« Le Creusot » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
m faute d'hortographe Balises : Révoqué Éditeur visuel |
désignation pour une meilleur compréhension avec réference historique. Balises : Révoqué Éditeur visuel |
||
| (Une version intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
Ligne 83 :
'''D’abord la mine.''' Vers 1502, Symon Jobé et Pierre Pelletier s’étaient associés et accompagnés par moitié et par indivis en toutes leurs terres à tirer du charbon, communément appelé « ''oylle'' », assises et situées au lieu-dit « ''en Crosot'' » . Mais l’exploitation rationnelle ne commence véritablement qu’à partir de {{date-|mars 1769}}, date à laquelle [[François de la Chaise]] obtient, pour lui et ses héritiers, le droit d’exploiter les mines de charbon de terre se trouvant sur la baronnie de Montcenis, pour une durée de cinquante années. François de la Chaise était conforté dans son projet par les conclusions positives du rapport de [[Gabriel Jars]] : le charbon de terre est ici abondant et propre à fondre du minerai de fer à l’aide du coke selon la nouvelle technique anglaise. Au milieu du {{s-|XVIII|e}}, grâce à ce charbon il y avait deux modestes forges et l’on y coulait le verre. Le hameau du Crozot comprenait alors une vingtaine de "feux" ou "meix", soit une centaine d'habitants.
'''Puis la fonderie royale'''. En 1781, [[François Ignace de Wendel]], recherche un site pour construire une fonderie susceptible d’alimenter en fonte les Forges de l’Indret (Loire-Atlantique) dont il est propriétaire. Accompagné de [[William Wilkinson]]
'''Et aussi la manufacture des cristaux de la Reine.''' En 1786 la décision est prise de transférer dans la baronnie de Montcenis la [[Château de la Verrerie (Saône-et-Loire)|manufacture des cristaux et émaux de la Reine]], jusqu’alors située dans le domaine royal du parc de St Cloud à Sèvres.
| |||