« Joan Miró » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
→Sources d'inspiration : idem. Le fameux. C’est ds le fameux XXe 1959, « comme un jardinier », décidément ! / pour les curieux https://archive.org/details/joanmiroselected0000miro/page/247/ |
→Le maître libre : soupir. Idem. Curieux : -> https://archive.org/details/joanmiroselected0000miro/page/249 |
||
Ligne 327 :
La spontanéité du peintre s'accorde mal avec l'automatisme préconisé par le surréalisme. Ses tableaux, qu'ils aient été réalisés pendant les années 1920 — lors de sa période dite surréaliste — ou plus tard, relèvent de la spontanéité la plus absolue et la plus personnelle. C'est l'accomplissement du rêve sur la toile. Miró n'a que très brièvement effleuré le surréalisme, il n'en est pas un véritable représentant<ref group="G">{{opcit}}, {{p.}}120.</ref>.
{{Citation bloc|Je commence mes tableaux sous l'effet d'un choc que je ressens et qui me fait échapper à la réalité. La cause de ce choc peut être un petit fil qui se détache de la toile, une goutte d'eau qui tombe, cette empreinte que laisse mon doigt sur la surface de la table. De toute façon il me faut un point de départ, ne serait-ce qu'un grain de poussière ou un éclat de lumière. […] Je travaille comme un jardinier ou comme un vigneron […]<ref>Yvon Taillandier, entretien publié en 1959, dans ''{{s-|XX}}''
== Religion ==
| |||