« Les Brigandes » : différence entre les versions
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le dernier avis en date de la préfecture sur les brigandes Balises : Révoqué Éditeur visuel |
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Directeur de la rédaction du journal d'extrême droite ''[[Rivarol (hebdomadaire)|Rivarol]]'', [[Jérôme Bourbon]], qui a d'abord été favorable à la communauté des Brigandes, la qualifie, après enquête, de {{Citation|secte à l'état sauvage}}. Au printemps 2016, un article de son journal fait état du caractère sectaire de la communauté des Brigandes<ref name=":3" />. En septembre de la même année, ''[[Rue89]]'' réalise à son tour un reportage sur la communauté des Brigandes, où les membres du groupe expliquent leur affiliation à l'extrême droite par le fait qu'il s'agirait du {{citation|seul créneau contestataire qui reste pour provoquer l’ordre établi}} et car {{citation|elle représente un certain sens de la normalité, de la moralité, un ordre naturel}}<ref name=":3" />.
Selon le compte rendu du conseil municipal du {{date-|28 septembre 2016}} de La Salvetat-sur-Agoût, la préfecture de l'[[Hérault (département)|Hérault]] identifie comme une [[secte]] la communauté dont font partie Les Brigandes<ref name=":8">{{lien web|format=pdf|titre=PV du conseil municipal|url=http://lasalvetatsuragout.fr/wp-content/uploads/2016/10/conseil-municipal-28septembre-2016.pdf|site=lasalvetatsuragout.fr|date=|consulté le=2016-12-02}}.</ref>. Cependant, le procureur de la République et la préfecture de l'Hérault déclarent en {{date-|juin 2018}} qu'« il n'y a pas de preuve tangible que Les Brigandes relèvent d'un phénomène sectaire »<ref name="Occitanie" />. En février 2019, le préfet de l'Hérault revient en ces termes sur le groupe Les Brigandes : ''"C'est un groupe féminin de "rock identitaire" qui vit en vase-clos et qui ne se distingue pas par des désordres particuliers"''. ''"Le maire a des relations tout à fait apaisées avec ce groupe"'', ajoute-t-il
Joël Labruyère, déjà connu par la [[Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires]] (MIVILUDES) pour ses activités de [[gourou]]<ref name=":3" />, s'était illustré par le passé en tant que militant prosectes<ref name=":0" />, notamment en fondant un « lobby », [[Protagonistes du débat sur les sectes en France|l'Ominum des Libertés]], après l'affaire de l'[[Ordre du Temple solaire]]<ref name=":3" /> ; une plainte, déposée par cinq anciens adeptes contre Labruyère en {{date-|janvier 2015}}, est toujours en cours d'instruction à Tarbes<ref name=":3" />{{,}}<ref name="Xéno" />. Dans un article paru en septembre 2016, sur le site ''[[Rue 89]]'', une femme interrogée par la journaliste Nolwenn Le Blevennec décrit Joël Labruyère comme « un [[Occultisme|occultiste]] assez puissant », « un mage » capable de faire trembler un immeuble et, à distance, de bloquer les trains et de faire éprouver à ses adversaires d'intenses malaises physiques<ref name=":3" />.
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