« Centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux » : différence entre les versions
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== Présentation ==
Cette [[centrale nucléaire]] comprend deux [[Réacteur à eau pressurisée|réacteurs à eau pressurisée]] (REP), B1 et B2, qui sont en fonctionnement commercial depuis [[1983]]. Ils ont une puissance unitaire de {{unité/2|915|MW}}. Les deux [[Tour_de_refroidissement|tours de refroidissement]] en font partie<ref name=EDF>{{Lien web|url=http://energies.edf.com/edf-fr-accueil/la-production-d-electricite-edf/-nucleaire/les-centrales-nucleaires/saint-laurent/presentation-120798.html|titre=Saint-Laurent|auteur=Collectif |année=|éditeur=[[Électricité de France]]|consulté le=21 mai 2009}}.</ref>.
Le site contient également deux anciens réacteurs nucléaires A1 et A2 de la [[filière nucléaire|filière]] [[uranium naturel graphite gaz]] (UNGG) en phase de [[démantèlement nucléaire|démantèlement]] et les deux silos d'entreposage associés. Ces deux réacteurs avaient été respectivement mis en service en 1969 et 1971<ref name=ASN>{{Lien web
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== Particularités ==
Lors de la conception, la hauteur des [[Tour de refroidissement|réfrigérants]] a été limitée à {{unité|120|m}} afin de réduire leur visibilité depuis [[Château de Chambord|Chambord]]<ref>[http://www.loire-france.com/unesco/centrales-nucleaires.htm 2. Une réflexion poussée en matière d’architecture et d’insertion dans le paysage - Des choix innovants en matière de réfrigération atmosphérique], loire-france.com</ref>. Roger Frangi (1922-1992), ancien élève de l'Ecole centrale de Paris, ingénieur en chef à la société GTM (des [[Grands travaux de Marseille]], aujourd'hui Vinci) supervisa la maîtise d'oeuvre de la construction des bâtiments.
Sur les tours de Saint Laurent A nichent des faucons pèlerins en vue de faire fuir les pigeons.
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