« Saïd Mohammedi » : différence entre les versions

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{{Homonyme|Mohammedi}}
{{Infobox Personnalité militaire
| nom = Saïd Mohammedi
| nom autre =
| image = Algerian war lords.jpg
| taille image =
| légende = Saïd Mohammedi (à gauche)<br>avec [[Amar Ouamrane]], [[Mouloud Amrouche]] et [[Amirouche Ait Hamouda]].
| surnom = Si Nacer
| date de naissance = {{date de naissance|27|décembre|1912}}
| lieu de naissance = [[Larbaâ Nath Irathen]] ([[Algérie française]])
| date de décès = {{date de décès|5|décembre|1994|27|décembre|1912}}
| lieu de décès = [[Paris]]
| âge au décès =
| origine = [[Algérie|Algérien]]
| allégeance = {{drapeau|Allemagne nazie}} [[Allemagne nazie]] <small>(1941-1944)</small><br>{{drapeau|Algérie}} [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]] <small>(1954-1962)</small>
| grade = [[Lieutenant (grade militaire)|Lieutenant]] <small>(Allemagne)</small><br>[[Colonel]] <small>(Algérie)</small>
| arme = [[Wehrmacht]]<br>[[Abwehr]]<br>[[Armée de libération nationale (Algérie)|ALN]]
| début de carrière =
| fin de carrière =
| conflit = [[Seconde Guerre mondiale]]<br> [[Guerre d'Algérie]]
| commandement = [[Wilaya III historique|Wilaya III]]<br>[[État-Major Général|État-Major Général (EMG)]]
| faits d'armes = [[Front yougoslave de la Seconde Guerre mondiale|Front yougoslave]]<br>[[Opération Rösselsprung (1944)]]<br>[[Sonderkommando Wimmer]]<br>[[Opération Oiseau bleu]]<br>[[Nombreuses opérations militaires en Wilaya 3 et à la frontière algéro-tunisienne]]
| distinctions = [[Croix de fer 1re classe]]
| hommages = [[Musée de mémoire de l'académie militaire interarmes de Cherchell baptisé en son nom]]<small> (2005)</small><br> [[33e promotion de commandement et d'état-major, 36e promotion de formation fondamentale et 10e promotion de formation spéciale de l'académie militaire interarmes de Cherchell baptisées en son nom]]<small> (2005)</small><br>[[Hommage de l'association Machaâl Echahid au centre d'El Moudjahid à Alger]]<small> (2010)</small><br>[[Hommage au musée régional du Moudjahid de Medouha à Tizi-Ouzou]]<small> (2016)</small>
| autres fonctions = Adjoint de Krim Belkacem en Zone 3 <small> (1954-1956) </small><br>{{1er|Colonel}} de la Wilaya 3 <small> (1956) </small><br> Chef d'État Major de l'ALN <small>(1957)</small><br> Chef d'État Major EST (Wilaya 1,2,3 et 4) <small> (1958) </small><br> Ministre d'État du GPRA <small> (1960-1962) </small><br> Membre du 1er Bureau Politique et Député de Tizi-Ouzou <small> (1962-Septembre 1963) </small><br> {{2ème|vice-président}} du Conseil et Ministre des Anciens combattants et victimes de la guerre <small>(1963-1965)</small><br> Membre du Conseil de la Révolution <small> (1965-1968) </small>
| famille =
| signature =
| emblème =
| liste =
}}
 
'''Saïd Mohammedi''' (connu aussi sous son nom de guerre '''Si Nacer'''), né le {{date de naissance|27|décembre|1912}} à [[Larbaâ Nath Irathen]] ([[Kabylie]] en [[Algérie française]] à l'époque), et mort le {{date de décès|5|décembre|1994}} à [[Paris]], est un militaire et [[homme politique]] [[algérie]]n.
 
Il fut un ancien combattant de la [[Wehrmacht]] et l'un des dirigeants de la [[Guerre d'Algérie|Révolution algérienne]], en tant que colonel de l'[[Armée de libération nationale (Algérie)|Armée de libération nationale]] (ALN) de la [[Wilaya III historique|Wilaya III]] durant la guerre d'indépendance.
 
== Biographie ==
{{section à sourcer|date=février 2018}}
=== Enfance et jeunesse ===
Profondément patriote depuis sa jeunesse, il milite dès son adolescence à l'[[Étoile nord-africaine]] puis au [[Parti du peuple algérien]]<ref name=":1">{{Ouvrage|nom1=Abtroun, Chérif, 1938-|titre=Si Nasser (Mohammedi Saı̈d|éditeur=|année=2016|pages totales=181|isbn=978-9947-62-127-1|isbn2=9947-62-127-8|oclc=973222740|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/973222740|consulté le=2020-06-23}}</ref>.
 
Il effectue son service militaire au sein l'armée française dans les années 1930 et refusa de s'y engager malgré la volonté de ses supérieurs de l'enrôler en tant qu'instructeur.
 
===Seconde Guerre Mondiale ===
{{Article connexe|Monde musulman pendant la Seconde Guerre mondiale}}
 
Pendant la [[Seconde Guerre mondiale]], Saïd Mohammedi s'engage dans la [[Wehrmacht]] en 1941 à [[Stahnsdorf]] et prête serment avec le grade de [[Feldwebel]] au Kradschützen-Bataillon 4 ([[Panzerdivision]]) puis rejoint la [[Légion arabe libre]] à [[Zwettl]] en [[Autriche]] avant de servir au sein du Deutsch-arabisches Bataillon 845 pendant 6 semaines en [[Grèce]] en tant que membre de la [[41e division d'infanterie (Allemagne)|{{41e|division}} d'infanterie de la Wehrmacht]]<ref name=":0">{{Ouvrage|nom1=Wimmer-Lamquet, Franz.|titre=Balkenkreuz und Halbmond : als Abwehroffizier in Afrika und im Vorderen Orient|éditeur=Ares|année=2005|isbn=3-902475-18-8|isbn2=978-3-902475-18-3|oclc=70840679|lire en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/70840679|consulté le=2020-06-23}}</ref>.
 
Il est par la suite transféré à l'école d'agent de renseignement "Kloster" du haut commandement de la [[Wehrmacht]] ([[Oberkommando der Wehrmacht]]) à Belzig ([[Bad Belzig]])<ref name=":0" /> avant d'intégrer le [[Sonderkommando]] Wimmer, commando de choc de la [[Wehrmacht]]<ref>{{Ouvrage|langue=fr|nom1=Mahé, Yann, 1980-....|titre=Le règne des Brandebourgeois|volume=1|lieu=Aix-en-Provence|éditeur=Caraktère presse & éditions|date=DL 2019|pages totales=183|isbn=978-2-916403-22-9|isbn2=2-916403-22-1|oclc=1135249594|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/1135249594|consulté le=2020-08-04}}</ref> fondé par le colonel [[:de:Franz_Wimmer-Lamquet|Franz Wimmer-Lamquet]] (SS-Standartenführer), où il fut parachuté derrière les lignes ennemies dans de nombreuses opérations spéciales de l'[[Abwehr]] notamment sur le [[Front yougoslave de la Seconde Guerre mondiale|front yougoslave]] contre les [[Partisans (Yougoslavie)|Partisans]] de [[Josip Broz Tito]] ainsi qu'en Afrique du nord<ref name=":0" />.
 
Le [[Sonderkommando]] Wimmer était directement subordonné à [[Adolf Hitler]] après la mort de [[Reinhard Heydrich]]<ref name=":0" /> en juin 1942.
 
Au cours d'un séjour à [[Berlin]] il est décoré de la [[Croix de fer]] de première classe ainsi que d'autres distinctions de bravoure faisant de lui un soldat exemplaire<ref name=":0" />.
 
Promu [[Oberleutnant]] (lieutenant) durant l'été 1944, il est envoyé par l'[[Abwehr]] avec cinq autres compagnons d'armes (Allemands et Algériens) en mission de [[Service de renseignements|renseignement]] et de sabotage en [[Algérie]] afin de créer un soulèvement nationaliste. Il est arrêté quelque temps après son parachutage dans la région de [[Tébessa]]<ref name=":0" />.
 
De cet épisode, il gardera son [[Stahlhelm]] (casque allemand) et ses armes qu'il avait confiés à des militants nationalistes algériens avant son arrestation, qui lui serviront pendant la [[guerre d'Algérie]].
 
Il est jugé au tribunal de Constantine le {{date-|23 octobre 1944}} avant d'être condamné à mort puis à perpétuité dans la prison de Lambèse dans l'est algérien.
 
Le colonel [[:de:Franz_Wimmer-Lamquet|Franz Wimmer-Lamquet]] présente Said Mohammedi comme son meilleur agent dans son livre ''Balkenkreuz und Halbmund''<ref>{{de}} [https://www.ares-verlag.com/buecher/geschichte-militaria/militaria-detail/article/balkenkreuz-und-halbmond/], ares-verlag.com</ref> et précise qu'en cas de succès il aurait été décoré par [[Adolf Hitler|Hitler]] en personne<ref name=":0" />. De son côté, dans une lettre du {{date-|19 mars 1989}} à Wimmer-Lamquet, Said Mohammedi l'informe que {{citation|de nombreux djounoud [combattants de l'ALN] qui étaient en Allemagne sont tombés au champ d'honneur au cours de notre guerre de libération.}}<ref name=":0" />
 
=== Guerre d'Algérie ===
Après sa condamnation à mort commuée de 1944, il bénéficie d'une libération conditionnelle en 1952. Il prend alors contact avec des cadres de la zone III (future [[Wilaya III historique|Wilaya III]]) dont [[Krim Belkacem]] et [[Amar Ouamrane]], avant de passer dans la clandestinité et de participer au déclenchement de la [[Guerre d'Algérie|guerre de libération nationale.]]<ref name=":1" />
 
En [[1956]], il participe au [[congrès de la Soummam]] avec Krim Belkacem dont il est le premier adjoint, à l'issue duquel il devient 1{{er}} colonel et chef de la [[Wilaya III historique|Wilaya III]], avec comme adjoint les commandants [[Amirouche Aït Hamouda|Amirouche Ait Hamouda]], [[Abderrahmane Mira]] et le Commandant Kaci. Il devient également membre du [[Conseil national de la révolution algérienne|CNRA]].
 
En 1957, des éléments du [[Mouvement national algérien (guerre d'Algérie)|MNA]] provenant du village de Melouza, ont mené des attaques contre l'[[Armée de libération nationale (Algérie)|ALN]], éliminant des soldats et des officiers. Un détachement de l'ALN mené par le lieutenant Abdelkader El Bariki prit l'initiative d'une attaque contre les éléments armés du MNA à Mélouza sans en référer au commandement supérieur dont Said Mohammedi était responsable. Aussitôt informé de la situation, Said Mohammedi prit la décision de mener une enquête qu'il confia au capitaine Arab dans une premier temps, puis au commandant [[Amirouche Aït Hamouda|Amirouche Ait Hamouda]] dans un second temps. Le rapport des combats fait état de moins de 80 morts dont la plupart sont des éléments armées du MNA.
 
Il existe jusqu'à présent des incertitudes et une incohérence quant à l'implication du FLN dans le massacre des civiles. En effet, le 8ème régiment de spahis de Jean Combette, connus pour avoir soutenus des minorités ethniques hostiles au Viet-Minh durant le conflit indochinois, était, en 1957, capitaine d'une SAS (section administrative spécialisée) proche du village de Melouza<ref>{{Ouvrage|prénom1=Philippe|nom1=Gaillard|titre=L'Alliance : la guerre d'Algérie du général Bellounis, 1957-1958|éditeur=L'Harmattan|date=2009|isbn=978-2-296-07932-8|isbn2=2-296-07932-6|oclc=318664823|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/318664823|consulté le=2021-03-13}}</ref>. Immédiatement après le massacre, une alliance militaire est conclue entre Bellounis (chef de la branche armée du MNA) et l'état major français qui aboutit à la formation de l'armée nationale du peuple algérien (ANPA) soutenus financièrement et militairement par le gouvernement français<ref>{{Ouvrage|prénom1=Pascal|nom1=Chems Ed Din|titre=L'affaire Bellounis : histoire d'un général fellagha : précédé de [l'introduction] Retour sur la guerre d'Algérie de Edgar Morin|éditeur=Editions de l'aube|date=1998|isbn=2-87678-413-0|isbn2=978-2-87678-413-0|oclc=39904602|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/39904602|consulté le=2021-03-13}}</ref>. De ce fait, la présence de ce régiment stationné dans les environs de Melouza au moment du drame est sujet à interrogation. En effet, la présence de ce capitaine connu pour ses actions de contre espionnage en Indochine (financement et armement des maquis autochtone de la minorité ethnique Hmong)<ref>{{Ouvrage|prénom1=Rémi|nom1=Kauffer|titre=Histoire mondiale des services secrets : de l'Antiquité à nos jours|isbn=978-2-262-07207-0|isbn2=2-262-07207-8|oclc=1004820374|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/1004820374|consulté le=2021-03-13}}</ref> qui tentait en vain d'allier le MNA de Bellounis (abandonné par Si El Haouès et Amor Driss gagnés au FLN, et acculé dans les faubourgs de Melouza après une longue marche ayant aboutit à la perte de 500 de ses hommes contre le FLN<ref name=":2">{{Ouvrage|prénom1=Roger,.|nom1=Faligot|prénom2=Rémi|nom2=Kauffer|titre=Histoire politique des services secrets français de la seconde guerre mondiale à nos jours|éditeur=La Découverte|date=impr. 2013, cop. 2012|isbn=978-2-7071-7771-1|isbn2=2-7071-7771-7|oclc=865173925|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/865173925|consulté le=2021-03-13}}</ref>) pourrait laisser croire à un rôle de l'armée française dans le massacre des civils (315 morts) immédiatement après l'attaque du foyer messaliste par le FLN, afin d'une part de se venger de l'opération oiseau bleu entreprise par Said Mohammedi et Krim Belkacem qui humilièrent le [[Service de documentation extérieure et de contre-espionnage|SDECE]] quelques mois plus tôt, et d'autre part de forcer l'alliance politico-militaire entre le MNA qui perdait du terrain et l'autorité française <ref name=":2" />. Ce massacre fut particulèrement exploité par la propagande française auprès de la presse et des instances internationales tels que l'ONU pour discréditer le FLN. Quelques années plus tard, le massacre de [[Bombardement de Sakiet Sidi Youssef|Sakiet Sidi Youssef]] par bombardement (plus de 70 civils morts et 148 blessés) révélera les méthodes barbares employées par l'armée française à l'encontre des civils, qui sera désavouée par l'ONU et la crise qui en découlera précipitera la chute de la [[Quatrième République|IVème république]].
 
Connu pour ses discours mobilisateurs, il organisa avec succès les troupes et leur inculqua la rigueur et l'esprit militaire, faisant de la [[Wilaya III historique|Wilaya III]] la plus puissante et la mieux organisée des wilayas, fait qui lui vaudra d'être choisi par ses pairs pour rejoindre l'Académie des officiers supérieurs du Caire pour parfaire sa formation militaire supérieure. À la suite de cela, il fut nommé par le [[Gouvernement provisoire de la République algérienne|GPRA]] Chef d'État-Major. Il prit ainsi le commandement de l'ALN.
 
En [[1957]] il est nommé premier Chef du [[Comité d'organisation militaire (COM)]] par le CCE ([[comité de coordination et d'exécution]]).
 
Après une première réorganisation il s'occupa du COM Est, qui regroupait les représentants des Wilaya l, II, III et une partie de la IV.
 
Lors d'une deuxième réorganisation du COM, il fut nommé ministre d'État du GPRA, jusqu'à l'indépendance de l'[[Algérie]].
 
===Après l'indépendance===
Il est élu membre du Bureau politique au [[congrès de Tripoli]]. Il est chargé du secteur de l'Éducation et de la Santé publique. Député de [[Tizi Ouzou]] le {{date-|20 septembre 1962}}, il est nommé ministre des Anciens moudjahidines et des victimes de la guerre dans le premier gouvernement de [[Ahmed Ben Bella]]. Le {{date-|16 mai 1963}}, il devient {{2e|vice-président}} du Conseil, et membre du Comité Central et du Bureau Politique du [[Front de libération nationale (Algérie)|FLN]] le {{date-|24 avril 1964}}. Toujours député, il est écarté par Ben Bella ; il perd son poste ministériel lors du remaniement du {{date-|2 décembre 1964}}, à la suite de son opposition au pouvoir personnel de Ben Bella qui se met en place progressivement. Il appela à rendre la parole au peuple et à des élections libres.
 
En [[1965]], il devient membre du Conseil de la Révolution, après le coup d'état de [[Houari Boumédiène|Houari Boumediene]]. En [[1967]], lors de la commémoration de la mort d'[[Amirouche Aït Hamouda]] au village de [[Tassaft Ouguemoun]], il donne un dernier meeting dans lequel il dénonce la politique autocratique de [[Houari Boumédiène|Boumediene]]. Il le désigne nommément comme un despote et un dictateur. Ce dernier l'assigne en résidence surveillée pendant trois ans.
 
En [[1991]], dans le documentaire ''Les Années algériennes'', le colonel Said Mohammedi couvrit les soldats qui prirent part au combat contre les éléments armés de Melouza.
 
À la fin de sa vie, il soutient le [[Front islamique du salut]] (FIS), dans lequel il voit un mouvement populaire capable de changer le régime en place.
 
Il meurt le {{date|5|décembre|1994}} à [[Paris]].
 
== Publication ==
* ''L'islam porte en lui le socialisme'', Le Caire, Dar El Watani, Sd., 59 p. (en français) et 52 p. (en arabe)
 
== Notes et références ==
{{Références|taille=40}}
 
== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===
* Wimmer-Lamquet, Franz., ''Balkenkreuz und Halbmond : als Abwehroffizier in Afrika und im Vorderen'' Orient, Ares, 2005
* Abtroun, Chérif, 1938-, ''Si Nacer (Mohammedi Said),'' Casbah-Editions, Alger, 2016
* {{Ouvrage|langue=fr|auteur1=[[Benjamin Stora]]|titre=Dictionnaire biographique de militants nationalistes algériens|sous-titre=E.N.A, P.P.A., M.T.L.D., 1926-1954|lieu=Paris|éditeur=Harmattan|année=1985|isbn=978-2-296-34093-0|présentation en ligne=http://guy.perville.free.fr/spip/article.php3?id_article=190}}
* {{Ouvrage|prénom1=Jean-Louis|nom1=Gérard|titre=Dictionnaire historique et biographique de la guerre d'Algérie|lieu=Hélette|éditeur=Curutchet|année=2000|pages totales=206|isbn=978-2-912932-27-3}}
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Achour|nom1=Cheurfi|titre=La révolution algérienne, 1954-1962|sous-titre=dictionnaire biographique|lieu=Alger|éditeur=Casbah éditions|année=2004|pages totales=495|isbn=978-9961-64-478-2}}
 
=== Filmographie ===
* [[Bernard Favre]] et [[Benjamin Stora]], [http://www.cinetroc.com/echange-dvd/352142_Les_annees_algeriennes.html ''Les Années algériennes''], film documentaire, [[Institut national de l'audiovisuel|INA]] - [[France 2]], 1991
 
=== Articles connexes ===
* [[Si Mustapha#Mohamed El Aïchaoui|Mohamed El Aïchaoui]] ({{Tri date|||1929}}-{{Tri date|||1959}}) : journaliste et chahid
* [[Massacre de Melouza]]
 
=== Liens externes ===
* [https://web.archive.org/web/20100428022102/http://www.ina.fr/economie-et-societe/justice-et-faits-divers/video/I00002428/les-crimes-de-guerre.fr.html ''Crimes de guerre, témoignage de Mohammedi Said sur le massacre de Meloueza''], [[Antenne 2]], 1991, [[Institut national de l'audiovisuel|INA]].
* Article de presse : [https://web.archive.org/web/20160303183319/https://www.lesoirdalgerie.com/articles/2004/12/05/article.php?sid=16506&cid=2 ''Réhabilitation de la mémoire de Mohammedi Saïd - Histoire d’un parcours controversé''], [[Le Soir d'Algérie]], {{date-|5 décembre 2004}}.
 
{{Palette|Wilayas Historiques de la Révolution Algérienne}}
{{Portail|histoire militaire|Seconde Guerre mondiale|renseignement|Algérie|Kabylie}}
 
{{DEFAULTSORT:Mohammedi, Said}}
[[Catégorie:Personnalité de l'histoire algérienne]]
[[Catégorie:Personnalité du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques]]
[[Catégorie:Membre du Front de libération nationale (Algérie)]]
[[Catégorie:Personnalité de la guerre d'Algérie]]
[[Catégorie:Personnalité du Front islamique du salut]]
[[Catégorie:Personnalité kabyle]]
[[Catégorie:Membre de la SS non-allemand]]
[[Catégorie:Membre de la Waffen-SS]]
[[Catégorie:Membre de la Légion des volontaires français]]
[[Catégorie:Récipiendaire de la croix de fer]]
[[Catégorie:Vice-président de l'Algérie]]
[[Catégorie:Naissance en décembre 1912]]
[[Catégorie:Naissance à Larbaâ Nath Irathen]]
[[Catégorie:Décès en décembre 1994]]
[[Catégorie:Décès à 81 ans]]
[[Catégorie:Décès à Paris]]
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