« Simonne Mathieu » : différence entre les versions
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=== Après-guerre ===
En 1948, elle travaille avec [[Jules Ladoumègue]] à la S.T.S. (Sport - Tourisme et Spectacles) [[Rue de la Chaussée-d'Antin|chaussée d'Antin]] à [[Paris]], une agence proposant notamment des billets pour des évènements sportifs<ref>{{Article |auteur=Alain Bernard|titre=Simone Mathieu et Ladoumègue vous invitent aux voyages…|périodique=[[Combat (journal)|Combat]] |date=26 novembre 1948 |page=5 |lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4749868q/f5}}.</ref>. En 1952, elle est nommée présidente de l'Amicale des
Elle est capitaine de l'équipe de France féminine de 1949 à 1960<ref>{{Article |titre=Simonne Mathieu, championne de l'ombre |auteur=Lucile Alard |périodique=[[L'Équipe]] |date=26 mai 2019 |page=15 |accès url=payant |lire en ligne=https://www.lequipe.fr/Tennis/Article/Simonne-mathieu-la-championne-de-l-ombre-dont-le-nouveau-court-de-roland-garros-porte-le-nom/1022685}}.</ref> puis sera présidente de la commission féminine à la [[Fédération française de tennis]]. [[Françoise Dürr]], qui a eu Simonne Mathieu comme capitaine en sélection française en 1967, témoigne : « C'était une femme extraordinaire. Ah, elle n'était pas commode ! Elle avait un fort tempérament, un caractère militaire »<ref name="Slate"/>.
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