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Convaincue par Kyōsuke Kindaichi de l'intérêt et de la nécessité de préserver la tradition orale de son peuple, Yukie a réuni les chants et les contes que lui a transmis son milieu familial, parents, grands-parents, tante, etc. Elle les a à la fois traduits en japonais, mais elle a aussi transcrit le son des mots aïnou en alphabet latin{{sfn|Tyrisevä|Didier|Fouque|Calle-Gruber|2013|p=891}}. Publié une année après son décès sous le titre ''Ainu Shinyōshū'' (''アイヌ神謡集, Recueil des épopées ainu des dieux'') le recueil a été un grand succès dans la presse à cette époque, en faveur de la reconnaissance de la culture aïnou au Japon.
 
Son jeune frère, Mashiho, et sa tante Imecanu ont pris sa relève sous le parrainage de Kindaichi sur le travail de pérennisation des ''yukar'', et de description des traditions de cette ethnie (le mode de vie, les pratiques et les croyances). Mashiho est devenu un érudit aïnou respecté, et le tout premier professeur de la langue aïnou à l'[[Université impériale de Tokyo]]{{sfn|Watson|2014|p=62}}.
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