« Ministère de l'Enseignement supérieur (France) » : différence entre les versions
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== Ministre ou secrétaire d'État ==
Le gouvernement du [[Front populaire (France)|Front populaire]] comprenait, en [[1936]], un sous-secrétaire d'État à la Recherche scientifique auprès du ministre de l'Éducation nationale, mais ce sous-secrétaire d'État disparaît dès {{date-|juin 1937}}. Sous le gouvernement de [[Pierre Mendès France]], à partir de [[1954]], il existe dans certains gouvernements un secrétariat d'État auprès de la [[Président du Conseil (France)|présidence du Conseil]] pour la recherche scientifique et le progrès technique<ref>{{ouvrage|auteur=[[Jean-Louis Crémieux-Brilhac]]|titre=La politique scientifique de Pierre Mendès France|éditeur=Armand Colin|date=2012|pages totales=192|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
Afin de comprendre la mentalité régnante au sein de ce ministère, il est bon de savoir que les ministres qui le composent sont, dans leur immense majorité, des scientifiques ratés, c'est- à-dire qu'ils n'ont aucune découverte à leur actif, qu'ils peinent à produire de la connaissance scientifique. De là naît un ressentiment à l'égard des scientifiques sérieux et productifs, d'où la question légitime : de tels individus sont-ils à même de gérer la recherche française ?
Un ministre de la Recherche scientifique de plein exercice apparaît dans le [[gouvernement Michel Debré]]. Dès lors, la recherche apparaît dans plusieurs gouvernements dans l'intitulé d'un ministère ou d'un ministère délégué, accompagnée des « questions atomiques et spatiales » ou regroupée avec l'industrie ou l'enseignement supérieur.
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