« Michel-Marie Zanotti-Sorkine » : différence entre les versions

Il rejoint alors Paris où pendant 8 ans il mène une carrière artistique de [[Auteur-compositeur-interprète|chanteur-compositeur-interprète]], chantant [[Édith Piaf|Piaf]], [[Charles Trenet|Trenet]], [[Yves Montand|Montand]] et [[Jacques Brel|Brel]] dans les pianos-bars et les cabarets de la capitale<ref name=":2" />{{,}}<ref name=":8">{{Article|auteur1=Céline Hoyeau|titre=Michel-Marie Zanotti-Sorkine, une passion marseillaise (interview)|périodique=[[La Croix]]|date=04/01/2012|lire en ligne=https://www.la-croix.com/Religion/Actualite/Michel-Marie-Zanotti-Sorkine-une-passion-marseillaise-_NP_-2012-01-04-754099|consulté le=2023-3-29}}</ref>.

Il rencontre des personnalités de l’Église, comme les pères [[Joseph-Marie Perrin]] et [[Marie-Dominique Philippe]]<ref name=":9" /> qui lui servent de guides{{,}}<ref name=":0" />{{,}}<ref name=":3" />. Avec ce dernier, il écrit un livre en 2005, ''À l'âge de la lumière'', et compose et interprète en 2011 une chanson dans laquelle il lui rend hommage<ref name=":4">{{article|auteur=Céline Hoyeau|titre=Abus sexuels dans l’Église : les influences souterraines des frères Philippe|périodique=La Croix|date=2023-6-27|url=https://www.la-croix.com/Religion/Abus-sexuels-lEglise-ramifications-souterraines-freres-Philippe-2023-06-27-1201273253|consulté le=2023-6-27}}</ref>.

Dans son article du 27 juin 2023 consacré aux « influences souterraines » de [[Marie-Dominique Philippe|Marie-Dominique]] et [[Thomas Philippe]], prêtres dominicains [[Abus sexuels dans la communauté Saint-Jean|auteurs de nombreux abus sexuels]], la journaliste Céline Hoyeau classe Michel-Marie Zanotti-Sorkine parmi les « fondateurs de communautés ayant été proches des frères Philippe et/ou figures ayant revendiqué leur influence sans pour autant être auteurs d'abus sexuels ». Il fait partie, selon elle, {{Citation|des personnalités [qui] continuent de se réclamer de leur héritage, de les défendre ou de propager leurs enseignements.}} Elle rappelle que Michel-Marie Zanotti-Sorkine, lors de la première mise en cause en 2013 de Marie-Dominique Philippe pour des abus sexuels, a pris sa défense le 26 mai 2013, dans une [[homélie]], en ces termes : {{Citation|Notre intelligence ne peut que se tromper lorsqu’elle se met à juger un être à partir de faits dont elle ne connaît pas les intentions qui les ont motivés.}} La journaliste souligne que cette conception qui veut que {{Citation|tout acte est pur, pourvu que l’intention le soit également}} est précisément celle de Marie-Dominique Philippe, à la racine de ses abus<ref> {{ouvrage|auteur=Commission interdisciplinaire des Frères de Saint-Jean|titre=Comprendre et guérir|sous-titre=Origines et analyses des abus dans la famille Saint-Jean|date=26 juin 2023|passage=619-622, 636, 643-644|url=https://freres-saint-jean.org/wp-content/uploads/sites/2/2023/06/Comprendre_et_Guerir_Juin_2023.pdf|consulté le=29/11/2023|id=CSJ2023}}</ref>. Elle évoque également la célébration le 25 mars 2021 d'une messe lors de l'exhumation du corps de Thomas Philippe, au cours de laquelle Michel-Marie Zanotti-Sorkine a pris sa défense en disant à son sujet : {{citation|Je ne sais pas précisément ce que le père Thomas a fait de mal}}<ref name=":4" />.