« Georges André » : différence entre les versions
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Acclamé sur tous les stades d'Europe pendant plus de vingt ans, de 1906 à 1927, ce grand sportif de la [[Belle Époque|Belle Epoque]] (1890 - 1914) et des [[Années folles|Années Folles]] (les années 1920) fut une idole des foules sur les stades, à l'égal du grand [[Jean Bouin]] disparu prématurément ou de [[Jules Ladoumègue]] dans l'entre-deux guerres.
Il devint ensuite journaliste sportif, à ''[[La Vie au grand air]]'' (jusqu'en 1920), au ''[[Le Miroir des sports|Miroir des sports]]'' (chef de la rubrique athlétisme de 1920 à {{date-|septembre 1939}}), à ''[[Excelsior (journal)|L'Excelsior]]'' et à ''[[L'Intransigeant]]'', publiant aussi régulièrement son almanach sportif ''L'As'' à la fin des années 1920, ainsi qu'un ouvrage, ''La Course à pied. Vitesse'' aux éd. Bornemann, en 1936.
Il fut aussi un [[lanceur d'alerte]] et un infatigable défenseur du sport, le passionné d'aviation et de [[vol à voile]] en particulier, la cheville ouvrière de l'Aviation populaire en France de 1936 à 1939, l'engagé politique du [[Front populaire (France)|Front populaire]] en 1936. Pour représenter la France à l'Assemblée Nationale, il avait fait cause commune avec [[Ambroise Croizat]], père de la [[Sécurité sociale|Sécurité Sociale]]. C'est aussi l'opposant à l'[[Allemagne Nazie|Allemagne nazie]] lors des J.O. de Berlin, contre la récupération politique des Jeux par [[Adolf Hitler|Hitler]]. Et enfin le quinqua engagé volontaire pour combattre l'[[Allemagne Nazie|Allemagne nazie]] en 1939, le grand manager de la jeunesse d'Afrique du Nord durant la guerre 39 - 45, et enfin en 1943, le combattant toujours volontaire et une fois de plus héroïque lors de la bataille de Tunisie contre les nazis. Il est tué lors de la reconquête de Tunis, le 4 mai 1943, à l'age de 53 ans.
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