« François Coty » : différence entre les versions

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Il finance et soutient également des artistes comme [[Tsugouharu Foujita|Foujita]]<ref>{{harvsp|Toledano|Coty|2009|p=140}}.</ref>, ainsi que l'[[Académie de France à Rome]]<ref>[https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6109653f/f22. Académie des beaux-arts, Institut de France, Palais de l'Institut, janvier 1927] via Gallica.</ref>. Après les [[Inondations de mars 1930 dans le bassin du Tarn]], il fait construire et offre quatre fermes modèles aux agriculteurs méritants<ref>{{harvsp|Sarran|1990|p=16}}.</ref>. {{citation|En novembre 1932 grâce à la générosité de M. François Coty}}, [[Édouard Branly]] est doté d’un admirable laboratoire<ref>{{ouvrage|auteur= Jack Sanger|titre= Édouard Branly|éditeur= FeniXX|pages totales=112|isbn= 9782262088156}}.</ref>.
 
Il subventionne de nombreux projets en Corse<ref>{{ouvrage|titre=La Troisième République|auteur=Gisèle Berstein|éditeur=M.A.|année=1987|passage=84}}.</ref>{{,}}<ref>{{ouvrage|titre=Dictionnaire historique de la France contemporaine: 1870-1945|auteur1=Gisèle Berstein|auteur2=Serge Berstein|éditeur=Editions Complexe|année=1995|passage=204|url=https://books.google.com/books?id=UD6YwR00aiIC&pg=PA204}}.</ref> mais s'y montre, selon Paul Silvani, {{citation|peu soucieux des arts}}, n'apportant notamment pas son soutien à [[Abel Gance]] pour la réalisation de son ''[[Napoléon (film, 1927)|Napoléon]]''<ref>{{ouvrage|titre=Le bonapartisme: une saga corse|auteur=Paul Silvani|éditeur=Albiana|année=2003|passage=254}}.</ref>{{,}}<ref>{{article|titre=Une « petite histoire » corse en 1925: Ou comment le Napoléon d’Abel Gance croise l’histoire du fascisme français|auteur=Dimitri Vezyroglou|périodique=Ecrire l'histoire|numéro=17|année=2017|doi=10.4000/1895elh.1191215}}.</ref>{{,}}<ref>{{ouvrage|titre=Abel Gance ou le Prométhée foudroyé|auteur=Roger Icart|éditeur=L'Age d'homme|année=1983|passage=170|url=https://books.google.com/books?id=8Ua7w4rPSboC&pg=PA170}}.</ref>. Il donne des millions au [[Saint-Siège]] et à [[Pie XI]] pour sa lutte contre le communisme<ref>{{harvsp|Toledano|Coty|2009|p=30}}.</ref>. En 1926, il fait une offre de 100 millions de francs, au gouvernement en tant que contribution volontaire à la réduction de la dette publique, mais sous des conditions précises. Cette offre est qualifiée d’extravagante par [[Nicolas Delalande]]<ref>{{article|auteur=[[Nicolas Delalande]]|titre=Quand l'État mendie : la contribution volontaire de 1926|périodique=Genèses|numéro=80|année = 2010|pages=27-48|lire en ligne=https://doi.org/10.3917/gen.080.0027}}.</ref>{{,}}<ref>{{Chapitre |auteur1=Nicolas Delalande |titre chapitre= Chapitre X, La guerre après la guerre: Le problème de la dette |titre ouvrage=Les Batailles de l’impôt. Consentement et résistances de 1789 à nos jours |lieu= |éditeur= Seuil, Média Diffusion |année=2011|pages totales=460 |isbn=9782021049282 |présentation en ligne= https://books.google.fr/books?id=NDa3eHUDUDYC}}.</ref>. Claire Blandin note toutefois que « de contestations juridiques en problèmes financiers, Coty ne verse rien de cette somme »<ref>{{ouvrage|auteur=Claire Blandin|titre=Le Figaro: Deux siècles d'histoire|éditeur=Armand Colin|année=2007|passage=1924|url=https://books.google.fr/books?id=ak6Gt3LeGm0C&pg=PA1924}}.</ref>, mais offre cent mille dollars à l’Hôpital français de New York<ref>{{harvsp|Toledano|Coty|2009|p=177-179}}.</ref>{{,}} {{note |groupe=N| (2 500 000 francs de l'époque selon le ''[[Chicago Tribune]]'')<ref>{{article|langue=en|titre=François Coty, 61, wealthy perfumer and publisher dies|périodique= The [[Chicago Tribune]] and the Daily news|lieu=New York|date=26 juillet 1934|url= https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4778108j/f3.item.r=“Coty”}}.</ref>.}}.
 
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