« Ludwig Wittgenstein » : différence entre les versions
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==== Autour du ''Tractatus'' ====
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Wittgenstein reprend [[Kürnberger]] pour ouvrir son ouvrage, en lui empruntant une devise qui illustre le propos du [[philosophe]] quant à l’indicibilité des choses importantes{{note|texte=Notamment la dernière proposition<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Christiane Chauviré|titre=Lire le Tractatus logico-philosophicus de Wittgenstein|lieu=Paris|éditeur=Vrin|collection=Études et Commentaires|année=2009|pages totales=278|passage=235|isbn=978-2-7116-2229-0|lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=wvDjgSFESbMC&pg=PA235}}</ref> : {{citation|sur ce dont on ne peut parler, il faut garder le silence}}|groupe=n}} :{{citation bloc|et tout ce que l’on sait, que l’on n’a pas seulement entendu comme un bruissement ou un grondement, se laisse dire en trois mots.|Kürnberger|Devise du Tractatus logico-philosophicus<ref>{{harvsp|Wittgenstein|2001|p=29}}.</ref>.}}Le ''[[Tractatus logico-philosophicus]]'' est un texte court, bref, « cadencé », un des textes marquants de la philosophie contemporaine. Comme voulu par Wittgenstein, le ''Tractatus'' est aussi une œuvre d’art frappante par la concision incisive du langage, voire ''[[laconique]]'', mais dont le rythme, la « cadence » elle-même lui donnent un style [[Poésie|poétique]]<ref name="witt102">{{harvsp|Wittgenstein|2001|p=10}}.</ref> : {{Citation|''Incessu'', comme dit le poète, ''incessu patuit dea''. « À sa démarche on reconnut la déesse. »}} dit G. Granger dans le ''Préambule du traducteur''<ref name="witt102" />.
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