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J'ai supprimé ce qui a trait à des événements intimes et faux pour la plupart et qui porte atteinte à ma famille mes enfants et moi même , sa mère . Des propos dénigrants , venu d'une personne mal intentionnée, et des propos indignes de wikipedia . C'est un écrivain dont on parle, et les propos qui relèvent de son intimité, de sa famille, et qui portent atteintes à celle çi , sont insupportables.
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== Biographie ==
=== Origines et formation ===
Fils de l'économiste [[Hervé Defalvard]]<ref name=Philippe>{{Article|auteur=Élisabeth Philippe|lire en ligne=https://www.nouvelobs.com/romans/20210116.OBS38924/la-saison-en-enfer-de-marien-defalvard-ex-genie-precoce-et-facho-autoproclame.html|périodique=[[L'Obs]]|date=16 janvier 2021|titre=La saison en enfer de Marien Defalvard, ex-génie précoce et “facho” autoproclamé}}.</ref>{{,}}<ref name=Viviant>{{Article|lire en ligne=https://m.facebook.com/203667532980455/posts/5516815891665566/|auteur=[[Arnaud Viviant]]|numéro=144|date=janvier 2021|titre=Le revenant|passage=52-53|périodique=Transfuge}}.</ref>, Marien Defalvard naît le {{date-|20 février 1992}} dans le [[14e arrondissement de Paris|{{14e|arrondissement}} de Paris]]<ref>[[Acte de naissance]] {{numéro|1523}}, [[état civil]] de la mairie du [[14e arrondissement de Paris|{{14e|arrondissement}} de Paris]], {{date-|20 février 1992}}.</ref>. Brouillé avec ses parents, il jugera en 2021 que sa famille, également composée de deux sœurs, est {{citation|une catastrophe}}<ref name=Viviant/>.
 
Il passe son enfance à [[Orléans]], et suit sa scolarité au collège Saint-Charles (2001-2005), puis au [[Jean Zay|lycée Jean-Zay]]<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=Sébastien Acker|titre=Marien Defalvard : “C'est un livre rêveur”|url=http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/People/n/Contenus/Articles/2011/08/27/Marien-Defalvard-C-est-un-livre-reveur|site=lanouvellerepublique.fr|éditeur=''[[La Nouvelle République du Centre-Ouest]]''|date=27 août 2011}}.</ref> (2005-2008<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=R. R.|titre=Marien Defalvard... un ancien élève du lycée|url=http://www.lyceejeanzay.fr/3%20-%20menu_vie%20de%20l%20etablissement/6%20-%20evenements/Marien%20Defalvard%20oct%20nov%202011/marien%20defalvard%20un%20ancien%20eleve%20de%20jean%20zay.htm|site=lyceejeanzay.fr}}.</ref>).
 
Après avoir reçu {{lesquels|deux prix}} au [[concours général]]<ref name="LR">[[Louis-Henri de La Rochefoucauld]] (ill. Arnaud Juhérian), « Defalvard et son double », ''[[Technikart]]'', {{numéro|247}}, 17 mars 2021, p. 70.</ref>, il obtient son [[Baccalauréat en France|baccalauréat]] à {{nobr|16 ans}}, en 2008, avant d'entamer une [[Classes préparatoires littéraires|hypokhâgne]] à Orléans au [[lycée Pothier]]<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=Aimie Eliot|titre=Marien Defalvard, âgé de 18 ans, sort son premier roman, Du temps qu’on existait, chez Grasset|url=http://www.larep.fr/loiret/actualite/pays/orleans-metropole/orleans/2011/10/17/marien-defalvard-age-de-18-ans-sort-son-premier-roman-du-temps-quon-existait-chez-grasset_11172730.html|site=larep.fr|éditeur=''[[La République du Centre]]''|date=17 août 2011}}.</ref> puis à Paris au [[lycée Louis-le-Grand]]<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=[[Alain Veinstein]]|titre=Marien Defalvard|url=http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4287099|site=franceculture.fr|éditeur=[[France Culture]]|date=1 septembre 2011}}.</ref>.
 
=== Carrière littéraire ===
En 2007, après avoir produit quelques textes de jeunesse<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=[[Augustin Trapenard]]|titre=Marien Defalvard, romancier, 19 ans|url=https://www.franceinter.fr/emission-toute-toute-premiere-fois-marien-defalvard-romancier-19-ans|site=franceinter.fr|éditeur=[[France Inter]]|date=19 août 2011}}.</ref>, Marien Defalvard entreprend l'écriture de son premier roman<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=Grégoire Leménager|titre=Quand Jenni rencontre Defalvard|url=http://bibliobs.nouvelobs.com/rentree-litteraire-2011/20110922.OBS0902/quand-jenni-rencontre-defalvard.html|site=bibliobs.nouvelobs.com|éditeur=''[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]]''|date=26 septembre 2011}}.</ref>. En 2008, il est interné une première fois dans une clinique de [[Blois]], sur demande de sa mère<ref name=LR/>.
 
''[[Du temps qu'on existait]]'' paraît en 2011 ; il se distingue par le style de son auteur, qui surprend par rapport à sa jeunesse<ref name="Garcin"/>. La réception du roman est néanmoins des plus divisées : si [[Jérôme Garcin]] y décèle {{citation|une prose somptueuse et maniérée}}<ref name="Garcin">{{Lien web|auteur=[[Jérôme Garcin]]|titre=Un génie de 19 ans pour la rentrée ?|url=http://bibliobs.nouvelobs.com/romans/20110713.OBS7001/un-genie-de-19-ans-pour-la-rentree.html|site=bibliobs.nouvelobs.com|éditeur=''[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]]''|date=19 juillet 2011|consulté le=28 novembre 2016}}.</ref>, [[Jérôme Dupuis]] le qualifie de {{citation| pavé indigeste}}<ref>{{Lien web|auteur=[[Jérôme Dupuis]]|titre=Defalvard, les mots pour ne rien dire|url=http://www.lexpress.fr/culture/livre/du-temps-qu-on-existait_1037026.html|site=lexpress.fr|éditeur=''[[L'Express]]''|date=5 octobre 2011|consulté le=17 novembre 2011}}.</ref>.
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Malgré ces réactions contrastées, ''Du temps qu'on existait'' retient l'attention des critiques à l'occasion de la [[2011 en littérature|rentrée littéraire 2011]]<ref group="alpha">{{citation|À Marien Defalvard (19 ans), enfin, revient d'endosser le rôle du jeune prodige de l'année : très écrit {{incise|presque trop}}, à bien des égards incongru, ''Du temps qu'on existait'' séduira les uns par sa mélancolie, agacera les autres, qui y verront un insupportable déploiement d’afféterie. Qu'importe : qu'on prenne la peine d'en débattre, c'est bien le signe qu'il faut compter avec lui}} (cf. {{Lien web|langue=fr|auteur=Nathalie Crom|titre=Rentrée littéraire : nos coups de cœur (suite !)|url=http://www.telerama.fr/livre/appetit-de-nouveaute,72101.php|site=telerama.fr|éditeur=''[[Télérama]]''|date=27 août 2011}}).</ref> au côté de ''[[L'Art français de la guerre]]'' d'[[Alexis Jenni]] : il reçoit les prix [[Prix de Flore|de Flore]]<ref name="flore">{{Lien web|auteur=G. L.|titre=Marien Defalvard, prix de Flore 2011|url=https://archive.is/WmEuB|site=bibliobs.nouvelobs.com|éditeur=''[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]]''|date=9 novembre 2011|consulté le=9 novembre 2011}}</ref> et du [[Prix du premier roman|premier roman]]<ref name="Imbault">{{Lien web|auteur=Marie-Christine Imbault|titre=Deux premiers romans qui font mouche|url=https://archive.is/iKlmx|site=prixlitteraires.livreshebdo.fr|éditeur=''[[Livres Hebdo]]''|date=15 novembre 2011|consulté le =15 novembre 2011}}</ref>, et figure dans la première sélection du [[Prix Renaudot|Renaudot]]<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=Marie-Christine Imbault|titre=Le Renaudot établit ses premières sélections|url=https://archive.is/mnJU|site=livreshebdo.fr|éditeur=''[[Livres Hebdo]]''|date=6 septembre 2011}}.</ref>{{,}}<ref group="alpha">Mais il est absent de la deuxième liste, communiquée le {{nobr|5 octobre}}.</ref> et du [[Prix Décembre|Décembre]]<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Premier scrutin pour le prix Décembre|url=http://www.magazine-litteraire.com/actualite/breve/premier-scrutin-prix-decembre-14-09-2011-35040|site=magazine-litteraire.com|éditeur=''[[Le Magazine littéraire]]''|date=14 septembre 2011}}.</ref>.
 
Après un second séjour en hôpital psychiatrique<ref name=Philippe/>{{,}}<ref name=Viviant/>, une condamnation à six mois de prison avec sursis et trois ans d'éloignement<ref name=LR>[[Louis-Henri de La Rochefoucauld]] (ill. Arnaud Juhérian), « Defalvard et son double », ''[[Technikart]]'', {{numéro|247}}, 17 mars 2021, p. 70.</ref> pour des coups portés à sa mère<ref>{{article|auteur=Aurore Malval|titre=6 mois de sursis pour l'Orléanais Marien Defalvard, ex-enfant prodige de la littérature|périodique=La République du Centre|date=7 octobre 2014|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20160201053412/http://www.larep.fr/loiret/actualite/2014/10/07/6-mois-de-sursis-pour-l-orleanais-marien-defalvard-ex-enfant-prodige-de-la-litterature_11172714.html}}</ref>, et une plongée dans la précarité<ref name=Viviant/>, il reprend la plume en [[2014 en littérature|2014]]<ref>David Vesper, « Confessions d'un cramé », entretien avec Marien Defalvard, ''Adieu'', {{numéro|1}}, juin 2016 [https://www.yumpu.com/fr/document/view/55948405/confessions-dun-crame].</ref>.
 
En 2016, il publie un premier recueil de poèmes, ''Narthex''<ref>{{Lien web|url=https://www.nouvelle-quinzaine-litteraire.fr/mode-lecture/le-langage-entre-tient-1184|site=nouvelle-quinzaine-litteraire.fr|titre=Le langage entre-tient|date=2 mars 2017|auteur=Thibault Ulysse-Comte}}.</ref>{{,}}<ref>[https://www.youtube.com/watch?v=JwP7AJR41i4 « Des possibilités de musique sur une île paradisiaque » Émission avec Marien Defalvard sur la RTBF, 2019]</ref>.
 
2021 voit son retour à la forme romanesque avec ''[[L'Architecture (roman)|L'Architecture]]''<ref>Présentation du roman lors de l'émission ''Le Masque et la Plume'' du 3 janvier 2021 [https://www.franceinter.fr/emissions/le-masque-et-la-plume/le-masque-et-la-plume-03-janvier-2021]</ref>. Il vit alors seul à [[Ceyrat]], dans une maison appartenant à son père<ref name=LR/>.
 
== Œuvres ==
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