« Georges Perec » : différence entre les versions
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[[Fichier:Plaque Georges Perec 13 rue Linné Paris.jpg|vignette|Plaque 13 [[Rue Linné (Paris)|rue Linné]] ([[Paris]]), où il vécut.]]
[[Fichier:Père-Lachaise - Division 87 - Savary 01.jpg|vignette|Case {{numéro|382}} du [[columbarium]] du [[cimetière du Père-Lachaise]].]]
En [[1955]], il s'essaye à un premier roman qu'il intitule ''Les Errants'', dont le manuscrit est à ce jour perdu. En [[1957]], il part pour un long séjour en [[Yougoslavie]], décor d'un nouveau projet de roman, qu'il intitule ''[[L'Attentat de Sarajevo]]''<ref>Préface de Claude Burgelin à ''L'attentat de Sarajevo'', Paris, Le Seuil, collection La Librairie du {{s-|XXI}}, 2016, {{pages|9-27}}.</ref>. Vers 1960-1961, il rédige un troisième projet de roman, qui
En 1965, il remporte le [[Prix Renaudot]] pour son premier roman ''[[Les Choses]]'', puis, en {{date-|juin 1967}}, par l'intermédiaire de son ami, le peintre [[Pierre Getzler]], beau-frère de [[Jacques Roubaud]], il rencontre ce dernier et est coopté pour entrer à l'[[Oulipo]]<ref>[http://www.fatrazie.com/oulipo.htm Présentation de Oulipo par Marcel Bénabou et Jacques Roubaud] consulté le 24 mars 2010.</ref>. Cette cooptation marque un point important dans son œuvre littéraire puisque désormais ses textes suivront en général des contraintes de type oulipien. Perec est, avec [[Raymond Queneau]] et [[Italo Calvino]], l'un des membres de l'Ouvroir dont les ouvrages ont eu le plus de succès.
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