« 7 (chiffre) » : différence entre les versions
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Au départ, divers hindous écrivaient 7 plus ou moins en une boucle comme une courbe qui ressemble à la majuscule J la tête en bas. La contribution principale des [[Arabe]]s occidentaux, dans les chiffres dits ghûbar<ref>Le mot ghobar ou ghubar, en arabe, signifie poussière et rappelle l'habitude qu'avaient les calculateurs d'effectuer leurs opérations sur des tables à poussière - planches de bois recouvertes de poussière fine, sur lesquelles on pouvait écrire les nombres et les effacer facilement (George Ifrah, ''Histoire universelle des chiffres'', éditions Seghers, Paris, 1981, {{p.|501}})</ref>, fut de créer la ligne plus longue diagonale plutôt que droite, bien qu'ils montrèrent certaines tendances à rendre le caractère plus rectiligne. Les [[Arabe]]s orientaux développèrent le caractère à partir d'une forme de 6, vers un caractère ressemblant au V majuscule. Les deux formes arabes modernes influencèrent la forme [[Europe|européenne]], un [[glyphe]] en double boucle constitué d'une ligne horizontale supérieure jointe à sa droite à une ligne descendant vers le coin inférieur gauche, une ligne qui est légèrement incurvée dans certaines variantes du caractère. Comme dans le cas du glyphe européen, les glyphes Khmer pour 7 se développèrent aussi pour ressembler à leur glyphe 1, bien que ce soit d'une manière différente.
L'écriture manuelle en Europe, Amérique latine et [[Nouvelle-Angleterre]] comporte un petit trait horizontal en travers du grand trait, parfois encore avec la ligne du sommet courbée (« {{Barré|7}} »). Les Khmers ajoutaient souvent une ligne horizontale en dessous du glyphe. Le trait au travers est utile pour clairement différencier le caractère du
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