« Histoire de l'électricité » : différence entre les versions

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Au passage du {{sp-|XIX|au|XX}} les correspondances de l'électricité avec la [[lumière]] sont abordées. La notion du minimum de charge pour la valeur électrique est abordée, sans que l'on sache l'expliquer{{sfn|Dictionnaire des Sciences électron|p=313|ps={{citation|On ne sait pas très bien aujourd'hui pourquoi la charge de l'électron a la valeur qu'elle se trouve avoir}}.}} (l'insécabilité vue philosophiquement dans l'Antiquité<ref name="Philonides">[[Philonidès de Laodicée]]</ref>). Dans le même cadre de la [[recherche scientifique]], la valeur lumineuse minimum de la lumière est établie.
La lumière est insensible aux forces électromagnétiques générée par des électrons, alors que sa vitesse de propagation dans le vide est identique (selon sa [[Polarisation (optique)|polarisation]]).
 
On théorise mathématiquement en fonction du besoin applicatif avec les valeurs constantes et des fonctions (complexes) trouvées selon les limites applicatives reconnues; Celles-ci vont, sans [[Paradigme|changer la nature de ce qui est appelé]] l'électricité, de l’extrêmement petit à son contraire qui est l'immensité du [[réalité|réel]]{{Note|groupe=note|nom=n25}}.
 
La nature de l'électricité, selon la discussion établie avant la première moitié du {{s-|XX}}, est totalement posée pour une
« charge électrique négative » grâce à [[Alessandro Volta]].
Cependant, elle s'avère plus floue à nouveau en théorie{{Note|groupe=note|nom=n30}} au cours du {{s-|XX}} pour la « charge électrique positive ».
Mais à partir de la seconde moitié du {{s-|XX}}}} on l'emploie selon son caratère ondulatoire ou bien particulaire, c'est un « choix imposé » par l’usage recherché.{{sfn|Dictionnaire des Sciences diffusion|p=274}}.
 
Dès le début du {{s-|XX}}, lorsqu'il s'agit de traitement de signaux, l'électricité devient l'électronique ayant la même nature fondamentale qu'elle; Et historiquement ce qu'on qualifie d'électronique et ce qu'on qualifie d'électrique se dissocie au cours du {{s-|XX}}. Puis pour de nombreux domaines l'histoire de l'électronique et celle de l'électricité se rejoignent à partir du troisième tiers du {{s-|XX}} : pour les données numérisées informatisées, pour les moyens de transport, jusqu'à la sphère domestique. On ne dissocie pas leur histoire au {{s-|XXI}}.
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Au {{S-|XIX}} [[Charles Darwin]] étudie la conscience animale en incluant celle du groupe des hommes , cette mise en théorie de l'évolution permet que l'électricité passe du statut d'« objet de curiosité » à celui de « chose issue de la science utile » dont on prend [[Husserl|globalement conscience et connaissance]]. Cette détermination par la « science naturelle » de la conscience nécessaire à pouvoir dater les faits passés dans toute société est révolutionnaire. Elle est absente jusqu'au tournant du siècle de la science « exacte »{{Note|groupe=note|nom=n33|texte=,|libellé=sciences: {{citation|Science exacte (souvent au plur.). Science qui repose sur le calcul. Ceux des citoyens dont les études antérieures auroient été dirigées vers la géométrie, ou vers les autres sciences exactes (Monge,Géom. descr.,1799, {{p.|3}}).Les caractéristiques et l'état de l'édition spécialisée dans les principales branches des sciences exactes et des sciences humaines (Civilis. écr.,1939, {{p.|14-13}})... Sciences expérimentales... Sciences positives.<!--les qualificatifs dur et mou ne sont pas répertoriés-->}}, consulté le 19/09/20|url=http://www.cnrtl.fr/definition/sciences|détails=[[CNRTL]].}} physique, chimie et mathématique.
 
[[File:Mathieu église Notre-Dame-de-l'Assomption 06.jpg|thumb|Église Notre-Dame-de-l'Assomption située à [[Mathieu (Calvados)]], vitrail de 1889.<br>
[[File:Mathieu église Notre-Dame-de-l'Assomption 06.jpg|thumb|Église Notre-Dame-de-l'Assomption située à [[Mathieu (Calvados)]], vitrail de 1889.<br>{{Référence nécessaire|La notion de transparence à travers la matière pleine solide a donné une valeur marchande très élevée du temps des Pharaons à l'[[ambre]], solide transparent dans lequel on voyait des animaux, puis au [[diamant]], qui s'avérait si résistant (entre autres face au [[mica]])|date=janvier 2022}}. <br>Du temps de {{souverain2|Louis XIV}}, le reflet par les miroirs de la galerie des glaces a été plus qu'un sujet d'architecture{{efn|Dès cette époque, on commence à utiliser la « glace sans tain »{{ref|{{CNRTL|tain}}.}}}}.<br>Au {{s-|XIX}}, cette « contradiction apparente » du [[Vide (physique)|plein et du vide]]{{sfn|Dictionnaire des Sciences diffusion|p=274}} a été étudiée scientifiquement avec « [[Dualité onde-corpuscule|qu'est-ce que la lumière?]] »{{Note|groupe=L2|nom=L2p538}} dans le contexte de sociétés où la foi est « retrouvée » face au [[scientisme]] laïc{{efn|{{Pas clair|Ainsi des apparitions de la [[Notre-Dame de Lourdes|Vierge à Lourdes]] en 1858 ; [[scientisme]] : « la science a le monopole de la science véritable » ; connexité : [[Auguste Comte]] 1798-1857 corrélats : [[foi]], [[progrès]], [[science]]|date=janvier 2022}} ''in'' {{ouvrage|titre=La pratique de la PHILOSOPHIE|sous-titre= de A à Z|auteur1=Clément|auteur2=Demonque|auteur3=Hansen-Løve|auteur4=Kahn|édition=Hatier|année=2002|isbn=2-218-73072-3|passage=407}}}}. À cette époque, en Europe et aux États-Unis est particulièrement développé le [[vitrail]]{{efn|{{lel|id=coll.vitrailXIXe1986|auteur=collectif|titre=Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 93, numéro 4, 1986. Le vitrail au {{s-|XIX}}.|date=1986|lieu=Bretagne et Pays de l'Ouest|url=https://www.persee.fr/issue/abpo_0399-0826_1986_num_93_4|texte=Persée}}}}. On représente non plus forcément une scène biblique ou une cité, mais à nouveau, comme dans la tradition médiévale, un portrait d'un notable, entrepreneur{{etc.}}. On trouve même comme motif des vitraux dans certaines mairies les activités industrielles modernes marquant la ville, en général une [[ville nouvelle]].]]
Du temps de {{souverain2|Louis XIV}}, le reflet par les miroirs de la galerie des glaces a été plus qu'un sujet d'architecture
Avant la réforme de la science chimique et physique historiquement, la conception du « plein » et du « vide » posait un questionnement au {{S-|XVII}} avec par exemple la formulation de l'atmosphère terrestre en épaisseur, forme et consistance. (L'invention du corps physique « gaz » est débutée par un [[François-Mercure Van Helmont|médecin]] vers 1670 qui amorce la substitution de la chimie{{Note|groupe=L1c|nom=L1cp210}} à la place de l'[[Philosophie naturelle|alchimie]]).
{{efn|Dès cette époque, on commence à utiliser la « glace sans tain »{{ref|{{CNRTL|tain}}.}}}}.<br>
Au {{s-|XIX}}, cette « contradiction apparente » du [[Vide (physique)|plein et du vide]]
{{sfn|Dictionnaire des Sciences diffusion|p=274}} a été étudiée scientifiquement avec
« [[Dualité onde-corpuscule|qu'est-ce que la lumière?]] »{{Note|groupe=L2|nom=L2p538}}
dans le contexte de sociétés à « religiosité{{ref|Disposition religieuse, besoin religieux. {{CNRTL|religiosité}}.}} » face au [[scientisme]]
(laïc){{efn| ''in'' {{ouvrage|titre=La pratique de la PHILOSOPHIE|sous-titre= de A à Z|auteur1=Clément|auteur2=Demonque|auteur3=Hansen-Løve|auteur4=Kahn|édition=Hatier|année=2002|isbn=2-218-73072-3|passage=407}}}}.
À cette époque, en Europe et aux États-Unis est particulièrement développé le [[vitrail]]
{{efn|{{lel|id=coll.vitrailXIXe1986|auteur=collectif|titre=Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 93, numéro 4, 1986. Le vitrail au {{s-|XIX}}.|date=1986|lieu=Bretagne et Pays de l'Ouest|url=https://www.persee.fr/issue/abpo_0399-0826_1986_num_93_4|texte=Persée}}}}.
On représente non plus forcément une scène biblique ou une cité, mais à nouveau, comme dans la tradition médiévale,
un portrait d'un notable, entrepreneur{{etc.}}. On trouve même comme motif des vitraux dans certaines mairies les activités industrielles modernes
marquant la ville, en général une [[ville nouvelle]].]]
Avant la réforme de la science chimique et physique historiquement, la conception du « plein » et du « vide »
Avant la réforme de la science chimique et physique historiquement, la conception du « plein » et du « vide » posait un questionnement au {{S-|XVII}} avec par exemple la formulation de l'atmosphère terrestre en épaisseur, forme et consistance. (L'invention du corps physique « gaz » est débutée par un [[François-Mercure Van Helmont|médecin]] vers 1670 qui amorce la substitution de la chimie{{Note|groupe=L1c|nom=L1cp210}} à la place de l'[[Philosophie naturelle|alchimie]]).
Au {{S-|XIX}} on étudie physiquement les deux éléments métaphysiques{{Note|nom=u6|url=http://homepages.ulb.ac.be/~pmarage/vide_court.html|libellé=L’histoire du vide|détails= Pierre Marage, ''Physique des Particules élémentaires Université Libre de Bruxelles'' (site Ulb, consulté le 19-09-2017).}} du « [[Vide (physique)|rien]] » et du « quelque chose » qui furent définis préalablement à la démarche{{Note|groupe=extrait|nom=L1p112-113-114}} de Newton du « binôme » élémentaire des corps, « deux corps s'attirent » ; ils sont résolus à l'aide de la théorie des [[Ensemble vide|ensembles]] mathématiques qui produit alors une image correcte de la réalité.
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L'époque du {{s-|XIX}} est encore celle de la [[houille]] en usage industriel intense dans la métallurgie ; ce terme est un mot imagé pour désigner toute forme d'énergie, la distillation du charbon ayant donné au début du siècle le [[Histoire du gaz manufacturé|gaz manufacturé]]. L'énergie est « devenue reine » dans les sociétés développées car elle est nécessaire à leur fonctionnement de « producteurs d'objets » ; l'usage du [[histoire du pétrole|pétrole]] démarre au milieu de ce siècle.
 
Mais naît aussi la [[houille blanche]], pour l'électricité (le flux est considéré par analogie avec le courant puissant de l'eau et de ses chutes canalisées). Au tournant du {{sp-|XIX|au|XX}}, sa [[Histoire de la production hydroélectrique|production]] et son usage sont effectifs en Suisse et en Autriche puis en France, par le turbinage électrique.
C'est la continuation du modèle des moulins mécaniques à vent et à eau très {{pas clair|implantés dans l'industrialisation|date=janvier 2022}} qui est naissante
au Moyen Âge, {{Gref|G=B1|a=suivie dans les siècles suivants entre autres dans la fabrication [[Production en série|« en série »]] des navires assurant les échanges commerciaux entre pays et continents{{Note|groupe=R|nom=R9}}, associée à l'activité des [[arsenal|arsenaux navals]] militaires|c=http://www.musee-marine.fr/sites/default/files la_construction_navale_en_bois_primaire_site.pdf Colbert espionne pour méthode dans les arsenaux, construction empirique jusqu'au {{s-|XVII}}, puis organisée|FG=B1}}. Tout aussi technique à ces époques fut l'activité du sciage de pierre et de bois pour la construction de bâtiments.
 
L'utilité économique ([[brevet]]) des phénomènes que créent le « courant électrique », de concert avec le « champ électrique », le « champ magnétique » et les « ondes », est une motivation de la recherche des lois qui modélisent. Dans cette démarche de [[progrès]] le hasard a sa part. C'est une démarche autant pragmatique que scientifique, (par exemple l'électrotechnique{{Note|nom=u7|url=http://www.amperemusee.fr/|libellé=Musée de l'électricité|détails= Maison d'Ampère, Poleymieux-au-Mont-d'Or (consulté le 17-08-2017).}} des machines à noyaux plongeurs reprenant le « Système bielle-manivelle » des machines à vapeur existe en même temps que celle des machines rotatives).
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Le déterminisme de la physique classique{{Sfn|LarousseL1|1979|p=477}} se met en place pour la pratique avec l'invention des premiers appareils de mesure du « courant électrique ». [[André-Marie Ampère]] définit la première unité de mesure du courant électrique, l'[[Courant électrique|intensité d'un courant électrique]], aboutissant au premier [[ampèremètre]] en 1821, il crée et définit les termes distinctifs « électrostatique » et « électrodynamique », il invente le terme de « tension électrique{{Note|groupe=La|nom=cnrtl12}} »{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp131-142}}.
 
[[File:La Tour St. Jacques La Boucherie à Paris ca. 1867.jpg|thumb|La tour St Jacques est le signal historique de rassemblement pour pèlerinage qui, en 1850, « va être doté d'un [[phare]] électrique éclairant le quartier »{{Référence nécessaire|date=janvier 2022}}.]]
La curiosité sur les phénomènes dans leur ensemble se poursuit, elle amène à quantifier pour former les caractéristiques : ainsi la vitesse de propagation de l'électricité est l'objet de recherches analytiques{{Note|groupe=L20|nom=L20p156}} essentiellement en Allemagne.
 
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La banlieue industrielle {{incise|qui se différencie des faubourgs artisanaux historiques}} est une zone qui se définit entre autres par le fait de l'usine utilisant de l'énergie et par ailleurs fabricant son électricité pour la livraison à soi-même. Cet établissement industriel agglomère autour d'elle l'habitat de ses ouvriers, géré par elle ou installée « par la force des choses » sans plan d'urbanisme en « mitage » de la campagne{{Sfn|Merlin|2009|p=21: La ville industrielle}}.
 
La lumière qui « transporte les couleurs » et peut être fabriquée par un corps « [[corps noir|chauffé à à blanc]] » est théorisée en 1900 par [[Max Planck]], qui a « le trait de génie »{{sfn|Desit-Ricard|2009|p=153 « atomes, quanta, mécanique quantique »|ps=En 1895, [[Wilhelm Wien]] définit l'enceinte qui constitue le corps noir utilisable.}} de définir un coefficient qui exprime le saut d'énergie nécessaire (la discontinuité énergétique) pour passer d'une [[photon|couleur]] à une autre {{Pas clair|pour l'[[température de couleur|émission]]|date=janvier 2022}}
{{sfn|Serres et Farouki|1997|p=218 « La révolution quantique »}}. Au moment où on détermine qu'électricité et lumière sont liées parce que le [[électron|plus petit élément porteur d'électricité]] va à la « [[vitesse de la lumière]] »{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap56,57}} s'ajoute à la fin du siècle l'étude de la radioactivité dans ce qui poursuit la mise en théorie de l'électricité selon la [[dualité onde-corpuscule]].
 
=== Conduction électrique ===
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Le {{s-|XX}} est une période où la modélisation de Newton et sa trilogie « gravité-électricité-magnétisme » laissent la place à la spécialisation théorique {{Focus|libelle=global|Histoire de la mécanique quantique}}. Celle-ci est obtenue par un outillage mathématique, qui permet par le calcul de procéder à la ''prédiction du résultat''{{Sfn|Klein|2008|p=86-87}} par des [[loi scientifique|lois scientifiques]] dès le début du {{s-|XX}} plutôt qu'à la ''constatation'' des siècles précédents.En ce qui concerne le monde « vrai » et la perception humaine de celui-ci{{Note|groupe=note|nom=n11}}, cette démarche depuis la mise en place des [[équations de Maxwell]] aboutit à la [[théorie de la relativité]]. Celle-ci restreint le modèle newtonien à s'appliquer aux objets relatifs à un espace-temps « humain »{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap66,68}}. Elle aboutira incidemment à l'[[Énergie nucléaire|électricité nucléaire]] par la [[Fission nucléaire|fission atomique]] et sa libération de [[Transfert thermique|chaleur]] utilisée, en fait selon les procédés étudiés depuis le {{s-|XIX}}{{Sfn|Klein|2008|p=99}}.
 
En 1918, endans le domaine de la mathématique {{Incompréhensible|pure, une démonstration est faite que la ''physique'' avec ses lois règles et formes sont indépendantes de lal'époque situation danson lel'a tempsfaite, "historique"(aussi dbien pendant l'opérationAntiquité qu'au {{s-|XX}}), pour montrer un phénomène|date=janvier 2022}}
{{Sfn|Klein|2008|p=96, [[Emmy Noether#Contexte historique|Emmy Noether]]}}.
 
La mathématique devient « [[Mathématiques appliquées|appliquée]] ». Elle s'emploie par sa formulation à décrire les phénomènes expérimentaux qui passent du « déterminisme absolu de la physique classique» au « [[Principe d'incertitude|déterminisme statistique]] de la mécanique ondulatoire » (probabilité qu'a un électron d'être à tel instant à tel lieu). La mathématique matricielle utilise le « tenseur » et le « torseur » selon son application. Soit à l'« onde » venue de l'antiquité, soit au « [[Constante de Planck|grain d'énergie]] » moderne du [[mécanisation|machinisme-mécanisation]]{{Note|groupe=L39|nom=L39}} ; c'est-à-dire soit pour la détermination du « champ » [[Vide (physique)|vide]]{{Sfn|Klein|2008|p=95}} ou bien de la « matière » relativement pleine de particules (égale énergie) mais grandement vide. On pense « [[Électron-volt]] ». Mais l'image encore véhiculée dans les esprits de ce qu'est la matière au cours du siècle n'est pas différente de celle des particules satellites{{Note|groupe=extrait|nom=L1chap3p199,196}} sur des orbites{{Note|groupe=extrait|nom=L2p312}} dans l'atome de [[Niels Bohr]] ; elle n'est pas l'image plus correcte selon la théorie d'un « nuage volumique » dont les électrons-gouttelettes appareillées sont en même temps « [[Orbitale atomique|là et plus là]] »{{Note|groupe=V|nom=V4}}.
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}}. Et l'électricité est impérative pour effectuer les calculs.
 
En 1955-1957, le fabricant [[IBM]] passe de la technologie des tubes à celle des [[transistor]]s <!--pour la [[Calculatrice 608]]-->{{Référence nécessaire|date=janvier 2022}}.
Que cela soit pour les machines « [[Système temps réel|temps réel]] » traitant des choses physiques (objets ou signaux) ou bien pour les machines [[Informatique de gestion|« de gestion »]] traitant des organisations (la société de toute structure) et de son « [[Planification|plan]] » décidé.
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{{Note|groupe=note|nom=n8
|texte=L'électricité a fait peu de débats dans les religions, elle fait partie des constatations.<br />
Dans les racines antiques de la [[religion grecque antique]] non dogmatique, de l'[[védisme|hindouisme]] comme dans celles des [[Taranis (mythologie)|religions celtes]], la [[foudre]] est présente{{Référence nécessaire|date=janvier 2022}}. Dans la nouvelle religion occidentale, le [[christianisme]], on attribue encore la symbolique « éclair-lumière-feu du ciel » à la boule lumineuse de [[Érasme de Formia#Patron des marins|St-Elme]] qui est tenue comme une opportunité d'une intercession de St Elme avec Dieu obtenue par une prière. {{Gref|G=1|a=Dans l'[[Islam]], la foudre est présage d'infortune|c=[http://reve-islam.com/lettre-f/rever-de-foudre-en-islam accès1 17/09/2016], [https://www.youtube.com/watch?v=BWmLsax7Sb4 L'éclair, le tonnerre et la foudre dans le Coran], 5 avril 2015. Récitation des versets 12 et 13 de la sourate 13 (AR-RAAD). |FG=1}}. Dans l'office [[catholique]], par la lumière qu'il est possible d'obtenir avec l'énergie électrique de la période moderne, on l'a utilisée pour la lumière symbolique de l'eucharistie . On substitue la veilleuse dans le tabernacle par ce moyen plus pratique.<br />{{Passage à recycler|Côté pour, affirmé dans la période moderne-contemporaine : [[Scientologie]]... Côté contre : [[Amish]] dans l'ensemble des moyens modernes, [[Chabbat|Juifs et Chabbat]] dans des circonstances théologiques affirmées sur le temps qui passe qui aboutissent la reprogrammation des systèmes électroniques...|date=janvier 2022}} <!--[[Fait religieux à l'hôpital]]-->}}
}}
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{{Note|groupe=note|nom=n9
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|prétexte=p.12 : La science des nombres et de l'espace : {{citation|(L'utilité a conduit aux notions de nombre avec la numération pour distinguer dans la communication orale concernant les objets ce qu'est leur chiffrage d'avec la désignation d'entité par leur nature, soit quantité-qualité(s)) p.13 : Dans l'Antiquité, les Grecs désignaient sous le nom de mathématique tout l'ensemble des connaissances et, pendant très longtemps, ce mot est employé au singulier. On peut donc dire qu'à l'origine, elle était ''la science'' par excellence. Puis, peu à peu, son sens s'est restreint. Pour [[Descartes]], on ne doit {{citation|rapporter aux mathématiques que toutes choses dans lesquelles on examinera l{{'}}''ordre'' ou la ''mesure''.}} Pour [[d'Alembert]], c'est {{citation en fin de citation|la science qui a pour objet les propriétés de la grandeur.}}}}<br />
p.14 : {{citation|L'activité [''moderne''] oblige à travailler sur des corps qui se déplacent ou se modifient ; aussi pour avoir des notions précises sur le ''mouvement'' et le ''changement'' est inventé le ''calcul infinitésimal''.}}<br />
p.126 : Trois grands mathématiciens :
p.126 : Trois grands mathématiciens : {{citation|{{Passage incompréhensible|p.130 : (Newton et les débuts du calcul infinitésimal par des [[différentielle]]s)|date=janvier 2022}} p.134-135-136 : [[Karl Friedrich Gauss]][...] en 1799 apporta la première démonstration sans faille de ce qui est connu sous le nom de « théorème fondamental de l'algèbre », à savoir que toute équation algébrique a une solution[...] Mais il ne s'intéressait pas qu'aux mathématiques pures, et nombreuses sont aussi les applications pratiques qu'il a su tirer des théories abstraites[...] En collaboration étroite avec le physicien [[Wilhelm Eduard Weber|Wilhelm Weber]], il accomplit des travaux en électricité et en magnétisme, domaine dans lequel son influence a été particulièrement puissante. C'est ainsi qu'il étudia le [[Magnétisme animal|magnétisme]] [[Champ magnétique terrestre|de la Terre]] et d'après ses observations et ses calculs, ''prédit'' l'endroit où devait se trouver le pôle sud. Par la suite les navigateurs devaient constater que ses prévisions étaient exactes. Il inventa également une sorte de ''[[Magnétomètre]]''.}}
{{citation|
p.130 : [[Newton]]
p.134-135-136 :
[[Karl Friedrich Gauss]][...]
en 1799 apporta la première démonstration sans faille de ce qui est connu sous le nom de « théorème fondamental de l'algèbre »,
à savoir que toute équation algébrique a une solution[...]
Mais il ne s'intéressait pas qu'aux mathématiques pures, et nombreuses sont aussi les applications pratiques qu'il a su tirer des théories abstraites
[...] En collaboration étroite avec le physicien [[Wilhelm Eduard Weber|Wilhelm Weber]],
il accomplit des travaux en électricité et en magnétisme, domaine dans lequel son influence a été particulièrement puissante.
C'est ainsi qu'il étudia le [[Magnétisme animal|magnétisme]] [[Champ magnétique terrestre|de la Terre]] et
d'après ses observations et ses calculs, ''prédit'' l'endroit où devait se trouver le pôle sud.
Par la suite les navigateurs devaient constater que ses prévisions étaient exactes.
Il inventa également une sorte de ''[[Magnétomètre]]''.
}}
|id=Adler1961|libellé=Adler 1961.}}
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