« Éric Léandri » : différence entre les versions

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Ajout sur le mandat d'arrêt européen tel que rapporté par Mediapart.
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Ajout paragraphe sur le comportement de Eric Léandri tel que rapporté par NextInpact, avec exemple.
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En juillet 2019, Mediapart publie une enquête <ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Brice Le |nom=Borgne |titre=Qwant: les parts d’ombre d’un moteur de recherche stratégique |url=https://www.mediapart.fr/journal/economie/270819/qwant-les-parts-d-ombre-d-un-moteur-de-recherche-strategique |site=Mediapart |consulté le=2022-08-21}}</ref> révélant que Eric Léandri a fait l'objet d'un mandat d'arrêt européen de 2011 à 2015, après une condamnation par un tribunal belge pour "recel d'effets de commerce volés", visant des faits commis entre 2005 et 2006. Le jugement explicite que Eric Léandri a fait partie de ce que la justice belge qualifie d'"organisation criminelle avec des ramificiations internationales qui utilisait de nombreux intermédiaires".
 
Depuis l’été 2019, sa direction est fragilisée à la suite de plusieurs enquêtes de presse<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Qwant va changer de tête et s'installer dans l'administration|url=https://www.liberation.fr/france/2020/01/09/qwant-va-changer-de-tete-et-s-installer-dans-l-administration_1772049|site=Libération.fr|date=2020-01-09|consulté le=2020-01-09}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr-FR|nom1=ChannelNews|titre=Jean-Claude Ghinozzi nommé PDG de Qwant, Eric Léandri abandonne toute fonction opérationnelle|url=https://www.channelnews.fr/remaniement-a-la-tete-de-qwant-eric-leandri-abandonne-toute-fonction-operationnelle-93971|site=ChannelNews|date=2020-01-10|consulté le=2020-01-15}}</ref>. Le {{date-|15 janvier 2020}}, le directeur général adjoint de la société, Jean-Claude Ghinozzi, le remplace à la tête de la société<ref>[https://www.liberation.fr/france/2020/01/09/la-bascule-de-l-administration-est-un-enorme-coup-de-pouce_1772110 Qwant : «La bascule de l’administration est un énorme coup de pouce»], Liberation.fr, Entretien réalisé par Elisa Braün, 9 janvier 2020</ref>. EricÉric Léandri n’a plus qu’un rôle consultatif en tant que ''président du conseil scientifique et stratégique de Qwant''<ref>{{Lien web|langue=fr|titre=Qwant prend ses distances avec son fondateur pour retrouver la sérénité|url=https://www.nouvelobs.com/economie/20200420.OBS27741/qwant-prend-ses-distances-avec-son-fondateur-pour-retrouver-la-serenite.html|site=L'Obs|consulté le=2020-04-20}}</ref>.
 
Le 23 septembre 2019, NextInpact publie une enquête <ref>{{Lien web |langue=fr |nom=nextinpact.com |titre=[Màj] Qwant : en finir avec l'omerta |url=https://www.nextinpact.com/article/29662/108195-qwant-en-finir-avec-omerta |site=www.nextinpact.com |date=2019-09-23 |consulté le=2022-08-21}}</ref> dans laquelle il est rapporté que toutes les personnes avec qui le journaliste a eu un échange, tous ont rapportés que Éric Léandri ne "gueulait" pas, mais "hurlait". NextInpact publie le témoignage suivant : "« ''j'ai pas de mot, s'il y avait plus fort qu'ubuesque, c'est du foutage de gueule, je suis tombé de ma chaise. Je ne dis pas qu'il gueule : il hurle, faut le vivre pour le comprendre, ça fait peur. Quand il était là, il faisait au moins une colère par jour : des hurlements, une impossibilité donnée à son interlocuteur de dire quoi que ce soit, et d'une vulgarité impressionnante (pas grossier, mais "t'es vraiment trop con, tu fais de la merde, tu ne me sers à rien")'' » – sic.".
 
Éric Léandri est cité à comparaître le 13 octobre 2021 devant le [[tribunal correctionnel]] de Paris pour [[Violation de données|violation]] du secret des correspondances<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Marc |nom=Rees |titre=Eric Leandri, cofondateur de Qwant, cité à comparaitre pour violation du secret des correspondances |url=https://www.nextinpact.com/article/47630/eric-leandri-cofondateur-qwant-cite-a-comparaitre-pour-violation-secret-correspondances |site=www.nextinpact.com |date=2021-07-01 |consulté le=2021-07-02}}</ref>. Il est accusé par son ancien associé [[Jean-Manuel Rozan]] d'avoir « visité et contrôlé » sa boite mail en décembre 2019. Le tribunal judiciaire de Paris le condamne à 5000 euros d'amende et 1500 euros de dommages et intérêts. Il fait appel de la décision<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Marc |nom=Rees |titre=Éric Leandri condamné pour violation du secret des correspondances d’un associé de Qwant |url=https://www.nextinpact.com/article/69619/eric-leandri-condamne-pour-violation-secret-correspondances-dun-associe-qwant |site=www.nextinpact.com |date=2022-07-12 |consulté le=2022-07-13}}</ref>.
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