« L'Écho du Sud » : différence entre les versions
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== Histoire ==
Le 13 avril 1929<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=L'Écho du Sud |url=https://data.bnf.fr/32762562/l_echo_du_sud/ |site=data.bnf.fr |consulté le=2022-12-02}}.</ref>, [[Louis Cambrézy]], industriel français<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Louis-Léon Cambrezy (1874-19..) |url=https://data.bnf.fr/16964539/louis-leon_cambrezy/ |site=data.bnf.fr |consulté le=2022-12-02}}</ref>, fonde le journal ''L'Écho du Sud : organe des intérêts généraux du Sud de Madagascar'', à [[Fianarantsoa]]<ref name=":0">{{Lien web |langue=FR |titre=L'Écho du Sud : organe des intérêts généraux du Sud de Madagascar |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1261361b |site=Gallica |date=1929-04-13 |consulté le=2022-12-02}}.</ref>. Il eut pour but de maintenir un journal en activité à la suite de la disparition un an plus tôt de ''La Voix du Sud'', un autre journal fondé à [[Fianarantsoa]] par Jules Thibier.▼
=== Fondation et période pré-indépendance ===
▲Le 13 avril 1929<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=L'Écho du Sud |url=https://data.bnf.fr/32762562/l_echo_du_sud/ |site=data.bnf.fr |consulté le=2022-12-02}}.</ref>, [[Louis Cambrézy]], industriel français<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Louis-Léon Cambrezy (1874-19..) |url=https://data.bnf.fr/16964539/louis-leon_cambrezy/ |site=data.bnf.fr |consulté le=2022-12-02}}</ref>, fonde le journal ''L'Écho du Sud : organe des intérêts généraux du Sud de Madagascar'', à [[Fianarantsoa]]<ref name=":0">{{Lien web |langue=FR |titre=L'Écho du Sud : organe des intérêts généraux du Sud de Madagascar |url=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1261361b |site=Gallica |date=1929-04-13 |consulté le=2022-12-02}}.</ref>. Il
Son [[siège social]] se situe avenue Clemenceau, à [[Fianarantsoa]], et il est imprimé par l'''Imprimerie du Betsileo''. Il est diffusé à un prix de 0,40 [[Franc français|franc]]<ref name=":0" />.
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Le journal paraît tous les samedis et traite des informations générales à [[Madagascar]]<ref name=":0" />.
C'est grâce à ce journal que [[Louis Cambrézy]]
Le journal est ouvertement en faveur du [[Colonialisme français|colonialisme]] et du maintien de la France en [[Afrique]], son fondateur ayant lui-même pris part à l'[[expédition de Madagascar]]. À partir de 1936, il prend parti pour les [[républicains espagnols]] victimes des [[Espagne franquiste|franquistes]]. Pendant la [[Seconde Guerre mondiale]], le journal prend position contre la [[Régime de Vichy|France de Vichy]]<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |prénom=Jean-François |nom=Bérel |titre=Francs-maçonneries lointaines |url=https://clio-cr.clionautes.org/francs-maconneries-lointaines.html |site=La Cliothèque |date=2021-06-28 |consulté le=2022-12-02}}</ref>, qui persécuta son fondateur [[Louis Cambrézy]]<ref>{{Lien web |auteur=www.entreprises-coloniales.fr |titre=Liste des Francs-Maçons de Madagascar stigmatisés par le régime de Vichy|url=https://www.entreprises-coloniales.fr/madagascar-et-djibouti/Francmacs-JOEF-Madagascar.pdf |date=10 novembre 2017}}</ref> pour son appartenance à la [[Franc-maçonnerie en France|franc-maçonnerie]]<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Le Bras, J. |titre=L’antimaçonnisme militant d’une partie de la presse Malgache (1905-1945). Chroniques d'histoire maçonnique, 87, 50-75. |url=https://www.cairn.info/revue-chroniques-d-histoire-maconnique-2021-1-page-50.htm |date=2021}}</ref>.
=== Après l'indépendance ===
Après l'indépendance de Madagascar, le journal continue de paraître.
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