La frontière entre {{refnec|sacrifice de soi (héb. מסירות נפש, ''messirout nefesh'') et suicide<ref>Probablement le ''Kiddoush Hashem'', qui ne correspond pas au suicide mais qui semble dépasser ses limites, consiste dans "l'acceptation de propre meurtre par un autre individu" : bien, dans la religion juive l'[[euthanasie]] est strictement interdite dans la déontologie médicale aussi, on peut donc ''"accepter vaguement la volonté des autres dans ce sens afin d'éviter de commettre les trois péchés les plus graves tels qu'ils sont considérés dans la loi religieuse juive, la [[Halakhah]]"'' ; évidemment, de nos jours, cette situation est presque "inexistante", comme cela s'est produit à l'[[Talmud|époque thamudique]]</ref> est assez difficile à établir.}} Le cas type du sacrifice est celui de Hananiah, Mishaël et Azariah (Dan. 3, où ils portent les noms de Chadrac, Mêchac et Abêd-Nego).<br />Refusant d'honorer une statue en or érigée par le roi [[Nabuchodonosor II]], ils sont ligotés et précipités dans une fournaise ardente, de laquelle ils ressortent miraculeusement indemnes (ce récit a sans nul doute influencé le ''[[midrash]]'' d'Abraham décrit plus haut) : Hananiah, Mishaël et Azariah choisirent la mort plutôt que de pratiquer l'[[idolâtrie]].
==== Les cas où le suicide est un ''kiddoush Hashem''====
