« Neptune Terminus » : différence entre les versions
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m →Analyses et description : Le logo de la Nasa (pour une simple évocation en intro) est hors sujet et hors contexte : il n'y a pas de vrai lien avec le sujet / sauts de lignes superflus |
→Analyses et description : {{note|groupe=n|texte=Dans le podcast du 29 mars 2021, sur Radio France internationale, interrogé sur le sens de ce clin d’œil à Apollo 13, il explique qu’il ne renie jamais les problèmes, mais qu’il préfère se concentrer sur la lumière, sur comment se relever après un accident, comment de devenir une {{citation|meilleure version de lui-meme.}}}}. |
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Alors que ses précédents albums étaient clairement plus militants, Youssoupha déclare à propos de ''Neptune Terminus'' que {{citation|ce n’est pas un album qui parle de l’espace en tant que tel mais qui utilise des références spaciales. La métaphore ''Neptune Terminus'' est aussi liée au rêve africain<ref name=Binet>{{harvsp|Binet|2021|texte= Stéphanie Binet, « Youssoupha, embarquement pour un autre espace-tempo », Le Monde.fr}}</ref>.}}
L’intro de l’album s’intitule ''Houston''. Il y reformule une phrase connue des ingénieurs de la [[NASA]] : {{citation|Allo, Houston, nous avons un problème<ref name=Binet/>}}, qui devient, sur fond de bruitage d’[[Radiocommunication|appel radio]], {{citation|Houston... Houston... nous n’avons aucun problème.}}{{note|groupe=n|texte=Dans le [[podcast]] du 29 mars 2021, sur [[Radio France internationale]], interrogé sur le sens de ce clin d’œil à [[Apollo 13]], il explique qu’il ne renie jamais les problèmes, mais qu’il préfère se concentrer sur la lumière, sur comment se relever après un accident, comment de devenir une {{citation|meilleure version de lui-meme.}}}}.
== Réception ==
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