». En réponse, le 24 juillet 2020, le Conseil de l'Europe est saisi à l'initiative de [[Ricardo Gutiérrez]], secrétaire général de la [[Fédération européenne des journalistes]] pour harcèlement<ref>''FEJ, ''[https://www.coe.int/fr/web/media-freedom/detail-alert?p_p_id=sojdashboard_WAR_coesojportlet&p_p_lifecycle=0&p_p_col_id=column-4&p_p_col_pos=2&p_p_col_count=3&_sojdashboard_WAR_coesojportlet_alertId=69101020 La journaliste Florence Hainaut cible d'une campagne de harcèlement]'', Portail du Conseil de l'Europe, 24 juillet 2020.</ref>{{,}}<ref>{{lien web |auteur institutionnel=LeVif |titre=Le Conseil de l'Europe saisi pour une campagne de harcèlement contre Florence Hainaut |url=https://www.levif.be/actualite/belgique/le-conseil-de-l-europe-saisi-pour-une-campagne-de-harcelement-contre-florence-hainaut/article-news-1313615.html |site=Levif.be |date=24-07-2020 |consulté le=01-08-2020}}.</ref>. Il explique également que « c’est très grave de discréditer un journaliste sur base de rumeurs et cela peut parfois conduire à des actes de violence »<ref name = "rtbf"/>.
 
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Hafida Hammouti se révèle être porte-parole de la coordination des enseignants de religion islamique à Bruxelles<ref>[https://expertalia.be/users/hafida-hammouti Hafida Hammouti] sur Expertalia.be.</ref> et Mohsin Moudden déclarait en 2018 « [avoir] toujours eu une prudence, voir[e] un rejet de cette confrérie, trop communautaire à [s]on goût »<ref>Mohsin Mouedden, ''[https://www.dounia-news.eu/tariq-ramadan/ Tariq Ramadan comme un air nauséabond]'', douania-news, 11 février 2018.</ref>. Plus tard, [[Florence Bergeaud-Blackler]], auteure de la seconde carte blanche, ainsi que [[Nadia Geerts]] et [[Céline Pina]], les principales critiques de Florence Hainaut, se révèlent être également membres du dit Observatoire<ref>[https://www.obruxelles.com/conseil-scientifique/]</ref>.
 
Le 11 août, Florence Hainaut exprime sur la plate-forme [[Medium (site web)|Medium]]''medium'' son point de vue sur le harcèlement dont elle estime être la cible : « comment, avec un peu de travail et une bonne dose de mauvaise foi, on arrive à transformer une journaliste en danger pour la liberté d’expression et en suppôt de l’islamisme »<ref>Florence Hainat, ''[https://medium.com/@florencehainaut/la-fabrique-du-raid-ad71050d5b57 La fabrique du raid]'', 11 août 2020. (Consulté le 12 août 2020.)</ref>.
 
== Annexes ==
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/wiki/Florence_Hainaut ».