« Histoire de la Jamaïque » : différence entre les versions

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{{Article détaillé|Réfugiés français de Saint-Domingue en Jamaïque}}
 
En une quinzaine d'années, de 1790 à 1804, quatre vagues d'immigration française, d'importance inégale, tant sur le plan du nombre de personnes concernées que de la composition socio-politique, vont prendre la direction de la Jamaïque, avec deux accélérations en 1792valeur[26 et en 1798<ref name="WrightDebien" />.
 
Au cours de l'été 1798 un flot d'environ deux milliers de réfugiés arrive dans le sillage des troupes anglaises qui ont quitté leurs forts de Saint-Domingue et fait doubler la population de réfugiés français dans l'île<ref name="Cauna 1994"/>. La plupart s'étaient engagé dans les corps créés ou mobilisés pour accompagner les Anglais : la "Légion britannique" de Montalembert<ref name="Cauna 1994"/>, où ont servi le comte Duquesne, le lieutenant Desgouttes, les frères Barbeyrac, le vicomte Dulau d'Allemans, et ses hussards de cavalerie (lieutenant de Laulanié, cornette Vassal, baron de Mélet) ou encore la brigade irlandaise du colonel Walsh<ref name="Cauna 1994"/>, de la famille des Walsh-Serrant de Saint-Domingue. Parmi les fonctionnaires, Louis-Ambroise Grandjean d'Aubancourt, grand ami de Lady Nugent<ref name="Cauna 1994"/> et Pierre Joseph Laborie, qui publie à Londres en anglais en 1798 son célèbre ouvrage "The Coffee Planter" et meurt à Kingston en 1800<ref name="Cauna 1994" />.
 
== Les Français chassés dès 1803 ==
{{Article détaillé|Histoire de la caféiculture}}