« Rue Fustel-de-Coulanges (Massy) » : différence entre les versions
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La rue Fustel-de-Coulanges relie la [[rue de la Division-Leclerc (Massy)|rue de la Division-Leclerc]] à la rue de Longjumeau. Le « chemin du trou de Toulon », voie piétonnière, la relie à l'avenue de l'Europe. C’est une voie de circulation à double sens de circulation bordée de trottoirs.
== Dénomination ==
Le nom rend hommage à l'historien [[Numa Denys Fustel de Coulanges]] (1830-1889), directeur de l'[[École normale supérieure (Paris)|école normale supérieure
== Historique ==
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La rue très ancienne figure sur les premiers plans représentant Massy.
Elle était dénommée « rue du Cheval Blanc» en raison d’une auberge à l’angle de la grande rue (actuelle [[rue
Elle fut renommée rue Fustel de Coulanges en 1913
Elle longeait, à l’angle de la grande rue, actuelle rue du 8 mai 1945, le [[châteaux de Massy|château d’en bas]] construit au {{s|XVIII}} appartenant à depuis 1920 à la [[famille de Vilmorin]]. Michel de Vilmorin le vend en 1966 à un promoteur qui y aménage la résidence Massy-Chevreuse<ref>{{Ouvrage|auteur1=Association Massy-Graviers|titre=De Villaine à Vlmorin|passage=34|lieu=Paris|éditeur=Le livre d'histoire|date=2015|pages totales=142|isbn=978 2 322 04204 3|passage=8-9}}</ref>. La rue longeait le parc de ce château qui s’étendait jusqu’à la voie de Briis englobant l’avenue de l’Europe et le parc de Briis. La partie du parc entre la rue Fustel de Coulanges, le chemin du trou de Toulon et l’avenue de l’Europe est vendue en 1960 à un promoteur qui y construit la résidence du parc de Massy.
Le terrain au-delà de cet ensemble immobilier était exploité jusqu’au cours des années 1950 par la tuilerie de Massy puis par une briqueterie pour y extraire la glaise.
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== Description ==
Les premières maisons du côté des numéros impairs du 1 au 11 sont anciennes, datant du {{s|XVIII}}, notamment le porche de la cour de l’ancienne auberge du cheval blanc, ou du {{s|XIX}} suivies par quelques bâtiments du début ou du milieu du {{s|XX}}.
Côté pair, la rue longe les ensembles immobiliers de Massy-Chevreuse et du parc de Massy datant des années 1960.
Le chemin du trou de Toulon est ainsi dénommé par la comparaison des conditions d’exploitation de la glaisière avec celles du [[bagne de Toulon]]<ref>{{Ouvrage|auteur1=Jean-Marie Jacquemin| auteur2=Emileinne Béjot-Montaufier|titre=Massy hier|passage=52|lieu=Massy|éditeur=Association massicoise technique pour l’action culturelle |date=1981|pages totales=104|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
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