« Houari Boumédiène » : différence entre les versions

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[[Militaire]] de carrière, chef de l'[[État-major général]] de l'[[Armée de libération nationale (Algérie)|Armée de libération nationale]] de [[1959]] à [[1962]], il occupe de hautes fonctions d'[[État]], tel que [[Ministère de la Défense nationale (Algérie)|ministre de la Défense]] sous [[Gouvernement Ben Bella I|Ben Bella I]] en {{date||septembre|1962}}, poste qu'il cumule avec celui de [[vice-Premier ministre|vice-président du Conseil]] durant la présidence d'[[Ahmed Ben Bella]] de {{date||mai|1963}} à {{date||juin|1965}}.
 
À la suite d'un [[Coup d’État du 19 juin 1965|coup d’État]] qualifié de « réajustement révolutionnaire », Houari Boumédiène devient en date du {{date|20|juin|1965}} président du [[Conseil de la Révolution]], jusqu'au {{date|10|décembre|1976}}, date à laquelle il est élu [[président de la République algérienne démocratique et populaire|président de la République]], jusqu'à sa mort le {{Date|27|décembre|1978}} tout en gardant son portefeuille de [[ministre]] de la [[Armée de libération nationale (Algérie)|Défense]]. Il a été [[Front de libération nationale (Algérie)#Dirigeants|président du Front de libération nationale]] dès le coup d'État et durant son mandat à la présidence de la République.<ref name=":0">{{Article|langue=|auteur1=[[Paul Balta]]|titre=Ombres et lumières d’une révolution|périodique=Le Monde diplomatique|date=novembre 1982|issn=|lire en ligne=https://www.monde-diplomatique.fr/1982/11/BALTA/37021|pages=}}</ref>
 
Après la [[Guerre d'Algérie|guerre d'indépendance]], l'Algérie connait un développement économique et social important sous son gouvernement. Entre 1962 et 1982, la population algérienne passe de 10 à 20 millions de personnes et, massivement rurale avant l'indépendance, est urbanisée à 45 %. Le revenu annuel par habitant, dû aux inégalités des classes sociales, qui n’excédait pas {{unité|2000|francs}} en 1962, dépasse {{unité|11000|francs}} vingt ans plus tard, tandis que le taux de scolarisation oscille de 75 à 95 % selon les régions, loin des 10 % de l'[[Algérie française]]. {{ref nec}} Toutefois, il maintient un régime à parti unique et la priorité donnée au développement industriel lui fait négliger l'agriculture<ref name=":0">{{Article|langue=|auteur1=[[Paul Balta]]|titre=Ombres et lumières d’une révolution|périodique=Le Monde diplomatique|date=novembre 1982|issn=|lire en ligne=https://www.monde-diplomatique.fr/1982/11/BALTA/37021|pages=}}</ref>.
 
Il fut [[Mouvement des non-alignés#Secr.C3.A9tariat g.C3.A9n.C3.A9ral|secrétaire général du mouvement des non-alignés]] de {{date||septembre|1973}} à {{date||août|1976}}. En son honneur l'[[aéroport]] d'[[Alger]] porte son nom : [[aéroport d'Alger - Houari Boumédiène]], ainsi que [[Houari Boumédiène (Guelma)|sa commune de naissance]].
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