« Place des femmes dans la Rome antique » : différence entre les versions

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Collation de poncifs et d'approximations d'un autre temps ou d'à présent, sans aucune source académique (et pourtant elles tournent :-) ) sauf parfois Tite-Live, parfois "Rome antique pour les nuls"... Je supprime la partie la plus... fantasmagorique ( « Lorsque l'empire se christianise sous Constantin, il renforce le poids du mariage (sic). Ainsi, en 329... »)
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[[Fichier:Dama del período Julio-Claudio (Museo del Prado) 01.jpg|thumb|Femme romaine de la période julio-claudienne (statue conservée au [[musée du Prado]], à [[Madrid]], en [[Espagne]]).]]{{À recycler|motif=Le sujet n'est pas traité - ni circonscrit - dans un article qui ne reflète rien de l'état de la recherche du XXIes.|date=novembre 2021}}
{{Sources à lier|date=mars 2015}}
[[File:Casale Bikini.jpg|thumb|upright=1,5|Femmes en [[bikini (vêtement)|bikini]], Villa Romana del Casale.]]
[[Fichier:Dama del período Julio-Claudio (Museo del Prado) 01.jpg|thumb|Femme romaine de la période julio-claudienne (statue conservée au [[musée du Prado]], à [[Madrid]], en [[Espagne]]).]]
 
La [[société romaine]] était une société [[Patriarcat (sociologie)|patriarcale]] et [[Patrilinéarité|patrilinéaire]] stricte. À l’origine clanique ([[gentilice]]<ref>D'après le mot latin ''[[Gens (Rome antique)|gens]]'' qui désignait un groupement familial portant un même identifiant (gentilice) et censé remonter à un ancêtre commun, plus ou moins mythique ou héroïque.</ref>), l’organisation sociale donnait tout pouvoir (''[[potestas]]'') au père vivant (''[[pater familias]]'') sur l’ensemble de sa descendance, patrimoine compris.
 
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== Prostitution ==
{{Autre|la sexualité en général|Sexualité dans la Rome antique}}
{{section à sourcer|date=janvier 2018}}
 
Dans la société romaine, l'usage des esclaves à des fins sexuelles était courant pour les maîtres mâles, mais sévèrement condamné pour les maîtresses afin d'éviter toute contestation de légitimité des héritiers. Une loi votée sous [[Vespasien|l'empereur Vespasien]] (r. 69-79 ap. J.-C) dispose qu'une femme se compromettant avec un esclave doit être considérée comme telle<ref name=bedoyere/>. Lorsque l'empire se christianise sous [[Constantin Ier (empereur romain)|Constantin]], il renforce le poids du mariage. Ainsi, en 329, une loi punit de mort l'adultère d'une femme avec son esclave.
 
Les Romains pauvres ne pouvant s'offrir une esclave, ou ceux en déplacement, louaient donc les services sexuels des esclaves des bordels. Une minorité pauvre de femmes libres ou affranchies travaillaient aussi dans les bordels. Ces lieux de plaisirs étaient des commerces légaux qui veillaient à se bâtir une réputation, et usaient de placards publicitaires ou de gravures d'organes génitaux sur les pavés des rues pour guider les clients vers leurs portes. Les [[spintria]] pourraient être des jetons de bordels achetés au proxénète, et remis ensuite à la prostituée choisie.
 
Si le viol était considéré comme un crime, la loi ne punissait le viol d'un esclave que si le « bien était endommagé ». Le responsable devait alors payer une compensation au propriétaire pour les dommages faits à sa ou son esclave.
 
Des cadavres de nouveaux-nés ont été retrouvés sous les anciens lieux de bordels romains, sans qu'il soit possible de déterminer avec exactitude s'il s'agissait d'infanticides ou de morts-nés. L'abandon des bébés était néanmoins une pratique connue de la Rome antique.
 
== Statuts particuliers ==