→Non-mixité : l’affirmation selon laquelle la non-mixité serait du sexisme est loin de faire consensus, donc en l’état la présence de cette section (sans aucune source !) relève du POV-pushing
Chez les juifs ashkénazes, la polygamie a définitivement été interdite pour les juifs ashkénazes au {{s-|XI}} par [[Rabbenu Gershom]], l'un des pères de la tradition rabbinique ashkénaze. Cette interdiction a également été adoptée par les juifs séfarades.
=== Non-mixité ===
{{article connexe|Non-mixité}}
Il s'agit d'une pratique consistant à organiser des rassemblements réservés aux personnes appartenant à un ou plusieurs [[groupe social|groupes sociaux]] considérés comme [[Oppression|opprimés]] ou [[Discrimination|discriminés]]. Lorsqu'ils se réclament de l'anti-sexisme, ces rassemblements excluent la participation de personnes appartenant à d'autres groupes considérés comme potentiellement discriminants (ou oppressifs) conformément, à la [[théorie de la dominance sociale]] {{incise|comme les personnes [[hétérosexualité|hétérosexuelles]], [[cisgenre]]s ou les [[homme]]s}}, avec comme motif de ne pas reproduire les schémas de domination sociale et ainsi libérer la parole.
La non-mixité est utilisée par certains groupes se réclamant de divers courants militants, notamment dans le [[féminisme]], le [[mouvement LGBT]], les mouvements de minorités de [[genre (sciences sociales)|genre]].
Cette pratique fait l'objet de critiques, y compris au sein même de ces mouvements, car jugée comme étant excluante et discriminante pour certaines catégories de personnes.