« Guerre Israël-Hamas (depuis 2023) » : différence entre les versions
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→Nombre de morts à Gaza : retrait analyse TI (présent de l'indicatif), ajouts de sources multiples sur la fiabilité ou non du nombre de morts (avec analyse précise), et rajouts infos présentent dans les sources victimes de cueillettes de cerise qui frisent le détournement de source |
m J'ai enlevé des comparaisons des attaques au Shoah et au 11 septembre 2001. Ces comparaisons, sans références, ne sont pas exactes et ne communiquent pas des faits qui ont à voir avec la guerre au Gaza. Balises : Révoqué Éditeur visuel |
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L'opération initiale est dénommée {{opération|Déluge d'al-Aqsa}} (en {{lang-ar|عملية طوفان الأقصى}} {{lang|ar-Latn|''Amaliyyat Ṭūfān al-Aqṣā''}}) côté palestinien, et surnommée « Shabbat noir » (en {{lang-he|השבת השחורה}} ; {{lang|he-Latn|''HaShabbat Hash’hora''}}), ou « massacre de Sim'hat Torah » (en {{lang-he|טבח שמחת תורה}} ; {{lang|he-Latn|''Teva'h Sim'hat Torah''}}) dans la presse israélienne, le jour de l'attaque s'étant produite un jour de [[shabbat]], et coïncidant avec [[Sim'hat Torah]]. Certains la qualifient aussi de « troisième [[intifada]] ». Elle consiste en une série d'attaques [[Terrorisme|terroristes]] lancées depuis la [[frontière entre la bande de Gaza et Israël]] par le Hamas, appuyé par le [[Jihad islamique palestinien]], le [[Front populaire de libération de la Palestine]] et le [[Front démocratique pour la libération de la Palestine]]. Après le tir de plusieurs milliers de [[Roquette Qassam|roquettes Qassam]] sur Israël, la [[barrière entre la bande de Gaza et Israël]] est défoncée et plus de {{nb|3000 assaillants palestiniens}} envahissent plus de vingt villes et [[kibboutz]] de l'[[enveloppe de Gaza]], faisant {{nb|1200 morts}} en perpétrant massacres, viols et destructions, avant de [[Enlèvements pendant l'attaque du Hamas contre Israël|prendre {{nb|240 civils israéliens et étrangers}} en otage]] au moins.
Cette attaque, sans précédent dans le [[conflit israélo-arabe]] avec un nombre de morts et d'otages inédit dans l'[[histoire d'Israël]]
Les bombardements israéliens ont tués plus de {{nb|22600 personnes}}, blessé {{nb|60000 [[victime civile|civils]]}} et combattants palestiniens. Israël impose le [[migration forcée|déplacement]] de plus de 1,9 millions de civils (85 % de la population) du nord vers le sud et au moins {{nb|7000 personnes}} sont portées disparues. L'[[Organisation des Nations unies]] dénonce alors un risque de [[génocide palestinien]]. Côté israélien, {{nb|200000 personnes}} sont évacuées par mesure de sécurité.
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