« Tünde Szentes » : différence entre les versions
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=== Accusations de fonctionnement sectaire ===
En 1986, une ancienne religieuse de la communauté dénonce la {{Citation|pression psychologique}} exercée par la fondatrice, mais aussi des {{Citation|vexations, humiliations et sévices corporels}}.
| titre = « Dérives sectaires » dans l'Eglise catholique
| auteur = Xavier Ternisien
| date = 22 février 2001
| périodique = [[Le Monde]]
| lire en ligne = https://www.lemonde.fr/archives/article/2001/02/22/derives-sectaires-dans-l-eglise-catholique_4178148_1819218.html}}.</ref>.
Des familles se mobilisent et déposent un recours auprès de l'[[Officialité]] (tribunal ecclésiastique) du diocèse de Lyon qui juge le 23 septembre 1987 leur plainte recevable et conclut que si la preuve des violences manque, il existe une {{Citation|forte présomption}} et que {{citation|l’intradépendance des filles à l’égard de Mère Myriam est certaine et dûment établie. Son autorité sur ses filles est suffisamment contraignante pour être considérée comme abusive et préjudiciable à leur liberté spirituelle}} L'agrément accordé ''ad experimentum'' par Mgr [[Armand-François Le Bourgeois]] est retiré<ref name="LM1987" />{{,}}<ref name="UPI"/>{{,}}<ref name="Enquêtesurdesdérives">{{Lien web |titre=Enquête sur des dérives sectaires au sein de l’Église catholique |url=http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_56bf04537f2c0.pdf |site=Le Monde |date=20 janvier 2001 |consulté le=10 aout 2021}}.</ref>.
En réaction à ce jugement, Tünde Szentes s'estime persécutée par l'Église qui, selon elle, lui reproche d'être {{citation|une sale juive, une immigrée et une socialiste}}<ref name="LM1987" />{{,}}<ref name="UPI"/>.
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